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Apprendre à travailler

Dans la vie comme au travail, il y a plusieurs facteurs qui feront en sorte que, soit l’on passera une belle journée, soit elle sera très longue et ennuyante. Je m’explique, avec le cours d’Yves Morin, nous avons pu constater que les méthodes appliquer pour apprendre à bien travailler sont les même que l’on devrait appliquer dans notre vie courante, notamment à l’école. Tout d’abord : la fameuse motivation! Entre quelqu’un qui en est dépourvu, et quelqu’un a qui on pourrait lire MOTIVATION sur sont visage, il y a une grande différence d’attitude de travail. Lorsqu’on se prépare à attaquer une grosse journée de travail, le fait d’être découragé avant même de commencer est une preuve que notre travail en sera affecté, il sera effectué ‘’vite fait, mal fait’’! Dans le même sens, une personne motivée sera plus apte à accomplir son travail de la bonne manière.
C’est aussi vrai pour quelqu’un qui n’aurait pas comblé ses besoins de base par exemple. Par besoin de base, j’entends : avoir pris un bon petit déjeuné, avoir dormi d’une bonne et entière nuit de sommeil, etc. Si l’un de ces facteurs est affectée, les effets seront les mêmes que si l’on manque de motivation.
Dans la recette ‘’pour être bien préparé à une journée productive de travail’’, on doit brasser les ingrédients : motivation et avoir comblé nos besoin de base avec une ‘’GROSSE’’ cuillère à soupe de : être bien préparé!!! Sans la préparation, cher camarade, nous ne sommes rien. Exemple: un élève qui doit présenter un oral sur un sujet dont il ne connait rien (faute de préparation), bien sur, aura une mauvaise note. C’est la même chose dans un milieu de travail : il faut être au courant de ce qui se passe, avoir fait des recherches sur la prochaine entreprise avec laquelle nous feront affaire, avoir préparé le dossier que le patron nous a demandé pour lundi le plus en avance possible pour éviter les contretemps de dernières minutes, et ainsi de suite. À l’école, la motivation me permet de terminer mes cours avec un sourire au visage, et une bonne note dans mon dossier. Au travail, quand je passe une mauvaise journée, je visualise ma récompense ou, autrement dit, ma paye! Si je n’ai pas bien mangé ou encore mal dormi, je fais parti des ‘’rares’’ fille qui se plaignent, ce qui n’allège en rien le fait d’avoir faim ou d’être fatiguer et qu’au contraire, amplifie négativement l’ampleur de cette situation. Le même principe pour le fait de ne pas être bien préparé.

Rôles du gestionnaire

Ensuite, viens les rôles du gestionnaire. À première vu, on pourrait croire que ‘’Planifier’’, ‘’Organiser’’, ‘’Diriger’’ ainsi que ‘’Contrôler’’ sont des rôles qui ont les mêmes fonctions. Détromper vous, ils ont tous des significations différentes. Au cours de mon secondaire 5, j’ai participé a une pièce de théâtre où j’avais un rôle bien précis… celui d’une prostituer. Bref mon rôle n’avait aucune fonction de gestion, au contraire, je veux plutôt attirer votre attention sur l’aide que j’apportais à notre professeur, celui de diriger. Je n’avais pas de titre en particulier, au fait, n’importe qui pouvais apporter sont aide car c’était un travail d’équipe, mais, comme inscrit dans notre document page 89, tout le monde peut apporter ses idées afin d’orienter et/ou de guider dans une certaine direction la pièce. Par contre, bien entendu, le professeur avait son droit de véto, c’est-à-dire qu’elle faisait les décisions finales qui guidait la pièce. C’était un rôle assez important puisqu’il donnait en final la version fini, celle où tous les spectateurs pourront assister.
Fonctions du gestionnaire

Dans toute entreprise, il devrait y avoir un leader. Si ce leader en question est le gestionnaire, c’est encore mieux! Le leader détient un grand pouvoir puisqu’armée de charisme, il peut se rendre loin. Comme écrit à la page 100 : ‘’beaucoup de personnes qui se retrouvent au poste de gestion ont été choisies parce qu’<<elles semblent faire preuve de leadership>>’’. On peut prendre un exemple banal et typique; quand venait le temps, dans mes cours d’éducation physique du secondaire, de faire une équipe pour jouer au volleyball (par exemple), les plus courageux se portaient volontaire pour être chef d’équipe. Une fois tous les chefs choisis, ils devaient faire la sélection des membres qui constitueraient leur équipe et, rendu à cette étape, les leaders, ou ceux qui avaient le plus de charisme et de prestance, étaient choisi en premier, non pas pour leurs compétences particulières en volleyball, mais bien parce qu’ils se démarquaient par leur présence parmi leurs camarades.

Un bon gestionnaire doit aussi comporter des atouts spécifiques à un entrepreneur. Comme écrit à la page 101 de notre cahier d’apprentissage, une personne ayant le sens d’entrepreneuriat, se traduit par une personne qui a le sens des responsabilités. Puisqu’un gestionnaire fera sans doute face à des situations imprévisibles, il devra être rassurant avec ses partenaires et/ou ses employés ainsi qu’être apte à bien gérer son stress. Afin de se prédéterminer des objectifs réalisables, le gestionnaire devra être réalisme, optimisme et assez mature, puisqu’il encourage son équipe à se surpasser et qu’il devra représenter l’exemple pour tous. Pour avoir fait un projet où je devais créer un concept et diriger une classe pour l’exécution de celui-ci, je peux confirmer qu’un entrepreneur doit avoir savoir mener une équipe et donner l’exemple, car si je n’accomplissais pas les tâches qui m’étaient assigner, la majorité de mon équipe aurait eu le même comportement et mon projet n’aurait pas eu lieu. Je pourrais ajouter une autre compétence, celle de l’ouverture d’esprit car j’avais une partenaire avec qui je voulais mener ce projet à terme, et nous devions collaborer ensemble afin de démontrer notre maturité et pour que la classe, dont nous avions pour mission de faire participer à notre projet, soit à jour dans l’aboutissement de ce concept qui nous tenait à cœur.

En dernier lieu, une fonction importante du gestionnaire serait celle d’être le diffuseur de son entreprise. Par diffuseur, j’entends celui qui transmettra l’information de l’extérieur aux membres de l’entreprise concernés (c’est-à-dire à peu près tout le monde!) Pour ce, il doit bien métriser la synthétisation et il doit avoir de la facilité à communiquer avec les gens, sans ce, de l’information qui pourrait s’avérer utile et importante pourrait être mal transmit et/ou mal interprétée, ce que nous voulons éviter le plus possible. Il peut aussi offrir la possibilité, si nécessaire, aux autres de donner leurs opinions sur le/les sujets abordé(s). Dans le cadre de mon travail, celui de conseillère aux ventes chez Yellow, nous nous devons d’être au courant des nouveaux produits d’entretien que nous devons vendre à nos clients puisque nous devons les conseiller afin qu’ils sachent ce dont ils ont vraiment besoin. Notre gérant doit donc occuper le rôle du diffuseur puisqu’il nous transmet cette information importante. Si nous n’avons pas bien compris les directives des nouveaux produits sur le marché, la clientèle s’en rendra compte, notamment par le fait que, par exemple, le client qui a acheter une botte faite de suède et qui l’a protège avec de la crème de vison pourrait revenir mécontent du traitement d’entretien qui a été conseillé puisqu’il ne convient pas à son type de botte et que celui-ci à laisser des traces sur ses chaussures neuves. Avec la bonne communication, le gérant évitera de devoir rembourser, et la botte du client, et son produit d’entretien. Ce consommateur, habituellement fidèle, trouvera ce contretemps fâcheux et peu professionnel.



Cinq phases de résolution de problème

La résolution d’un problème quelconque passe par 5 étapes qu’il faut effectuer dans l’ordre, bien sur.

La première étape se traduit par ‘’la collecte d’informations portant sur l’environnement général de l’entreprise, les conditions du marché et sur les éléments internes de l’entreprise’’, bref, il faut chercher à la source les facteurs qui constituent notre situation problématique. Dans toute boutique, il y a au moins une caisse. À chaque jour, il devrait y avoir un/une responsable qui s’occupe de comptabiliser la/les caisses à la fin de la journée afin de s’avoir si ils ont atteint leur objectif de ventes et si la caisse balance, c’est-à-dire qu’elle n’a ni trop d’argent, ni pas assez. Lorsqu’il manque de l’argent dans la caisse, que ce soit 1,5 ou même 50 $, il faut, selon la politique de la plupart des boutiques, écrire un rapport afin de trouver la source de ce manque d’argent et de pouvoir établir une solution qui sera avantageuse pour tous.

La deuxième étape, c’est de prendre tout les informations pertinentes trouvées afin de faire la recherche d’options possible. Cette étape nous aide à déterminer les sources potentielles qui auraient pu causer le problème, sans pour autant faire des déductions non-fondées. Dans le cas donné à l’étape 1 : on pourrait procéder comme suit : Quelles sont les employées qui ont utilisé la caisse au courant de la journée?, ensuite faire une deuxième vérification au besoin ou encore demander à un autre employer de la faire, vérifier les transactions susceptibles d’être à la base de ce problème, etc.

La troisième étape consiste à « reconnaître les différentes options qui apporteront une solution au problème. » En d’autres termes, il faut penser aux options qui pourraient nous aider à résoudre notre problème. Donc, à cette étape, le gestionnaire devrait connaître la source de la problématique, ou bien n’avoir que quelques options et/ou hypothèses fondées. Les solutions envisagées doivent être réalisable et pré-organisé. De plus, ce prévoir un plan A, B ou même C à cette étape pourrait s’avérer d’une grande utilité en cas de problème de dernière minute. Ainsi, toujours dans le même exemple, il prendre quelques facteurs en considération afin de déterminer ces solutions. Un exemple de solution pour ce problème pourrait être de déterminer un employer responsable qui aurait la tâche de vérifier si les caisses balances à chaque heure ou encore que l’on détermine à l’avance le ou les employer qui s’occuperont de la caisse pour chaque journée / quart de travail / par tranche d’heure.

Au cours de la quatrième étape, il faut chercher à évaluer nos options puisqu’elles ne sont peut-être pas tous adapter à l’entreprise, boutique, au gérant, etc. Cette évaluation nous permettra d’éliminer les solutions qui ne correspondront pas à notre problème, et ainsi faciliter la rechercher de LA solution qui réglera enfin notre problème. Dans l’entreprise où je travail, la solution la mieux adaptée serait celle de prédéterminer, et ce au tout début de la journée, qui aura accès à la caisse afin de finaliser les transactions durant toute la journée. Nous sommes beaucoup d’employer et sans cette méthode de travail, il pourrait y avoir de la confusion qui engendrerait ce genre de problème plus fréquemment. Puisque plus d’un membre du personnel aurait utilisé la caisse, il aurait été plus difficile de ciblé la personne qui en aurait été la cause.
Enfin, l’étape cinq, la prise de décision et la justification. Après avoir évalué les options possibles, j’en ai déduit que si l’on prédétermine l’employer responsable de la caisse pour toute la journée, il sera plus facile de, premièrement, savoir qui a fait l’erreur et lui en faire part pour que cela ne se reproduise pas de nouveau, deuxièmement, la personne responsable doit être habile avec la caisse et ainsi elle se rendra compte plus facilement de ses erreurs qu’elle réglera le plus vite possible.

Avec ces cinq étapes, le problème à été réglé facilement et sans complication. Tout gestionnaire logique procédera ainsi puisque cette méthode est la plus efficace.