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Notion 1 Apprendre/Travailler

Si on se réfère aux notes de cours en page 51, on s’aperçoit qu’avoir comblé ses besoins de base et l’activité intellectuelle sont fortement liés. Avoir comblé ses besoins de base regroupe en fait la satisfaction de l’état physique et psychologique en plus de l’intellectualité.
Pour une bonne condition physique, il est nécessaire de dormir un nombre d’heures raisonnables. Le sommeil ne doit pas être négligé, tout comme la digestion qui est tout aussi importante. Une bonne nutrition est toujours bénéfique.
Pour ce qui est de la situation psychologique, il faut être en mesure de gérer son stress, ses émotions fortes et ses soucis financiers. Ce qui veut dire qu’il faut être capable de régler ses problèmes personnels avant tout. Cela s’explique, car si nous prenons en exemple une personne qui est extrêmement stressée à cause de ses dettes, elle n’arrivera point à se concentrer au travail ou même à l’école. C’est pourquoi ces préoccupations peuvent nuire à l’apprentissage ou à la job et qu’il est d’autant plus recommandé de s’en occuper. De plus, il faut aussi prendre conscience qu’il n’y a pas juste le travail qui importe, car le bien-être personnel est un aspect à prendre en considération. En ce sens, la détente, les loisirs et le rêve font partie des besoins de base à combler. Avoir des méthodes de relaxation, des passe-temps amusants qui nous passionnent et des buts à atteindre ne font qu’améliorer notre état d’esprit. Être bien détendu est relié à la gestion du stress, parce que le poids présent sur les épaules qui parfois nous empêche d’avancer peut alors être diminué ou même évité.
Toujours rattaché, tel que mentionné dans les notes de cours en page 51, l’activité intellectuelle est «difficile [à combler] sans la satisfaction des besoins de base». Cela ne signifie par contre pas qu’automatiquement l’activité intellectuelle sera à son meilleur car, il s’agit en fait d’un «geste volontaire lié à la concentration». Pour la maintenir, il faut se prêter à différents exercices qui stimulent le mental comme la lecture, l’écriture et les documentaires. C’est ainsi qu’il est possible de rester actif de façon cérébrale.
Par ailleurs, être bien préparé s’exprime par le fait d’être à jour, ne pas sauter d’étapes et avoir de bonnes notes de cours. On retrouve une forte corrélation avec l’activité intellectuelle, car la préparation nécessite généralement de s’informer, poser des questions, réviser et faire des liens dans tout ce qu’on apprend. Par exemple, pour la prise de note en classe, certains pensent que «[c’]est une activité d’apprentissage» (notes de cours p.77), qu’il s’agit de «la clé de la mémorisation» (notes de cours p.81), car nous devons être en mesure de synthétiser une série de donnés de manière efficace. C’est pourquoi, être bien préparé fait appel à une bonne activité intellectuelle. Il ne faut pas seulement retranscrire ce que le prof dit, il a des méthodes spécifiques qui permettent de bien organiser ses notes pour après les relire et bien se comprendre. C’est grâce aux notes que nous prenons que nous apprenons. On mentionne dans les notes de cours en page 81, que nous retenons environ 80% de ce que nous écrivons. J’ai d’ailleurs remarqué une grande différence suite à mes lectures sur la prise de notes efficace. Je peux maintenant retenir plus d’informations et mieux comprendre.




Notion 2 Compétences spécifiques

Pour le métier de gestionnaire, il faut avoir certaines aptitudes indispensables qui permettront de performer. Trois de ces innombrables compétences sont reliées par la confiance au travail. Il s’agit de savoir déléguer, bâtir un esprit d’équipe et évidemment intégrité et confiance. Pour déléguer des tâches ou des décisions importantes, il faut avoir bâti un esprit d’équipe. C’est-à-dire, qu’on «partage avec les autres les succès et les victoires» en créant «un sentiment d’appartenance à l’intérieur d’une équipe» (notes de cours p.99). Il est possible que ce soit parfois plus difficile, à cause des personnalités différentes qui forment le groupe, d’où l’importance de rester intègre et de mettre les autres membres en confiance.
En tant que gestionnaire, on doit vouloir être «perçu comme [une personne] étant direct et intègre, [qui] peut présenter la vérité de façon juste et appropriée» (notes de cours p.98). Il ne faut pas chercher à impressionner et la vanité n’est pas de mise. En adoptant cette attitude, bâtir un esprit d’équipe sera plus facile. Les gens apprécieront travailler avec vous dans ce respect. Ainsi, étant unis, le fait de partager des responsabilités se fera plus aisément.

Par exemple, pour une situation inversée; un gestionnaire qui a tendance à attaquer quelqu’un lorsqu’une erreur survient ou qu’il critique sans cesse les tâches effectuées ne se fera pas aimer. Les autres membres de l’entreprise ne voudront plus coopérer avec lui et finiront par ne plus vouloir l’aider dans les responsabilités qu’il délèguera. Tout comme un professeur qui ridiculise ses élèves lors d’échec. J’ai moi-même déjà eu un professeur qui se moquait de ses étudiants si ces derniers posaient des questions qu’il jugeait stupide ou impertinentes. Rien de pire pour démotiver un groupe à s’améliorer et à travailler.

Notion 3 Fonctions d’un gestionnaire

Les fonctions du gestionnaire sont amenées par les rôles que celui-ci occupe. Il devra occuper des fonctions informationnelles qui servent à s’informer et informer les autres, des fonctions décisionnelles qui servent à prendre diverses décisions qui touchent à plusieurs propos, et aussi des fonctions interpersonnelles qui servent à interagir entre l’entreprise et l’extérieur. Les fonctions interpersonnelles regroupent les fonctions de symbole, agent de liaison et de leader.
Tout d’abord, être le symbole de l’entreprise, c’est la représenter. Pour s’y faire, il faut une personne sociable qui a de l’entregent et qui réfléchie en conséquence des valeurs et objectifs de l’entreprise et qui s’y rattache.
Pour exemple, rien de plus concret que la compagnie Nike. Si on me demandait de représenter cette compagnie et d’être leur symbole, je me verrais devoir refuser, car cette compagnie va à l’encontre de mes principes. Je ne pourrais représenter Nike sachant qu’ils exploitent des millions de personnes de tous âges pour ensuite vendre leurs produits beaucoup trop chers. Mes valeurs doivent passer avant les leurs, sinon je ne pourrai avoir bonne conscience dans mon métier.
Ensuite, comme son titre l’indique, agent de liaison c’est pour la création des liens avec l’extérieur de l’entreprise. «Il faut connaître les intérêts personnels des personnes avec qui le gestionnaire est en interaction, leur montrer de l’intérêt et le leur manifester par des actions concrètes.» (notre de cours p.100). Il faut garde un réseau de contacts actifs dans tout les domaines en étant capable de se référer à sa vie personnelle et professionnelle. Dans tout les cas, il faut bien analyser et observer.
Finalement, la fonction de leader ne requiert pas seulement d’avoir de l’influence, mais aussi faut-il pouvoir effectuer les tâches conjointes. Des fois, un pépin peut survenir lorsqu’un gestionnaire a été choisi que pour son leadership. Ces gestionnaires ont beaucoup de pouvoir et d’emprise, ils doivent rester vigilants et utiliser leurs atouts au meilleur de leurs connaissances.

Notion 4 La résolution de problèmes (notes de cours p.131 à 133)

En tant que gestionnaire, il faut faire face quotidiennement à des problèmes de tout genres. Plus ou moins urgentes, une démarche est à suivre. La résolution de problème s’effectue en cinq étapes distinctes. Ces étapes doivent être exécutées dans l’ordre, une par une, pour un maximum de résultats positifs.

La première étape consiste à diagnostiquer la situation et définir le problème. Il faut d’abord collecter le plus d’informations possibles dans tous les secteurs de l’entreprise. Plus d’informations sont collectées, plus cela facilitera la tâche. Il faut commencer à les recueillir dès qu’il y a des effets néfastes. Ne pas tarder et surtout ne pas les ignorer. Parfois, plus vite on prend conscience d’un problème, plus vite on peut le régler. On ne doit pas se fier qu’aux aspects négatifs perçus, car habituellement le problème se cache derrière plus de ces aspects. Après avoir amasser plusieurs indices, il faut les évaluer et essayer de trouver la cause principale du problème.

La deuxième étape est de collecter et analyser des faits pertinents reliés au problème. Un coup la source du problème définie, il est temps de se renseigner à son sujet. Il faut également se poser plusieurs questions. De plus, il est essentiel d’amasser le plus d’informations possible et ce, à tous les niveaux. Établir une base de données à partir de l’expérience des gens. Que ce soit les employés, les dirigeants, les consommateurs. Chacun y apportera son point de vue.

Pour la troisième étape, il faut reconnaître des options possibles qui serviraient de solution. Se servir de l’expérience et des connaissances. Le vécu et la logique réuni pour le bien de l’entreprise.

L’avant-dernière étape est d’évaluer les options élaborées à la troisième étape. Nos choix seront-ils les meilleurs. À cette étape il faut peser le pour et le contre. Y aura t’il des avantages ou des inconvénients. Il faut se demander si nos décisions seront les bonnes. Est-ce que tout a été vérifié afin de ne pas effectuer d’erreur. Il faut se demander si nos décisions nous causerons des problèmes.

Pour finalement terminer avec la cinquième étape qui est la prise de décision et la justification. Avoir étudié à fond le dossier et y présenter les aspects positifs. Il faut être rassurant et y aller avec logique. L’heure est aux décisions. Présenter nos idées qui pourront être réalisés. Demeurer réaliste dans nos choix tout en expliquant les volets et les aspects. Finalement même si le meilleur de nous a été donné, il se peut que l’idée d’une autre personne soit retenue pour différentes raisons.