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MessageSujet: Réflexions   Réflexions I_icon_minitimeMer 19 Oct - 13:51


Faire votre réflexion dans cette section EN UTILISANT LE BOUTON RÉPONDRE

5 petits bonhommes afro indique que j'ai effectué la correction et que votre note est probablement sur MIO


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marianneproulxracinelundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeJeu 10 Nov - 17:39

afro afro afro afro afro


APPRENDRE À APPRENDRE ET À BIEN TRAVAILLER
Apprendre à apprendre et à bien travailler nécessite, comme c’est écrit dans les notes de cours page 50, des conditions de bases à respecter. La première serait d’être motivée par le travail à effectuer. Par exemple, lorsque j’ai organisé un défilé de mode pour amasser des fonds pour mon bal de finissants, le travail se faisait de manière simple et efficace lorsqu’il s’agissait de taches qui me motivent. Par exemple le choix des vêtements qui seraient portés lors de l’évènement. Cette partie du travail s’est faite merveilleusement bien, par contre lorsqu’il s’agissait des finances, ma motivation disparaissait et le travail devenait donc plus pénible.

De toute évidence, lorsque je suis motivée, je me prépare en conséquence. Si j’ai envie de faire le travail donné, je vais me préparer pour faire en sorte d’être prête à travailler de manière efficace en allant chercher toutes les informations nécessaires à la réalisation du travail. Comme lorsque nous devions nous rendre en magasin choisir les vêtements, j’avais déjà fait une petite recherche sur le site web des compagnies pour voir quels articles seraient préférables pour notre évènement? J’étais donc prête à rencontrer les gérants lors de notre rencontre.

Dans le même ordre d’idée, si je suis motivée et bien préparée, je ne sauterai pas d’étapes, car si je suis bien préparée, je vais savoir quoi faire donc je saurai la marche à suivre pour réaliser les tâches données. Comme lorsque nous devions tout organiser l’évènement, nous ne sommes pas allés choisir les articles avant de demander une commandite de la part des compagnies que nous avions sélectionnés qui entraient dans le style désiré. Nous n’avons pas non plus loué la salle avant d’avoir le « OK » de la direction de l’école. Je n’ai donc pas sauté d’étapes lors de la réalisation de ce superbe évènement.

En fin de compte, il y a plusieurs conditions de base pour apprendre à travailler, et chacune de ses étapes est reliée entre elles et lorsque toutes ses conditions sont comblées, le travail est fait de manière efficace et sans problèmes.


LES RÔLES DU GESTIONNAIRE
Un gestionnaire à quatre rôles essentiels : Planifier, organiser, diriger et contrôler. Je vais par contre me concentrer uniquement sur la planification. Avant de commencer le cours de fonctionnement en entreprise de mode, je savais que la planification se faisait généralement seule et sur papier. Selon mes notes de cours page 88, la définition de planifier « c’est de faire un plan, administrer… selon des objectifs . La planification est l’action de planifier, c’est-à-dire gérer dans le temps une succession d’actions ou d’évènements afin de réaliser un objectif particulier ou un projet. » Donc, en gros, j’avais une bonne idée de ce que planifier voulait dire, mais il me manquait la partie « selon des objectifs ».

Comme lorsque j’organisais un défilé de mode, nous planifions en équipe sans prendre tout en note. Notre planification de l’évènement était boiteuse ce qui a fait que nous nous sommes retrouvés à la fin avec plein de détails à régler qui aurait dû l’être depuis longtemps. Un gestionnaire planifie ses actions et celles de ses employés afin d’atteindre ses objectifs fixés à l’aide de son plan qu’il a élaboré habituellement seul et sur papier. Par contre, la planification n’est pas faite définitivement, car, il y aura probablement plusieurs problèmes qui surviendront. Le gestionnaire doit donc régulièrement pratiquer ses quatre rôles énumérés plus haut. À l’aide du cours, j’ai pu comprendre que tout ce que fait le gestionnaire est en rapport avec des objectifs. Ce qui est très logique, car si l’on planifie, c’est pour arriver à un but, un objectif fixé, sinon, nous ne planifierions rien.

LES COMPÉTENCES TECHNIQUES
Dans tous les domaines, il y a des compétences techniques nécessaires. Par exemple, moi en tant que vendeuse en boutique, j’ai besoin de compétence en vente. Contrairement à ce que je croyais, ce ne sont pas uniquement les cadres inférieurs (ou cadre de terrain) qui ont besoin de ses compétences. Les cadres intermédiaires et supérieurs doivent avoir ses compétences même si celles-ci leur sont moins utiles sur une base régulière. Tout est proportionnel, les compétences d’un cadre inférieur sont 40 % techniques, 50 % humaines et 10 % conceptuelles, tandis que pour un cadre intermédiaire ce serait 30 % techniques, 50 % humaines, 20 % conceptuelles, et finalement pour un cadre supérieur, ce serait 10 % techniques 50 % humaines et 40 % conceptualisation. Ses données ont été prises du tableau de « la gradation des compétences en relation avec le type de cadre ». Comme il est expliqué en page 110 des notes de cours, « les cadres intermédiaires et supérieurs, toutefois, n’ont pas à acquérir une connaissance aussi poussée de tels aspects techniques, car ils ne se rattachent pas à leur travail quotidien . » Par exemple, ma gérante possède la compétence de vente même si cette dernière lui est rarement utile.


LA DÉMARCHE DE RÉSOLUTION DE PROBLÈMES

La démarche de résolution de problèmes est longue, elle comporte cinq étapes qui doivent être suivies avec soins pour pouvoir résoudre adéquatement le problème perçu. Ces étapes peuvent aussi bien être utilisées pour résoudre des problèmes en entreprise que des problèmes de la vie courante.
Premièrement, pour résoudre un problème, il faut définir quel est le problème. Comme il est mentionné à la page 131 des notes de cours, « La première étape du processus de la prise de décision passe par la collecte d’informations portant sur l’environnement général de l’entreprise, les conditions du marché et sur les éléments internes du marché. » Prenons comme exemple les Loisirs St-Fabien, un camp de jour où j’ai travaillée durant trois étés, l’environnement général de l’entreprise correspond à la situation générale dans tous les centres des Loisirs St-Fabien, pour voir si la même situation se reproduit dans chacun. Comme nous avons fait dans le devoir « Résolution de problème et prise de décisions » pour pouvoir enligner notre prise de décision, il faut établir la situation qui était désirée au départ et la situation perçue présentement. Car faire une collecte d’information sans piste à suivre est plutôt inutile. Donc, si je voulais que la semaine passée, huit groupes de mon centre soient allés à la ronde, et que seulement quatre groupes y sont allés, il y a peut-être un problème d’organisation des moniteurs, il y a aussi la possibilité que le transport prévu ne fût pas adéquat… J’ai établi la situation désirée et celle perçue, et j’ai énoncé le besoin non comblé.

Deuxièmement, il faut faire la recherche d’informations et l’analyse des causes. « Après avoir bien défini le problème, l’étape suivante consiste à logiquement à recueillir le maximum de renseignements à son sujet. Ces données aideront à reconnaître les différentes options possibles ainsi qu’à en évaluer les avantages et les inconvénients. » Donc, après avoir énoncé le besoin non comblé, il faut maintenant recueillir le plus d’informations possible par exemple : Combiens de groupes dans les autres centres sont allés à la ronde la semaine dernière? Combien de groupes étaient censés y aller? Quel transport était prévu pour l’activité? … il faut aller chercher le plus de renseignements possible sans uniquement s’intéresser à sa boutique ou comme dans le dernier exemple, à son centre.

Troisièmement, il faut faire la proposition de choix et de solutions possibles. C’est-à-dire, « reconnaitre les différentes options qui apporterons une solution au problème » p.132 des notes de cours, cette étape requiers de l’intuition, du jugement et des connaissances basées sur l’expérience et les théories vues. Donc en gros, il faut, à l’aide des informations recueillies, proposer plusieurs choix de solution qui vont apporter une solution au problème perçu. Dans le but de diminuer ou d’éliminer la situation problématique.

Quatrièmement, l’analyse de la faisabilité des solutions possibles et mises en application. Dans cette étape, il y a trois points importants qui sont de « trouver des solutions raisonnables et pratiques qui pourraient résoudre le problème principal. Éliminer toutes les autres options. » Comme énoncé à la page 133 du document de notes de cours. Ce qui veut dire qu’il faut faire un tri de toutes les solutions trouvées à l’étape précédente pour en garder que les meilleures. Par contre, comme il est écrit à la même page il faut « s’assurer de chaque solution est une option réelle et non la version d’une option déjà énumérée. » Car des modifications aux solutions originales peuvent être faites, il faut s’assurer que chacune des solutions retenues soit différente.

Ensuite, il faut « définir chaque option en apportant le plus de précision possible. » Tel que lu à la page 133 des notes de cours. En y apportant plus d’informations du genre : qui serait impliqué dans cette solution? Quel problème est ce que cela résoudrait? … c’est un peu ce que l’on fait pour résoudre chaque problème de notre vie. Par exemple lorsque je travaillais en camps de jour, lorsqu’il y avait une activité prévue qui ne fonctionnait pas comme prévu, il fallait y apporter une solution le plus rapidement possible et éliminer les solutions qui sont moins faisables ou trop couteuses.

Finalement, il faut « faire une évaluation complète de chaque option en fonction des critères établis à l’étape de la collecte et l’analyse des faits pertinents et classer les conséquences prévues de chaque option sous forme d’avantages et d’inconvénients. » Donc ça veut dire qu’il faut évaluer chaque option par rapport à l’étape deux de la démarche de résolution de problème et faire un tableau représentant chaque conséquence pour savoir si elles sont positives ou négatives.

Cinquièmement, le contrôle des résultats et mise en œuvre d’une solution B si nécessaire et suivi des actions. Si le gestionnaire a fait une bonne analyse de la situation, il ne devrait pas être difficile pour lui de prendre une décision éclairée. « Par conséquent, la décision s’inscrit dans une suite logique, elle apparait évidente et constitue une conclusion certaine. » Comme il est inscrit à la page 133 des notes de cours. Par contre, pour prendre une décision comprenant le moins de risques possible, il faut avoir le plus d’informations relatives à la situation possible, ce qui donne une décision prise en état de certitude. Pour faire un choix final éclairé, il faut correspondre à quelques critères tels que la faisabilité, la pertinence, l’acceptabilité, le coût et la réversibilité. Il arrive rarement qu’un gestionnaire puisse prendre une décision seul. Ça lui arrive pour des décisions courantes (face à des problèmes simples et répétitifs), mais le reste du temps, il doit sois faire approuver sa solution par un subordonné ou il doit prendre une décision en groupe. « Il faut plus de temps pour en arriver à une décision collective parce que toutes les personnes intéressées savent déjà pourquoi on a choisi cette solution et de quelle manière il convient de l’appliquer. » Page 133 des notes de cours. Cette méthode de résolution de problèmes est selon moi plus efficace, car chacun à un point de vue diffère et c’est ce qui donne accès à plus de solutions différentes et à des options qui sont plus adaptées à la situation problématique.


Dernière édition par marianneproulxracinelundi le Dim 20 Nov - 16:40, édité 3 fois
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lazo paola margarita lund




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeMar 15 Nov - 12:30

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Fonctions du gestionnaire
Tout d’abord, je savais qu’un gestionnaire « doit aussi servir de médiateur et pouvoir régler les conflits qui se présentent dans une entreprise », comme il est indiqué à la page 101 de mes notes de cours. Je connais très bien ce rôle, puisque j’ai été troisième clé de la boutique Garage pendant deux ans. Gérer une équipe entièrement composée de filles, ce n’est pas facile et j’ai appris à identifier, nommer et prêter attention aux conflits qui se produisaient entre les employées pour ensuite essayer de les régler afin d’avoir un meilleur environnement de travail. Si je sentais qu’il y avait un quelconque problème, j’allais moi-même voir mes employées pour qu’elles se confient et qu’elles m’expliquent ce qui ne va pas. En agissant ainsi, je gagnais la confiance de mon équipe et lorsque le problème était réglé, la productivité et l’efficacité des filles étaient significativement meilleures. En suivant le cours de Yves Morin, j’ai confirmé ce que je savais déjà et en plus, j’ai pu mettre un terme technique sur ce rôle que j’ai pratiqué.

Ensuite, j’ai appris qu’un gestionnaire doit aussi être un agent de liaison, c’est-à-dire, avoir un réseau de contact important. Tout au long de la session, tous nos enseignants nous ont mentionné l’importance de se bâtir un bon réseau de contact et de l’entretenir de façon régulière. Pour un gestionnaire, c’est très important de bien entretenir ses relations avec les gens qu’il côtoie, parce que tôt ou tard, ces personnes lui seront utiles d’une façon ou d’une autre. À la page 100 de mes notes de cours, il est stipulé qu’ « il faut connaître les intérêts personnels des personnes avec qui le gestionnaire est en interaction, leur montrer de l’intérêt et le leur manifester par des actions concrètes »; c’est en effet par ces actions que notre réseau se portera bien et continuera de prendre de l’expansion. Par exemple, si jamais la personne qui s’occupe des livraisons est en retard et que le gestionnaire possède un contact qui fait essentiellement le même travail et qui est disponible pour la remplacer, il pourrait lui demander de lui rendre un service, à condition que la relation avec cette personne soit bonne. D’où l’importance « d’arroser son jardin » (d’entretenir son réseau de contacts). J’ai appris que c’était tout à notre avantage d’avoir beaucoup de relations différentes avec les gens et que c’est souvent grâce à ces contacts que nous obtenons un emploi en mode, puisque seulement 5% des postes sont affichés ou publiés.
Finalement, en plus d’être un bon agent de liaison, j’ai également appris que le gestionnaire doit être un excellent négociateur. Il s’agit simplement de « s’affirmer, défendre et maintenir son point de vue dans le respect des autres, ne pas baisser les bras devant les difficultés », comme il est indiqué à la page 102 de mes notes de cours. Plus précisément, il s’agit non seulement d’être capable de défendre son point de vue, mais aussi de faire changer l’opinion des autres sur un certain sujet. Un bon négociateur doit obligatoirement avoir une très grande confiance en lui pour être en mesure d’expliquer ses arguments et d’essayer de convaincre les autres que c’est son idée ou son projet qui est LE meilleur d’entre tous. Il doit être aussi capable de faire face aux objections et de prévoir les refus. Par exemple, si je travaille pour un détaillant et que je souhaite faire entrer une nouvelle marque dans la boutique, je dois être bien préparée afin de bien présenter les avantages d’avoir cette marque en magasin et aussi de prévoir des contre-arguments aux objections possibles.

Rôles du gestionnaire
Avant de commencer le cours, je ne savais pas qu’il y avait autant de rôles pour un gestionnaire. Comme l’indique le tableau synthèse, il faut apprendre à travailler, prendre des notes et se préparer pour pouvoir PLANIFIER, ORGANISER, DIRIGER, CONTRÔLER. En tant que 3e clé, je devais constamment CONTRÔLER l’équipe, en vue de faire un compte rendu à ma gérante plus tard ou le jour d’après. La définition de contrôler selon mes notes de cours à la page 89 est la suivante : « Pratiquer un contrôle, vérifier, surveiller, examiner minutieusement ». Pour effectuer un contrôle, voici ce que je faisais : après avoir attribué les tâches à mes employées, je faisais un suivi avec elles pour m’assurer du bon déroulement de la tâche. C’est une étape primordiale, parce que si je ne faisais pas de suivi, il se pouvait que les filles ne respectent pas la marche à suivre de la tâche à réaliser; c’était donc moi qui écopais pour leurs erreurs. Le meilleur exemple est lorsque je vérifiais le ménage à la fermeture; je savais que les filles étaient pressées de partir, alors il arrivait qu’il y en ait une ou deux qui faisaient leur travail n’importe comment. C’est alors que j’intervenais et que je leur demandais de recommencer. Ce n’est pas un rôle que j’appréciais particulièrement, mais je comprends maintenant l’importance de celui-ci.

Apprendre/Travailler
Avec le cours de Yves Morin, j’ai appris les similitudes qu’il y avait entre un élève qui va à l’école et un employé qui va travailler.
Premièrement, il faut être motivé à faire ce que l’on à faire. À l’école, je réussis toujours mieux les cours où je suis plus motivée, parce que le contenu m’intéresse et que je me donne la peine de bien faire les travaux et ce, sans effort. D’ailleurs, le résultat d’un travail fait avec motivation est beaucoup plus satisfaisant que celui où je n’ai pas mis tout l’effort nécessaire. Au travail, c’est pareil, parce que mes résultats de vente sont meilleurs lorsque je suis motivée à atteindre et même dépasser mes objectifs que lorsque je suis plus fatiguée ou moins souriante.

Une étape que l’on oublie souvent mais qui est primordiale, c’est de combler ses besoins de base, tels que manger et dormir. En effet, lorsqu’on se néglige soi-même, il est beaucoup plus difficile de fonctionner correctement. Il est certain que si je me couche très tard et que le lendemain j’ai de l’école à 8h00, je vais être moins attentive et alerte lors de mes cours. C’est la même chose au travail; si j’ai abusé des bonnes choses le soir d’avant, le lendemain, je vais être beaucoup moins d’attaque pour faire des bonnes ventes.

Finalement, être à l’écoute est aussi une étape que je trouve primordiale au travail et aux études. Je suis une personne qui absorbe tout ce qu’on lui dit, donc lorsque je suis attentive à un cours, je n’ai presque pas besoin d’étudier, parce que j’ai déjà retenu l’essentiel. C’est toujours mieux que de lire ses notes, parce que juste en portant attention à l’intonation du professeur, on peut savoir si oui ou non ce qu’il dit est pertinent, comme pour un examen par exemple. Au travail, je suis toujours à l’écoute de mes clientes, de cette façon, il m’est plus facile de les guider à travers leur magasinage et mon travail de conseillère est alors beaucoup plus facile si j’ai pris connaissance de leurs besoins et de leurs goûts.

Étapes de la résolution de problèmes :

Afin de bien résoudre un problème, il faut suivre 5 étapes importantes soit :

Phase 1 : Définition du problème
Selon la définition de la page 131 des notes de cours, « la première étape du processus de prise de décision passe par la collecte d’informations portant sur l’environnement général de l’entreprise, les conditions du marché et sur les éléments internes de l’entreprise.» Il s’agit donc de s’assoir et de réfléchir sur les symptômes du problème en question. Lorsque je fermais la caisse à la boutique, je devais toujours m’assurer que la caisse balançait. Par contre, lorsqu’il manquait de l’argent (5$ et plus), il fallait le déclarer afin de faire une enquête, afin de savoir qui aurait pu commettre cette erreur. Bien sûr avant d’écrire un courriel au bureau chef, je comptais et recomptais afin de confirmer qu’il y avait bel et bien un problème. Lorsque j’écrivais mon courriel expliquant la situation, je devais définir le problème comme ceci : Lors de mon compte de caisse de fin de journée, je me suis aperçue qu’il manquait 5$ dans la caisse.

Phase 2 : Recherche d’informations et analyse des causes
La deuxième étape, c’est de recueillir un maximum d’informations, afin de nous aider à identifier les différentes options possibles. Si l’on reprend mon exemple de caisse qui ne balance pas, c’est à moi de fournir les renseignements au bureau chef afin qu’ils examinent la situation soit :
- Le nom des personnes qui ont utilisé la caisse cette journée-là
- L’heure à laquelle a été effectué le dernier compte de caisse
- Les transactions susceptibles où il pourrait avoir eu confusion
Le bureau chef quant à lui, doit vérifier les caméras de surveillance.


Phase 3 : Proposition et choix de solutions possibles
Selon les notes de cours à la page 132, l’étape 3 consiste à « reconnaître les différentes options qui apporteront une solution au problème. » Les solutions vont dépendre du problème, des normes de la compagnie, du jugement de la personne qui constate le problème et surtout basées sur les expériences vécues par cette personne. Dans mon cas, ça pourrait être d’imposer des nouvelles politiques concernant l’usage de la caisse, par exemple.

Phase 4 : L’évaluation des options
Suite à l’étape 3, il faut évaluer chacune des solutions, en fonction de la faisabilité de chacune et de considérer l’impact que chacune pourrait avoir sur le problème initial. Il s’agit en fait de trier les solutions, des meilleures jusqu’aux moins bonnes pour pouvoir éliminer celles qui ne sont pas pertinentes. Il faut aussi évaluer toutes les conséquences qu’engendreraient chacune des options, c’est-à-dire, peser le pour et le contre. Donc, dans mon exemple, ça serait au bureau chef d’évaluer quelles seront les meilleures solutions pour la compagnie en ce qui concerne l’usage de la caisse.

Phase 5 : La prise de décision et la justification
Finalement, vient l’étape de la décision. À la page 133, il est clairement indiqué que « le décideur qui a effectué une bonne analyse ne devrait guère éprouver de la difficulté à faire un choix ». Donc, si les 4 étapes ont été suivies à la lettre, la solution devrait presque venir d’elle-même. Il ne faut pas oublier aussi de justifier son choix, à l’aide des informations recueillies plus tôt, afin de dire pourquoi cette solution est LA solution à adopter. Il faut aussi se fier à certains critères afin d’arriver à la meilleure solution possible soit la faisabilité, la pertinence, l’acceptabilité, le coût et la réversibilité. Il faut aussi prévoir les imprévus : si la première solution ne fonctionne pas, il faut avoir un plan B.





Dernière édition par lazo paola margarita lund le Lun 21 Nov - 23:37, édité 1 fois
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NathiaMironLUNDI




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeMar 15 Nov - 13:33

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Apprendre

L’apprentissage est d’acquérir des connaissances et de s’en servir comme outil. Après, il faut les conserver en mémoire pour en faire une application dans la vie courante. Pour ce faire, il existe plusieurs façons et d’étapes pour y arriver. Ce qui m’amène au premier point, la motivation est un facteur indispensable pour apprendre. En réalité, la motivation est une action que l’on doit transformer en désir et pour ce faire nous devons trouvé des effets bénéfiques et positifs au but de cette action. Comme par exemple le métier d’acheteur est très excitant et avoir à choisir une collection prochaine et décider les tendances qui seront en magasin offre une motivation très élevée. Par contre, il doit respecter un budget donné par le directeur ce qui leur amène à faire un plan pour définir les dépenses qu’il compte faire avec l’argent. Donc les calculs sont de mise ce qui cause un manque de motivation pour entreprendre les opérations.

Ensuite, il faut accepter le changement ce qui veut dire de prendre des risques. C’est une forme d’apprentissage car en étant flexible à toutes propositions que ce soit de notre goût ou pas. Ce changement permet de sortir de notre zone de confort et nos habitudes. Il s’agit de faire ce que l’on n’a jamais fait pour obtenir par après des compétences qui était recherchés. L’ensemble sera favorable pour le restant de la carrière. Comme modèle, je travaille dans la même boutique depuis 4 ans qui ce situe dans la ville de Montréal et la compagnie m’offre de remplacer pour une semaine l’assistante qui était malade dans la boutique situé à Saint-Bruno. J’ai alors accepté et je me suis rendu compte que la clientèle qui fréquente la boutique est très différente et les articles populaires n’ont aucune similarités avec la boutique de Montréal. Les gens achetaient beaucoup plus qu’en ville donc le remplissage était fait plusieurs fois par jour ce qui m’a permis d’apprendre leur méthodes et techniques de vente qui me seront favorables dans ma propre boutique.

Finalement, dans tout ce processus il est bien important d’être bien préparer quand nous avons plusieurs tâches à compléter c’est là que vient l’organisation. Cela peut nous donner une bonne façon d’apprendre dans la vie de tous les jours. Lors des rendez-vous ou des réunions d’équipe le mieux est d’être prêt d’avance avec toutes les informations que vous utiliserez dans ce projet. Il est important d’acquérir d’avance les sujets qui seront discutés dans cette réunion et composer des questions pertinentes qui vous permettrons de découvrir d’avantage. La préparation est l’étape que je dirais la plus importante et qui selon moi nous ferons accéder à la réussite. Par exemple, l’acheteur doit préparer un plan d’achat avec tous les détails de ce qu’il compte acheter avec les raisons de ces choix des couleurs, les motifs et le matériels adoptés pour la saison. Alors, il doit se préparer au rendez-vous avec son directeur pour lui expliquer ces choix et lui vendre son plan ce qui nous amène à l’organisation du projet pour qu’il soit facile à comprendre.

Les rôles du gestionnaire


Un des principaux rôles du gestionnaire est sans doute le contrôle d’une entreprise. La plupart du temps cela ne ce fait jamais seul, il y a toujours une équipe derrière tout ça mais il ne reste que c’est le gestionnaire qui prend les décisions finales. Il doit apporter des modifications s’il y a un problème qui survient au niveau de la vente ainsi que vérifier le rendement de l’entreprise tout en comparant avec les années passées pour voir si la compagnie fait du profit ou des pertes. Ensuite, si cela est le cas, le gestionnaire doit prendre des mesures pour que l’entreprise rentre dans un équilibre et tout ça ce fait avec son équipe. Pour tout dire, il doit apporter les modifications nécessaires pour tous les problèmes et pratiquer un contrôle à tous les niveaux de l’entreprise donc il offre une gestion adéquate. Enfin, leur travail de contrôle ce résume probablement sur la surveillance et à examiner soigneusement.

Les Compétences du gestionnaire


D’une part, les gestionnaires qui ont plusieurs compétences et doivent les posséder à la perfection. Les connaissances prévues au poste sont très sérieuses dans une entreprise mode. Pour commencer, ils sont dans obligation d’informer les membres de l’entreprise après chaque réunion d’affaire qui se trouvent dans la ville ou à l’extérieur afin que la compagnie soit au courant au fur et à mesure des dernières nouvelles importantes qui permettrons à l’équipe d’effectuer leur travail parfaitement. Par exemple, un bon gestionnaire qui reçoit de l’information pertinente, il prévoit par la suite une réunion avec l’entreprise pour transmettre le tout. Finalement, il est de mise de léguer les informations reçus.

D’autre part, les directeurs doivent être de confiance et avoir de l’intégrité. Ils savent dire les choses au moment et au bon endroit. Les employés ont le droit à une disponibilité assez flexible de leur directeur pour pouvoir obtenir une politique de la porte ouverte. Ce qui veut dire avoir du temps pour ses employés lorsqu’ils ont un souci et ont le besoin d’en faire part à leur supérieur. Les gestionnaire ne blâment pas les employés lors des erreurs mais leur offrent plutôt de ce rattrapé de façon correcte en leur donnant des conseils pratiques. L’intégrité est très importante pour le poste de directeur car il doit savoir rester neutre avec chaque membre de l’entreprise en ne traitant personnes avec préférence.

Ainsi donc, la résolution de problèmes doit être la compétence la plus importante dans le lot. Le bon gestionnaire doit savoir comment régler les problèmes de façon rapide et pouvoir analyser chaque situation problématique en regardant tout les formes en résonant logiquement le problème. Il doit prendre les décisions précises en regardant tous les aspects des solutions possibles. Le gestionnaire doit voir plus loin que la surface du problème et vérifier s’il n’y aurait pas quelque chose qui cloche à l’intérieur. Malgré les défaites, le bon gestionnaire ne baisse jamais les bras.

La Démarche de résolution de problème
Les 5 étapes les plus importantes pour une bonne prise de décision sont les suivantes…
Définition du problème (1)
Tout d’abord, avant toute prise de décision, nous devons faire le tri des informations dont nous disposons et de le faire de façon générale en tenant compte des événements nouveaux au sein de l’entreprise. Il faut établir la situation perçue ainsi que la situation désirée en cherchant les problèmes qui pourraient être en cause. Par la suite, l’entreprise devra procéder à la recherche du besoin non-comblé. Pour faire une bonne définition du problème, nous devons tel qu’écrit à la P.131 des notes de cours utiliser les termes ; « Nous constatons que …» et « Le problème est…», il est plus facile à la fin de faire des liens avec les informations trouvés.
CE QUE JE RETIENS :
Cette étape nécessite de traiter plusieurs manifestations de problèmes sans être véritablement le vrai problème qui sera décelé à la fin des 5 étapes.
EXEMPLE : Dans une boutique, la gérante procède à un inventaire complet du magasin. Deux semaines plus tard, les résultats l’avisent qu’il manque environ 1300 items en magasin donc cela est causé par les vols. La situation perçue est : La boutique s’est fait voler 1300 items et la situation désirée : Doubler les ventes pour rattraper l’argent perdu et faire une formation aux employés concernant les « Grab and run » tout en les avisant d’être vigilant au niveau des vols. Les voleurs ont tendance à revenir car ils voient que la boutique ne prête pas attention aux clients.
Le besoin non-comblé est : La boutique perd de l’argent et le département des préventions des pertes doivent redoubler d’effort.
La collecte et l’analyse des faits pertinents reliés au problème (2)
D’autre part, une fois que le problème a été trouvé, il faut ramasser le plus d’informations possibles qui entoure ce problème. La collecte de renseignements nous permettrons d’avoir une vision vaste des possibilités qui s’offrent à nous et procéder aux pours et contres de chaque option. Les informations recueillis qui nous sembles peut importantes devront être mise de côté. Selon les notes de cours cette étape se définirait ainsi : « Finalement, cette étape consiste à trouver, à partir des pertinents évoqués et selon les critères et les principes d’une saine gestion, des pistes d’explications.»
CE QUE JE RETIENS : C’est vraiment de faire le tri des renseignements pertinents et d’en ajouter nos commentaires et nos perceptions par rapport au problème à régler. Cette étape nous permet de connaître les futures options possibles en donnant les avantages et les inconvénients.
EXEMPLE : Depuis quelques temps, le devant de la boutique est moins sécurisé et il y a moins d’employés sur le plancher car il n’a pas beaucoup de clients dans le centre d’achat. La gérante doit s’informer pour voir si sa boutique est la seule qui se fait voler et si la sécurité du centre est au courant des voleurs qui rodent dans les parages. Elle s’est rendu compte que depuis quelques temps, que l’avant de la boutique se fait voler donc il serait possible que la moitié des vols se produisent dans cet endroit.
La reconnaissance des options possibles (3)
Ensuite, il faut procéder à la reconnaissance des plusieurs solutions possibles grâce aux informations recueillis et nous permettre d’alléger la situation de départ. Comme dans les notes de cours P.132 : « Après avoir défini le problème, il faut reconnaitre les différentes options qui apporteront une solution au problème.»
CE QUE JE RETIENS : Cette étape nécessite beaucoup d’intuition et d’expérience dans le domaine et les options vues plutôt. Il faut arriver à trouver énormément de solutions possibles pour pouvoir atteindre le but final qui est de raccommoder le problème.
EXEMPLE : Il serait peut-être une option de mettre un employé devant la boutique pour faire le service client et empêcher les vols ou bien engager un agent de sécurité d’une compagnie privée pour protéger sa boutique. L’installation d’un système de surveillance caméras serait intéressante. Une formation aux employés de la boutique pour être plus alerte en cas de vols ou même un vol suspect en inventant un code spécial pour ce genre de situation. Une solution qui serait de procéder sur chaque articles des tags de sécurité sonore qui coute très chers mais peut fonctionner.
L’évaluation des options (4)
Par la suite, il faut rassembler toutes les solutions possibles pour seraient les plus plausibles pour la résolution du problème principal et de faire l’élimination des autres qui ne seront moins bénéfiques. Il faut « s’assurer que chaque solution est une option réelle et non la version d’une option déjà énumérée ». Après avoir choisi les solutions les plus appropriées, nous devons les expliquer avec des détails précis et d’en faire une situation où l’on pourrait les mettre en pratique ainsi que les conséquences qui pourraient survenir. Principalement, nous devons pouvoir expliquer les impacts financiers, juridiques et politiques probables sur l’entreprise car c’est les points le plus important à suivre. Donc pour chaque problème, il y a des conséquences et des avantages et il faut être en mesure de les analyser.
CE QUE JE RETIENS : Cette étape permet d’évaluer chaque solution les plus réelles et d’en faire une description détaillée, avec ce qui entraînerait comme inconvénient pour l’application de ces solutions.
EXEMPLE : La première solution plausible serait de faire une formation spécialisée à ses employés contre les pertes, cette solution aura un impact peu dispendieux pour l’entreprise et permettra à la boutique de perdre moins d’argent. Par contre, cette solution pourrait être très faisable mais la pertinence que cette solution règle le problème l’est un peu moins. Si nous avons que seulement 2 employés sur le plancher et il y a un «Rush» et ça tombe que les voleurs ont décidés de frapper en groupe donc ils occupent les vendeurs pendant que les autres complices s’emparent d’une bonne portion de marchandises qui se trouvent à l’avant. Ils sont professionnels donc les vendeurs ne verront que du feu. La deuxième solution est d’après moi la plus intelligente car même si il y a un vol en magasin il est toujours possible de faire le suivi avec les enregistrements et pouvoir les arrêter la prochaine fois. Ce sera cher sur le coup mais cet investissement deviendra à long terme un profit pour son entreprise.
La prise de décision et la justification (5)
Finalement, avec toutes les solutions possibles un choix devrait être assez facile à faire si le problème a bien été décelé. Il est possible de combiner plusieurs solutions ensembles pour obtenir des résultats encore plus intéressants ou encore essayer de garder des solutions de secours au cas où il pourrait arriver quelque chose. La solution choisie devrait être certaine et supérieure à toutes les autres avec les explications de la raison pour laquelle elle est la meilleure avec ses avantages précis : « Vous devez justifier l’option privilégiée, démontrer que l’on est suffisamment objectif, c’est-à-dire que l’on a pris en considération toutes les principales options ». Les options peuvent parfois avoir des éléments qui sont tangibles, c’est-à-dire tout ce qui touche à l’argent de l’entreprise, les ressources humaines, les produits et les services. Il pourrait avoir aussi des éléments intangibles qui veulent dire les moyens pris par l’entreprise pour établir une bonne société de consommation, comme le leadership, les valeurs de l’entreprise ainsi que les dirigeants et la volonté de réussir. Il existe 5 critères qui pourront aider à la prise de décision finale dont :
La faisabilité : Si la solution est possible malgré toutes contraintes.
L’acceptabilité : C’est la collaboration de toutes les personnes qui seront impliquées dans l’application de la solution.
La pertinence : C’est la capacité que la solution aura pour résoudre le problème.
Le coût : le prix que coûtera pour appliquer l’ensemble de la solution.
La réversibilité : C’est la possibilité de revenir en arrière en cas d’erreur ou de mauvais choix.
CE QUE JE RETIENS : C’est le choix final pour régler le problème de l’entreprise et il se doit d’être précis. Nous devons accompagner cette solution décrit de A à Z avec les conséquences positives qui vont en sortir. Tout cela avec les 5 critères qui a mon avis, sera beaucoup plus évident d’en faire le choix.
EXEMPLE : La gérante décide de faire l’installation de caméras dans sa boutique pour avoir une surveillance accrue de l’avant à l’arrière. Ensuite, elle pourra aller regarder les bandes vidéo pour identifier les voleurs et faire le suivi avec les employés en faisant des fiches pour les suspects à surveiller ainsi elle pourra partager avec les autres boutiques pour la prévention des vols. Ce sera un investissement à long terme car elle pourra perdre moins de marchandises et vendre plus pour que le profit augmente. L’inventaire prochain sera donc moins effrayant car il aura une surveillance dans le magasin en tout temps.


Dernière édition par NathiaMironLUNDI le Dim 27 Nov - 20:52, édité 3 fois
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AudreyGosselinLundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeMar 15 Nov - 20:45

afro afro afro afro afro afro


Dans le forum que je vais vous présenter, j'y explique les meilleurs moyens pour devenir un bon gestionnaire à l'aide des notes de cours remise par Yves Morin en cours de Fonctionnement d'une entreprise de mode, puis à l'aide d'exemple de ma vie personnelle qui simplifie la définition. Les sujets que j'ai décidé d'aborder sont : trois éléments importants dans la façon d'apprendre à bien travailler, le rôle d'organisation d'un gestionnaire d'une entreprise, les compétences en relations humaines qu'il doit avoir pour compléter ses qualités et les 5 étapes qui l'aideront à résoudre des problèmes efficacement et rapidement.



Apprendre à apprendre et à bien travailler

Tout au long de notre parcours, nous avons acquis de connaissances dû à l'apprentissage. Certaine personne on plus de connaissances que d'autre car elles ont développées des méthodes plus efficaces. Premièrement, pour bien travailler, il faut accepter de changer ses méthodes de travail. Certaine de nos méthode peuvent être efficaces, et d'autres moins. Lorsque l'enseignant nous montre une nouvelle méthode, il faut savoir juger qu'il est préférable d'utiliser sa façon de travailler qui est favorable à notre réussite. Parfois, lorsque l'on rentre dans une entreprise, les façons de procéder ne sont pas toujours les mêmes de compagnies à compagnies. Donc, si on change de travail, il faut savoir se conformer au façon de faire des entreprises. C'est la même chose pour l'école. Par exemple, si un élève avait l'habitude de lire les textes préparatoires une seule fois et sans anoter, il se peut que dans certains cours c'est une étape importante pour réussir l'examen d'anoter et surligner les passages importants. Les personnes bornées et qui ne veulent pas se conformer aux méthodes les plus efficaces sont souvent ceux qui échouent le plus souvent.

Deuxièment, pour apprendre et bien travailler, il faut être à l'écoute. Il y a une différence entre : entendre une théorie et l'écouter. Entendre quelque chose est seulement le fait que tu étais présent lorsque la personne à divulguer son information donc tu as bien entendue ce qu'elle avait à dire. Tandis que, écouter quelqu'un parler signifie que tu lui as porté attention et ses informations sont bien retenue dans ton cerveau. Les informations difficiles à retenir doivent normalement être notées pour confirmer que tu les as enregistré. Puis, le fait d'écrire en même temps d'écouter permet de te garder actif dans la discussion.

Finalement, la préparation est la clée pour réussir. Si quelqu'un remets un travaille sans préparation, ça paraît. Pour se préparer, il faut être certain que peu importe ce qu'il arrive avant la remise du travail que l'on a à faire, tu as prévu le coup et il sera remis à temps. Par exemple, il faut présenter une nouvelle gamme de produit révolutionnaire pour la peau et tu dois monter un powerpoint sur tes idées. Pour être bien préparer, tu dois avoir terminer ton travail au moins deux semaines à l'avance soit pour répéter ton discours et tes arguments, pour améliorer les points faibles de ton projet ou si il arrive quelque chose, tu auras deux semaines de plus pour le régler et remmettre À TEMPS ton travail. Bref, il faut tout prévoir en fonction de la quantité et la difficulté du travail qu'il faut faire et se préparer en condition de. Il y a une autre façon de se préparer comme pour aller à une réunion. Avant une réunion, c'est toujours pratique de relire ce que l'on a étudié à la dernière réunion. Puis, on peut arriver 15 minutes d'avance pour poser des questions aux autres si nous n'avons pas compris quelque chose l'autre jour et pouvoir suivre les informations qui vont se donner lors de la réunion.

Bref, si on arrive à se conformer aux bonnes méthodes de travail qui nous sont proposées, qu'on est à l'écoute attentive lorsque les informations nous sont données en prenant des notes et en participant au discussions, puis se préparer en conséquence des contraintes à respecter pour le travail, c'est pratiquement impossible de ne pas réussir. C'est de cette manière que les gens apprennent efficacement à travailler puis réussissent ce qu'ils entreprennent.

Rôle du gestionnaire: organiser

Après avoir planifier son projet, un gestionnaire doit s'organiser. Il doit organiser le processus de division du travail et coordonner les résultats pour que les objectifs soient atteint. (note de cours, Yves morin, p.96)Il doit premièrement mettre en ordre les tâches qu'il s'est planifié pour obtenir son résultat voulu. Certaine étapes sont préalables aux suivantes donc si elle ne sont pas complèter, il peut arriver des conflits dans notre processus. Il faut mettre en ordre de priorité les tâches à accomplir.La meilleure exemple est lorsque nous pratiquons le métier d'organisatrice d'événement. Normalement, il y a plusieurs personnes sur la liste d'invités de l'événement et il faut assurer un bon déroulement. Le rôle d'organisateur du gestionnaire consiste à contacter les personnes qui feront aussi partie de l'événement y compris les DJ s'il y a lieu ou les éclairagistes, préposés à l'acceuil etc. Tout ceux qui font que l'événement sera complet. Elle doit avoir un agenda bien chargé de tous les rendez-vous. L'organisation se fait normalement sur papier à l'exception de quand elle doit contacter les participants. Elle écrit l'horaire de l'événement de façon réfléchis pour ensuite s'assurer de la présence de chacun des invités. Elle doit aussi décider de qui distribuera l'information et de quelle façon ils vont procéder.

Ensuite, l'organisation est aussi importante lorsque l'on a un travail à remmettre en tant qu'étudiante. Il faut gérer son temps tout en remmettant un travail complet et clair. Après avoir planifier ses journées de travail, l'étudiante doit organiser son temps et spécifier quelle tâche elle doit faire en premier. Cela en prévoyant de terminer son projet une semaine avant la remise. C'est pourquoi il est important de s'organiser avant de commencer à travailler. Il faut y aller étape par étape pour être sûre de ne pas oublier d'éléments.

Pour obtenir un bon fonctionnement dans une entreprise, il faut structurer son temps en vue d'accroître son projet et qu'il soit rentable. Le gestionnaire doit être capable de s'organiser car il a plusieurs tâches à accomplir avant de voir le résultat. Organiser un projet se définit comme arranger,préparer, structurer ses idées et ses plans en vue d'un usage précis. Pour être une bonne organisatrice, il faut détenir les compétences techniques et en relation humaine puisque l'on communique beaucoup avec nos clients.

Compétences en relation humaine

Un bon gestionnaire est ouvert d'esprit et a une facilité à communiquer avec les gens qu'il côtoit : ses employers, ses collègues de travail, son patron etc. De plus, il est important que le gestionnaire sache s'orienter vers le client. Il doit connaître les informations sur celui-ci afin de se dévouer pour répondre à ses attentes. Il peut utiliser cela pour améliorer son produit et les services offerts. Il doit donc établir une bonne relation avec les clients pour gagner leur confiance et leur respect. Ensuite, le gestionnaire doit aussi savoir communiquer correctement avec son équipe de travail. Il devra donc savoir se bâtir un esprit d'équipe. Dans les documents de "la nature et les fonctions de la gestion d'une entreprise de mode"p.98, on démontre qu'il faut savoir encourager son équipe en les laissant trouver des idées et faire leur travail pour leur créé un sentiment d'appartenance à la compagnie. Supposons que je suis entrepreneur de ma propre compagnie et que mes employers ne sont la que pour faire le travail que je leur demande, je dois les laisser apporter leur touche personnelle si elle est intéressante. Si j'étais un mauvais gestionnaire, je n'accepterais pas les idées des autres puisque je travaille seule. Cependant, il faut savoir intégrer la créativité de notre équipe pour qu'ils se sentent participant dans le projet.

Personnellement, quand je fais un travail d'équipe en classe, je ne participe pas aussi fortement dans le dialogue que les autres. J'aime écouter les idées des autres mais j'ai de la difficulté à défendre les miennes. Cependant, j'arrive à proposer certaines choses qui me donnent confiance. Lorsque les autres recoivent positivement mes idées, je me sens plus intégré dans l'équipe et j'ai envie d'en donner plus. Pour être un bon gestionnaire, il faut aussi démontrer que nous sommes une personne que l'on peut faire confiance. Par exemple, si une personne a un empêchement personnel et gênant et ne pourra être présente à une rencontre, c'est à moi qu'elle le dirais pusiqu'elle a confiance que je garderai la raison pour moi. Puis, si je demande à une personne de mon équipe de faire une partie du travail et qu'elle n'a pas bien compris, je dois m'assurer qu'elle ait confiance que si elle ne comprend pas, je ne suis pas là pour la juger. Je vais lui ré-expliquer plus doucement et clairement pour m'assurer qu'il n'y ai pas d'erreurs. Ainsi, si le travail, à la remise, comporte des erreurs, je ne dois pas la blâmer seulement elle pusique j'ai comme tâche de m'assurer de la compréhension et du bon déroulement du travail avant la remise. Suite à cela, la personne qui était en équipe avec moi ne regrettera pas de s'être mise avec moi et elle pourrait parler en bien de moi aux autres pour que je n'ai pas d'ennemi au travail ou à l'école.

Avoir de bonnes relations humaines ne sert pas seulement à s'harmoniser dans notre équipe. Elles servent à se faire des contacts et négocier. Premièrement, lorsque nous sommes gentille et nous savons communiquer avec nos clients ou patron ou collègues, ils peuvent tous devenir de bons contacts qui n'hésiterons pas à communiquer un de leur référence qui vous soit nécessaire pour quelquonque situation. Puis, à leur tour, les personnes que vos contacts vous ont référé deviennent à leur tour de nouveau contact qu'il faut conserver et maintenir une bonne relation amicale avec eux. Puis finalement, le gestionnaire doit savoir bien dialoguer avec son fournisseur pour lui négocier des bons prix. Il y a une semaine, je me suis acheter un manteau en cuir d'agneau et en fourrure. Ainsi, le manteau vallait 1 100 $. Cependant, j'ai démontré au vendeur que je m'y connaissait en matières premières et que je voulais m'assurer de la qualité du manteau. Puis, j'ai entretenue une belle conversation agréable pour que le vendeur de se sente pas attaquer par mes questions sur la qualité du vêtement. J'ai pu alors éliminer les taxes et acheter mon manteau 200$ moins cher que j'en était supposer. C'est pourquoi une bonne relation avec les gens permet de négocier de meilleur prix.

Les étapes de la résolution de problème

La première étape consiste à diagnostiquer le problème et le définir. Il faut connaître l'information sur le problème pour trouver les symptômes et non la cause comme écrit dans les notes p.131 du document notes de cours remis par Yves Morin. Avant de sauter à une conclusion, il faut connaître ce qui aurait pu causer le problème. Par exemple, j'ai échoué un examen de français qui comptait pour 15 points dans mon bulletin. Au lieu de simplement réviser une deuxième fois mes fautes d'orthographe à mon examen final, je dois analyser ma dernière dissertation pour extraire les causes de cette note. Peut-être que ce ne sont pas principalement mes fautes qui font que j'ai échoué.

La deuxième étape ne peut se faire sans la première. Après avoir bien pris conscience des causes qui pourrait avoir rendu une situation problématique, il faut faire la collecte d'informations pertinentes en lien avec le problème. Exemples du document p.132, qui est le responsable du problème?, de qui pourrait-on obtenir des informations au sujet du problème? Pourrait-on obtenir des faits à partir du client? etc. Je travaille comme Barmaid au Rotisseries St-Hubert et il y a des soirs que je fais beaucoup moins de pourboire et d'argent pour mon patron que j'en fais d'autre fois. Pour connaître la cause, je devrais me poser la question : quelles sont les informations que je pourrais avoir que je n'ai pas qui m'aiderait à savoir pourquoi j'ai fait moins d'argent? Suite à cela, je ne ferai pas de changements inutiles qui pourrait nuire à ma façon de travailler et je saurai si j'en suis la cause ou si c'est un autre facteur.

Troisièmement, il faut reconnaître les options qui s'offre et qui peuvent apporter une solution au problème constater. Suite à la cueillette de faits pertinents, il y a une abondance d'option possible qui serait la cause du problème. Il faut utiliser son intuition et avoir un bon jugement pour déterminer les bonnes options.

la quatrième étape est l'évaluation des options. Pour trouver la seule solution possible pour résoudre le problème, il faut tenir compte des modifications qui seront peut-être nécessairement au courant de la résolution du problème. Ensuite, il faut éliminer toutes les autres options trouvées dans la troisième étape. Pour choisir la bonne, il faut étudier chacune des otpions et les préciser. Pour mon exemple de St-hubert, je devrai me demander : Quels personnes je dois impliquer pour résoudre le problème?, Quels seront les avantages et inconvénients de l'option choisi?, Est-ce que ma décision est dangereuse pour la survie de l'entreprise?. etc.

La cinquième étape consite à prendre une décision finale tout en la justifiant. Le gestionnaire doit être certain d'avoir bien analyser en profondeur la cause du problème pour ensuite en dégager les options possible et en choisir une pour prendre la décision nécessaire pour résoudre le problème. Pour être sûre de son choix, il est bon de comparer son option avec les autres pour une conclusion certaine. Avec toutes les informations récupérées au cour des étapes, le gestionnaire détient les preuves qui justifiera sa décision. Le choix devra être faisable, pertinent, que tout le reste de l'équipe accepte, que le coût nécessaire à l'application de la solution et que si jamais la solution ne fonctionne pas, alors il y a un moyen sans trop de conséquences de le régler. Donc, il faut s'assurer que la solution réglera entièrement le problème sans laisser de trace.

ATTENTION, il peut arriver que le gestionnaire ne peut prendre de décision seul. Les options sont multipliées et donc, les décisions collectives permmettent d'avoir l'avis de plusieurs personnes et on en arrive à une conclusion justifié par plus d'une seule personne et ça peut être davantage convainquant.


Pour conclure, un gestionnaire commence par apprendre à bien travaillerpour ensuite obtenir quatre rôle important dont : planifier, organiser, diriger et contrôler. Puis pour être un bon gestionaire, il faut détenir des compétences en relations humaines mais aussi technique et en conceptualisation qui sont aussi décrites aux pages 110 et 11 dans le document "notes de cours". Suite à cela, il est prêt à tout même à résoudre les problèmesqui frênent les profits ou la croissance de sa compagnie en utilisant les 5 étapes clairement expliquées ci-dessus.


Dernière édition par AudreyGosselinLundi le Sam 26 Nov - 15:48, édité 2 fois
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DavidOuelletLundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeLun 21 Nov - 0:00


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Apprendre à apprendre et Apprendre à travailler :
Apprendre et apprendre à travailler consiste à bien respecter les conditions de bases. Premièrement, il y a la motivation. Le fait d’être motivé apporte grandement dans l’environnement de travail où nous travaillons. Car, effectuer des tâches n’est pas toujours facile. Par exemple, je travaille une journée entière chez Mc Donald’s, la journée a été difficile, je suis épuisé mais je garde quand même le moral. J’encourage mes collègues que nous sommes capable de terminer la journée ou de détendre l’atmosphère du milieu pour la rendre plus agréable en faisant rire un peu mon entourage. En pratiquant la motivation , il apporte beaucoup puisque la journée est facile à passer.
Il n’y a pas juste le fait d’être motivé. Il faut aussi savoir écouter les gens. Lorsque nous écoutons les personnes qui s’adressent à nous cela démontre une des plus belles qualités du gestionnaire. De même que l’écoute apporte des connaissances. Il ne s’agit pas juste de savoir s’écouter. Il s’agit de démontrer que nous sommes ouverts à l’autre. D’apporter une écoute active, poser des questions pour en savoir davantage. Ne jamais commencer à couper la parole de l’autre. Exemple : Ma gérante porte un bon exemple. Puisque celle-ci laisse toujours la porte ouverte de son bureau pour toutes questions ou tous problèmes. Généralement, elle porte une grande attention à ce que nous avons à lui dire. Elle trouve les solutions aux problèmes. De plus, elle laisse la parole aux employés. Il m’est déjà arrivé un problème tout récemment qui m’empêchait de travailler une journée le weekend concernant mes devoirs. Lorsque j’ai été engagé, elle m’avait avertie que si jamais il y avait un problème de venir la voir ou de l’appeler. Je l’ai appelé, elle a réglée mon problème et m’a donnée le dimanche de congé pour terminer mes devoirs.

Finalement, il faut avoir comblé ses besoins de base. Dans la vie, il est très important de pouvoir combler nos besoins du quotidien, ils sont le pilier de notre travail et de notre journée. Manger et dormir sont deux choses importantes. Car, imagine une personne qui dort mal et qui ne mange pas avant d’aller au travail ne mène pas bien son travail à terme. Il est difficile pour n’importe quel individu de faire un excellent travail sans les besoins de base .Donc au final, il faut repenser à tous les critères. Pour bien performer en tant que gestionnaire.

Les rôles du gestionnaire :
Dans les rôles du gestionnaire, il y a quatre compétences qu’un gestionnaire doit faire pour une bonne gestion de son entreprise : Planifier, Organiser, diriger, Contrôler. Par contre, je vais expliquer seulement le rôle de diriger. Au début de fonctionnement d’entreprise, je ne savais pas grand-chose sur le fait qu’un gestionnaire fonctionnait dans son environnement et comment il faisait pour bien faire son rôle. Dans les définitions des notes de cours de la page 89, la définition du rôle d’organiser : «C’est arranger, structurer en vue, d’un usage particulier. Mettre en place de manière fonctionnelle, soumettre à une méthode. Structurer un ensemble d’éléments en vue d’accroitre, développé, rentabiliser le fonctionnement». En somme, la seule chose que je connaissais pour ce qui est de d’organiser était «arranger, structurer en vue». Par exemple, j’ai déjà organisé une structure de mise en page pour l’album de finissants et des pages photos des finissants, exemple les mélis mélos. Je devais m’assurer ce que je préparais, était cohérent pour le style de notre album. J’ai tout fait, mais à la dernière minute quelqu’un à changer d’idée et à trouver un moyen de faire changer les pages que j’avais consacré pendant des heures. Le gestionnaire organise les choses importantes pour l’entreprise, mais aussi pour l’équipe que lui s’occupe. Mais comme un bon gestionnaire le sait, il y a toujours des surprises de dernières minutes qui arrivent et il doit réviser les quatre étapes de la démarche. Enfin pour terminer, lors de ce cours j’ai compris les rôles plus approfondis. Sinon, le gestionnaire ne ferait que de la mauvaise gestion et équilibre pour son entreprise.

Les compétences techniques :
Tous les emplois importent des compétences techniques. Il y a les compétences liées au domaine technique, aux relations interpersonnelles, à la conceptualisation et à la communication. Par exemple, moi je suis caissier, je dois avoir la compétence en communication, puisque je dois interagir avec mes cadres supérieurs et le public. Je ne savais pas : «un gestionnaire doit maitriser l’art de la communication». Tel écrit à la page 111 des notes de cours. Mais il ne faut oublier que tous les cadres doivent savoir comment mettre en pratique la communication. Donc, ceci passe des niveaux supérieurs, intermédiaires et inférieurs. Petit rappel, comme je disais auparavant, le rôle d’organiser rentre aussi dans les compétences techniques. À la page 110, il y a une ligne qui a attiré mon attention sur le fait du mot compétences. « Le mot compétences désigne ici les habiletés que doivent avoir les cadres pour accomplir leurs fonctions et jouer leurs rôles d’une manière efficace. »Cette phrase ma éclairé sur le contexte des compétences. Car elle résume bien l’ensemble de la matière.

La démarche de résolution de problèmes:

Dans la démarche de résolution de problèmes, il y a cinq étapes qui nous devons compléter pour résoudre le problème visé. Les étapes sont généralement prises pour la résolution de problèmes d’entreprise.
La première étape : Elle consiste à résoudre le problème, mais aussi quel est réellement le problème. En effet, tel écrit à la page 131 des notes de cours. Le diagnostic de la situation et définition du problème est : « La première étape du processus de la prise de décision passe par la collecte d’informations portant sur l’environnement général de l’entreprise, les conditions du marché et sur les éléments internes du marché. ». En voici un exemple, chez Mc Donald’s. Dans chaque entreprise comme Mc Do, il arrive parfois une mal information ou organisation de planification concernant l’achat de produits en restaurant. Il est déjà arrivé que la personne concerné aux achats et prises de commandes de la nourriture et biens ait complètement oublié de commander pour le restaurant des tomates. Ceci a l’air bénin comme problème, mais cela occasionner des plaintes des clients ou des remarques. Voilà donc, que la gérante a dû se concentrer sur les symptômes pour trouver la cause du problème. La gérante a finalement résolue le symptôme. C’était l’assistante-gérante qui avait oublié décrire sur la feuille de commande les tomates. Elle avait mal fait son`` job``. Comme déjà appris en classe et dans le devoir .Établir la situation désirée et perçu. Le problème est non-comblé.
La deuxième étape: Il y à la collecte et analyse des faits pertinents reliés au problème. Page 132 : « Après avoir bien défini le problème, l’étape suivante consiste à logiquement à recueillir le maximum de renseignements à son sujet. Ces données aideront à reconnaître les différentes options possibles ainsi qu’à en évaluer les avantages et les inconvénients. »Nous avons maintenant le besoin non comblé, il y a la collecte d’information: Combien de tomates dans le restaurant avaient-ils la dernière fois? Combien de tomates j’aurais dû avoir? Combien de te temps cela aurait pris pour la livraison? Il ne faut juste penser qu’au restaurant le dernier, mais avoir de données maximales sur le sujet.

La troisième étape
: Est la reconnaissance des options possibles. «Il faut reconnaitre les différentes options qui apporterons une solution au problème » p.132. Nous devons faire preuve d’intuition, à notre jugement et sur les connaissances assurées des théories et à l’expérience. En bref, avec nos infos que nous avons amassées, nous pouvons faire une panoplie de solution pour la solution du problème. L’objectif est d’améliorer la situation problématique ou carrément la rayer.

La quatrième étape : Est l’analyse des options. Trois choses si trouvent. Il y a de « Trouver des solutions raisonnables et pratiques qui pourraient résoudre le problème principal...Définir clairement chaque option en apportant le plus de précision possible. Faire une évaluation complète de chaque option en fonction des critères établis a l’étape de la collecte et l’analyse des faits pertinents … »Page 133. Prendre la solution la plus importante en éliminant pour une bonne solution. Faire la réflexion et faire des conséquences. Faire des questions comme : Qu’est-ce que cela résoudraient? Qui serait impliqué dans cette solution ? La plupart du temps nous pratiquons ceci pour résoudre nos propres problèmes dans notre vie. Exemple, j’ai déjà été sélectionné par deux employeur .J’ai dû faire le pour et le contre de chaque emploi pour pouvoir choisir lequel des deux. Les solutions m’ont aidé à choisir plus rapidement mon emploi. Pour terminer, pour l’évaluation complète de chaque option… On doit évaluer chacune des options. Mettre en application un tableau qui représente les conséquences positives ou négatives.

La cinquième étape : Si tout ce que nous avons fait comme recherche n’a pas été difficile. Le problème identifié et émis d’autres solutions au cas où. Et tout est mis ensemble bien complété. Le travail est fini. « Par conséquent, la décision s’inscrit dans une suite logique, elle apparait évidente et constitue une conclusion certaine. » Page 133. Faire la décision qui comprend moyennement de risque, avoir des informations relatant la situation. Tangibles et intangibles. Le choix final éclairé, doit avoir les critères suivant : la faisabilité, la pertinence, l’acceptabilité, le coût et la réversibilité. Généralement, le gestionnaire fait la décision avec une personne ou un groupe. Rare qu’il prend lui-même les décisions. Il arrive que le gestionnaire prenne les décisions simples et répétitives. Mais selon moi, la meilleure solution est de prendre une décision en groupe pour permettre d’appliquer une solution finale car chacun a une vision différente lorsqu’il s’agit de solutions.


Dernière édition par DavidOuelletLundi le Mer 23 Nov - 14:35, édité 2 fois
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kevinmaillouxlundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeMar 22 Nov - 14:19

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Apprendre[b]

Pour apprendre à bien apprendre et a bien travailler il faut plusieurs conditions de base. Comme accepter le changement qui selon moi est très important car dans n'importe quel milieu il faut être prêt au changement. Il faut s'adapter tout en prenant les changements comme des outils a notre apprentissage. Car dans la vie on apprend toujours et on ne sais jamais assez de chose il est important de rester ouvert. Pour ceci je vous donnerez comme exemple quand j'ai changer d'emploi dans un milieu similaire a mon ancien beaucoup de règlements et façon de faire étais différentes . La présentation visuel, la gestion de l’horaire et le système pour les caisses enregistreuses. J'ai appris les façons de mon nouvelle emploi et je sais maintenant plus de façon de faire la présentation visuelle , je sais maintenant comment faire les horaires d'une autre façon et je connais un nouveau système de caisse enregistreuse.

Pour bien accepter ses changements et bien les comprendre il me fallait un autre besoin de base l'écoute. Si on est pas a l'écoute , surtout quand quelqu'un nous montre à faire quelque chose , nous réussirons pas a bien effectuer les taches qui nous serons donnés dans le future. Pour continuer sur le même exemple que je vous es donné plus haut si je n'aurais pas été a l'écoute de ma nouvelle patronne qui me montrais comment faire de la caisse enregistreuse je ne serais pas apte a faire mes factures de mes clients , je ne pourrais être membre de gestion (troisième clés) pour effectuer des remboursements et surtout je ne serais surement plus à l'emploi de cette compagnie car ils auraient vu que je ne suis pas ouvert a leur changement car je ne suis pas à l'écoute.

Pour conclure, tous les conditions de bases sont importantes. C'est très important de pas les négliger pour maximiser nos chances de devenirs un meilleurs gestionnaires et même de devenir une meilleur personne.

**Nous connaissons mieux nos propres besoins que ceux des autres. Satisfaire les siens relève de la bonne gestion.**
-Ambrose Bierce-


Rôles du gestionnaire:

Dans le les rôles du gestionnaires il y en a quatre , Planifier,Organiser,Diriger et contrôler.
Celui donc j'ai choisi de vous parler est CONTRÔLER. Dans les grosses compagnies ceci ce fait avec toute une équipe de gestionnaire avec un à la tête qui prend les décisions finales. Ils doivent vérifier plusieurs paramètre de l'entreprise. Ils regardent pour que tout ce passe bien du coter des vente et du service à la clientèle surtout. Ce qui selon moi sont les coter les plus importants de l'entreprise.Ils doivent parfois réagir vite à un problèmes pour pas que cela nuisent aux ventes ou aux services à la clientèle. Il y a trois catégories de problèmes ; Problèmes urgents , problèmes non urgents et problèmes d'opportunité. Selon le types de problèmes le gestionnaire doit réagir différament. Il doit réagir et faire les modifications en mesure du problème qui survient pour ne pas affecter les rendement de la compagnie.Pour conclure le contrôle doit être fait et selon la situation et même parfois refaite si il y a pas les résultats voulu.

***Chaque grand gestionnaire a ses pauvres: les gens qui travaillent avec lui.***
-Philippe Bouvard-


Compétence technique:

Dans n'importe quel emploi que nous pourrions avoir il faut toujours avoir des compétence technique. Dans mon emploi en boutique je dois avoir la compétences de la vente pour non seulement garder mon emploi mais bien pour faire un meilleur salaire car mes commission font partie intégrante de mon salaire. Pour tous les types de cadre (inférieur,intermédiaire et supérieur) il faut avoir certain types de compétences. Pour chaque cadre il y a des compétence a ne pas négliger mais toute compétence peu être travailler et améliorer selon moi. Mais c'est certain que les compétence technique sont plus utiliser par les cadres inférieur ou de terrain comme on dit.

****Ne pas être un gestionnaire tylenol****
-Yves Morin-

La démarche de résolution de problèmes

Pour résoudre un problèmes il y a cinq étapes a suivent. Il est important d,avoir un plan de match pour bien cerner le problèmes et le régler au mieux de ses connaissances. Je vais vous les expliquer en vous écrivant un exemple qui es arrivé dans ma vie personnel.

Étapes 1: Diagnostiquer et définir le problème

Bien définir le problème et ensuite il faut ramasser le plus d'information possible pour être en mesure de prendre la bonne décision à la fin. Les information doivent porter sur l'environnement général,les conditions de marché et les éléments interne de l'entreprise. Cela peu commencer par un problème ou une occasion d'affaire à faire dans l'entreprise. C'est le cas aussi dans la vie de tout les jours, il faut régler les problèmes quand il arrive ou profiter d'une occasion qui peu améliorer notre condition.

ex: Je travaillais en boutique depuis 4 ans et je voulais monter dans la compagnie.

-Mon problème es de vouloir monter dans la compagnie.


Étape 2: Collecte et analyse des faits pertinents reliés au problème

Il faut ramasser les information qui sont reliés directement au problème.Ce qui vas nous aider a prendre une décision éclairer.

ex: J'ai défini mon problème de vouloir monter dans une compagnie alors je ramasse des informations reliés a ce problème

-Ce que je peu faire: retour aux études , expérience en boutique , temps approximatif avant de pouvoir monter.....
-Quelle écoles donne un cours en relation avec la mode
-Parler avec des gens du métier pour avoir leur parcourt


Étapes 3: Reconnaitre les options possibles

Savoir les options que nous avons pour résoudre le problème.ce sont les moyens mis de l,avant par le gestionnaire ou personne pour atténuer le problème détecte. Cette étapes fait appel à notre intuition , notre jugement et nos connaissances.

Ex: Après ma collecte je sais que je peux sois continuer à travailler en boutique pour qu'un jour je puisse monter ou retourner au études.

Étape 4: Évaluation des options

Trouver des solutions raisonnables et pratiques pour l'entreprise pour résoudre le problèmes principal. Éliminer toute les autres options trouver après cette étape. Bien voir tout ce qui pourrait ce passer après cette prise de décision. Bien définir toute les options que nous avons et bien voir au conséquences de chacun des choix.

Ex: J'ai le choix entre retourner à l'école ou rester dans le domaine et attendre ma chance.

-Pour ma première options cela implique un 3 ans au études et pour la suite espérer avoir un bon poste a ma sortie.
-Pour ma deuxième option c,est d,attendre et de faire le meilleur de moi même en boutique pour me faire remarquer par mes superviseur


Étape 5: La prise de décision et la justification

A cette étapes le choix devrais nous paraitre facile et sans équivoque. Il faut choisir notre meilleur option selon nos recherche et savoir la justifier sans problème. Savoir indiquer les avantages de notre choix et en être persuader aucun doute possible. Être sur que cela es faisable,pertinent acceptable,avoir les ressource financière et être réversible en cas de mauvais réaction face a ce choix.

Ex: Mon choix a moi a été de retourner aux études car c'étais la meilleur option pour arriver le plus vite possible a mon but et même pouvoir rêver a plus que je ne pourrais jamais rêver en restant en boutique.

Voici comment je vois la résolution de problème après avoir pris par a ce cours.















[u]


Dernière édition par kevinmaillouxlundi le Dim 27 Nov - 21:01, édité 7 fois
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cassand G-legault,lundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeMar 22 Nov - 14:23

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Diriger c’est savoir construire une liste de choses à faire selon un objectif en exercent un pouvoir d’autorité, tout en déléguant des tâches techniques aux collègue avec lesquels tu travail. C’est de montrer l’exemple et tout au long de l'excision vérifier si tout va bien et apporter des correctifs s’il y a lieu.
Pour moi un bon dirigeant c’est quelqu’un qui est capable de distribuer des tâches (selon une objectif) équitablement entre tous, en prenant compte de leurs forces et de leurs faiblesses.

Il y a des bons dirigeant, mais il y a aussi les mauvais comme ma gérante chez Ardene. Chaque jours lorsque je travail, elle fait une liste de tâches à faire qu’elle laisse trainer derrière la caisse. (elle devrait prendre le temps avec nous de nous expliquer chacun d’elle) Ensuite, nos nom sont pré-assigné à côté de chaque chose à faire (sa ses correct, le problème c’est qu’elle les distribue au hasard). En terminant elle se balance de qui fait quoi tout ce qu’elle veut ce que ça soit terminé à la fin de la journée et lorsqu’il y a des correctifs à apporter elle nous laisse nous arranger tout seul -_- . Cette façon de procéder n’est pas la bonne, car la plupart du temps les tâches qui me sont assignés me déplaise et/ou je ne suis pas très habile dans celle-ci alors je ne suis pas motivé, le travail ce fait lentement et tout croche ... résultat elle chiale.
Elle devrait plutôt apprendre à connaitre plus ses employés et la façon d’ont elles travaillent et évaluer à chaque fois qu’elle distribue les choses à faire, le faire selon nos compétences. Ainsi le travail ce ferait de façon plus efficace et il conviendrait à tous.

Comme nous avons appris dans le cours de fonctionnement d’entreprise, l’étape de diriger est très importante, car c’est la où ce passe l’action où les objectifs fixés se réalise petite à petite.

De mon expérience personnelle, qui est pas mal mieux que celle de ma gérante.
Durant mon secondaire 5, je fessais souvent des travaux en équipe avec les mêmes personnes. Je connaissais donc bien les habiletés de chacunes. Lors de la distribution des tâches à faire, je savais que Érika et moi étions bonne pour la recherche et le trouver les bonnes informations pour la réalisation du travail. Alors que Anne-Charlotte était bien meilleure pour corrigé les fautes et faire la mise en page. Alors en distribuant les tâches ainsi je savais que le travail allait bien se faire avec applications et selon les objectifs.

Voilà la façon dont j’ai compris qu’est-ce qu’un dirigeant de qualité et comment faire pour en être un.

Deuxième réflexion

La résolution de problème


La résolution de problème semble bien simple, mais lorsque qu’elle est bien fait c’est tout autre chose. Pour résoudre un problème efficacement on doit utiliser les 5 étapes de résolution de problème rationnelle vue en cours:
Phase 1 : la définition du problème, cette phase consiste à définir quel sont les conséquences à venir en phrasant la situation perçu et voulu.

Phase 2 : rechercher les informations, ceci est l’étape crucial selon moi qu’un bon gestionnaire doit faire avant de se lancer dans la prise de décision. La recherche d’information consiste à aller chercher les informations manquantes pour trouver la source et la cause du problème.

Phase 3 : Proposer des choix et solutions possibles, cela consiste à faire une liste des solutions possibles avec le côté positif et négatif de chacune des possibilités selon les informations recueillis. Cette phase peut parfois être fait en même temps que la phase deux.
Phase 4 : Analyse des faisabilité des solutions possibles et mise en application (évaluation des options), cette étape consiste évaluer les options qui sont devant nous, voir ceux qui sont les plus envisageables et réalisables, puis les sélectionnés. 
Phase 5 : La prise de décision et justification, la dernière phase consiste à prendre la décision, de la solution la plus envisageable pour le genre de problématique et le justifier selon la faisabilité, l’acceptabilité, le coût et la réversibilité. (source pour toutes les définitions: document de note de cours, par: Yves Morin, Session automne 2011, Fonctionnement d’une entreprise de mode, p. 131 à 134)
La méthode de résolution de problème est favorable dans les gros cas, car les plus petits problèmes ne nécessitent pas une grosse méthode. 
Exemple : Je n’ai plus de carburent dans ma voiture la seul solution est d’aller en mettre. 
Autre exemple plus complexe qui nécessite les 5 étapes. Lorsque j’ai su que j’étais accepté au Cégep Marie-Victorin, le problème qui est survenue est : comment je me déplace ? Étant donné que je demeure à Oka j’avais deux choix possibles :

Voyager en voiture

1- Je dois voyager en voiture de Oka à Montréal, ça va me couté cher de gaz, je dois me lever tôt chaque matin pour aller affronter le trafic.

2- Recherche d’information
le chemin qui comporte moins de trafic
combien ça va me coûter pour le gaz chaque semaine
À quel heure je vais devoir me lever chaque matin
La vignette de stationnement comment sa fonctionne

3- Si je voyage en voiture:
ça me coûte 90$ / semaine de carburent
Je prends la 640, puis la 25 pour aller prendre le nouveau pont
je dois me lever à 5h30 chaque matin
la vignette coûte 210$ pour tout la l’année.

4- J’ai décider de prendre le choix de la voiture, car en calculant le tout sa coûte moins cher et on n’a plus les moyens pour cette solution

5- J’ai pris la décision de rester chez moi et de voyager en voiture, car ça revenait moins coûteux et je me sentait pas vraiment prête à quitter mon domicile.

La faisabilité:La solution est très faisable et réaliste.
la pertinence:Je règle tout les problèmes que j’avais.
l’acceptabilité: Mes parents sont d’accord, car ça leurs coûtes moins cher à eux aussi.
le coût: 90$/ semaine d’essence + le pont A25 , 2$/ passage = raisonnable
la réversibilité: Je peut toujours voir la résidence en plan B

V.S

Aller en résidence

1- Je reste à côté du Cégep, ça me coûte cher de logement, je suis loin de chez moi et de ma petite routine de vie

2- Recherche d’information
-combien ça coûte le loyer par mois
-combien ça coûte d’épicerie par semaine
comment sont les résidences
comment ça marche avec les colocataires

3-Si je demeure en résidence
ça coûte 450$/ mois pour le loyer
ça coûte environ 50$ / semaine de nourriture
c’est un mini chambre avec ta propre mini toilette...
je suis loin de la maison

4- Après observation j’ai trouver moins envisageable de venir rester en résidence, donc la solution est éliminée.


Forum réflexion 3 :

Technique en relation humaine

La compétence technique de relation humaine consiste à être capable de former des équipes, stimuler les membres d’une entreprise et fournir une motivation à une personne ou même à un groupe. (source: document de note de cours, par: Yves Morin, Session automne 2011, Fonctionnement d’une entreprise de mode, p. 110)
Toutes les étés je travaille au camp de jour et j’ai d’affaire à gérer mon groupe en utilisant ma compétence de relation humaine. Je dois chaque jours motivé mes jeunes à vouloir jouer aux jeux que je leurs proposes qui ne font pas toujours leur affaire. Je dois également crée des équipes de façons originales afin de les stimuler. Donc en camp de jour chaque animateurs est en relation humaine avec son groupe, car c’est comme sont équipe de travail ou il doit maintenir l’harmonie tout au long de sa gestion.
Comme vue en classe avec l’activité d’Anne-Marie, tout gestionnaire doit utiliser ses compétences de relation humaine pour que sont entreprise ai bien et que tout le monde travaillent en collaboration et soient motivés à venir travailler.



Forum Réflexion 4

Apprendre et travailler.
Le métier d’étudiant et celui de travailleur sont sensiblement la même chose. Dans chacun des deux, différentes choses sont à faire pour bien réussir. Tel que, être motiver, savoir prendre des notes, ne pas avoir peur de s’affirmer et ou de changer, comblé ses besoins de bases, être bien préparé, être l’écoute, ne pas sauter d’étape et savoir lire, écrire, synthétiser…
Plusieurs d’entre eux sont inter-reliées et dépendante l’une de l’autre comme: 

Comblé ses besoin de base : Les besoins de base (dormir, manger, boire, respirer...) sont à la base de tout chose et ton organisme lui-même ne peut fonctionner si ces besoins ne sont pas comblés.(source: document de note de cours, par: Yves Morin, Session automne 2011, Fonctionnement d’une entreprise de mode, p.51)

Être bien préparé: C’est être à jour dans tout ces dossiers et ou devoirs, avoir prit de bonnes notes et ne pas sauter d’étapes (source: document de note de cours, par: Yves Morin, Session automne 2011, Fonctionnement d’une entreprise de mode, p.52)

Les activités intellectuelles: Un geste volontaire d’écoute, de concentration. (source: document de note de cours, par: Yves Morin, Session automne 2011, Fonctionnement d’une entreprise de mode, p. 51)

Je vais vous fournir une contre-exemple à ne pas faire. Lorsque l’envi me prends de vouloir aller voir mes amis, j’y vais sens me poser de questions. Alors la plupart du temps je rentres tard et je manque de sommeille (pas comblé un besoin de base), donc le lendemain matin ça va avoir de grosses répercussions toute la journée sur moi. Quand j’arrive en classe je me rends compte qu’il me manque mes documents pour pouvoir suivre le cours (être mal préparer) et de plus pour encore moins aider à ma situation mon manque de sommeil affaiblis mes activités intellectuelles ce qui fait que je n’écoute pas et que je suis distraite.
Maintenant le bonne exemple à suivre serais mon professeur en fonctionnement d’entreprise: à chacun de ses cours il arrive à l’heure avec tout sont matériels (être bien préparer), il est tout en forme et de bonne humeur, (avoir comblé ses besoins de base) et en terminant il donne sont cours de façon concentré et avec passion (activités intellectuelles).
Alors si une seule de ces conditions n’est pas appliqué c’est toutes les autres qui sont également touchées: comme dans mon exemple en haut le seul fait que j’aille pas comblé mes besoins de base ont affectés toutes les autres. Autre exemple, si tu est mal préparé, mais tu a comblé t es besoins de base et tu est près à te concentrer, tu ne pourras pas le faire adéquatement, car tu sera mal préparé, il te manquera ton matériels ou tu sera incapable de faire de l’écoute active, ETC.
Voila comment j’ai compris ces trois conditions pour apprendre et pour bien travailler et pourquoi selon moi l’une vont avec l’autre, elle sont tout dépendante.
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Émilie Marion Lundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeMer 23 Nov - 23:47

farao farao farao farao farao farao farao

Lorsque les gestionnaires ont un problème dans leur entreprise, ils le résous à l’aide de la méthode de résolution de problème. S’ils suivent les étapes à la lettre le problème va se régler tout simplement.

Étape 1 : Le diagnostic de la situation et la définition du problème, cette étape consiste à assembler des informations qui concernent l’environnement de l’entreprise, afin de bien déceler le problème. Pour ce faire, il faut identifier la situation que le problème à causé ainsi que la situation que nous désirons, par rapport à celui-ci. C’est en quelque sorte une évaluation et une définition du problème, ainsi nous pouvons bien nous enligner pour le régler. Aussi, il faut se concentrer sur la cause du problème pas la conséquence, selon les notes, page 131 : « Ce qu’il faut absolument éviter, c’est de simplement traiter les symptômes sans affronter les véritables problèmes.» Je trouve cet exemple très représentatif, car il y a une différence entre la conséquence du problème (symptôme) et la cause de celui-ci. En allant chercher la cause nous sommes sur que le problème ne reproduit plus.

Étape2 : La collecte et l’analyse des faits pertinents qui sont reliés au problème, nous permettent d’identifier les sources potentielles du problème. Cependant, il faut regarder les causes possibles pas les conséquences que celui-ci nous amène. Aussi, il faut faire attention de pas identifier les solutions possible, car cette étapes consiste seulement à trouver les causes.

Étape 3 : La reconnaissance des options possibles, c’est reconnaître les options qui serviront à régler le problème de l’entreprise.

Étape 4 : L’évaluation des options, consiste à juger les options ,trouvées à l’étape 3, qui peuvent nous amener une solution ou non. Il faut les regarder une à la fois et décider lesquels vont nous servir.

Étape 5 : La prise de décision et la justification, cette étape consiste à faire le choix de la bonne solution au problème. Il faut être capable de justifier la solution choisie et la comparer aux autres options pour prouver que c’est la bonne et que nous avons exploité toutes les options possibles.

Une fois que toutes ces étapes sont complétées, le gestionnaire peut maintenant régler le problème de son entreprise. Il est très important de ne pas sauter d’étapes, car dans le cas contraire nous n’arrivons pas à une solution plausible. Par exemple, une gérante d’un magasin qui a une employé qui ne performe pas bien au travail, si elle est une bonne gestionnaire, ne va pas la mettre à la porte. Ella va plutôt la convoquer pour discuter de ce qui ne va pas, lui donner des indications pour que cette employée s’améliore. De plus, la gérante peut payer une formation de vente à son employé pour qu’elle soit meilleure. Il y a plusieurs options à se problème, la gérante efficace va regarder chacune d’entre elles et trouver la bonne solution.


La planification Basketball
La planification, selon les notes de cours, page 88, se définit comme : « l’action de planifier, c’est-à-dire gérer, dans le temps, une succession d’actions ou d’évènements afin de réaliser un objectif particulier ou un projet.» Je crois que cette définition englobe bien cette notion. De plus, pour bien planifier, nous devons être renseignés sur l’objectif, alors nous pouvons par la suite céduler les dates importantes.
Par exemple, quand j’ai un travail de session à réaliser je prends le temps de bien lire les consignes et je pose des questions à mon professeur. Ensuite je regarde combien de temps que j’ai pour réaliser ce travail et je me crée un échéancier. Je m’y prends toujours à l’avance, car s’il y a un imprévu je peux le régler, par exemple, si j’ai fais une partie du travail croyant comprendre ce qu’il fallait faire et que ce n’est pas bon, je peux recommencer.

Bref, quand nous planifions bien nos tâches pour un travail, les chances de réussite sont très probables, car c’est une façon de travailler hors pair.



Apprendre à travailler Laughing

Pour bien travailler, il faut avant tout être motivé, car c’est cette motivation qui va nous pousser à en faire plus, pour nous dépasser dans l’atteinte de notre objectif. C’est elle qui nous aide à régler les problèmes qu’on rencontre au travail, car c’est lorsqu’on la perd que l’on abandonne. Mais cette motivation n’apparait pas par magie, il faut tout d’abord prendre soin de nous en comblant nos besoins de bases entre autre. Si je me rends à l’école en ayant pas dormi de la nuit ni manger ce matin, c’est certain que je ne vais pas être en forme pour ma journée. Ainsi, je ne vais pas écouter en classe, mes notes vont être mal prises, etc.

De plus, pour bien travailler il faut avoir une bonne écoute pour bien comprendre les tâches qu’il faut faire et les consignes à respecter. Par exemple au travail, si je suis dans la lune quand mon patron me montre comment faire les remboursements et les retours à la caisse, je ne vais pas être efficace lorsque je vais servir un client. Ainsi je vais faire des erreurs en faisant la transaction et le client sera insatisfait, donc il ne fera plus confiance à cette entreprise. Juste parce que je n’es pas bien écoutée j’ai peut-être fait perdre un client au magasin.

En gros, pour bien travailler il faut être motivé et être à l’écoute. Afin d’avoir cette motivation et cette écoute, il faut prendre soin de nous, bien manger et dormir. C’est un cycle, puisque ces trois éléments clé du travail efficace vont de soi.


Compétence en relation humaine Wink

Quand un gestionnaire a des compétences en relation humaine, il communique facilement et efficacement avec les autres. Il fait passer son message de manière à ce que la personne concerné comprenne bien. Alors, si ce message est négatif cette personne ne le prendra pas mal, car le gestionnaire lui aura dit de la bonne façon. Par exemple, j’ai déjà fais beaucoup d’erreur avec la caisse enregistreuse à mon travail mais ma patronne m’a jamais fais de reproche, au lieu de cela elle me disait clairement ce que je faisais de mal et me donnait des explications pour que ça n’arrive plus.

Ensuite, un gestionnaire qui a des compétences en relation humaines doit être capable de stimuler ses employés pour qu’ils soient motivés à faire le travail. Il doit les encourager et complimenter leurs efforts. Par exemple, ma gérante me rappelle toujours quand j’accomplis quelque chose de bien. Pour moi, c’est très motivant de me faire dire bravo quand je me suis forcer à faire une tâche, aussi ça me donne envi d’en faire encore plus. Ainsi comme il est écrit dans les notes, page 110 : « Toutes les catégories de cadres devraient posséder des compétences interpersonnelles, peu importe son secteur d’activité et sa position hiérarchique.» Alors, nous avons la certitude qu’un gestionnaire qui agit de cette façon ne se trompe pas, car il construit une belle relation avec ses employés, alors le travail est fait efficacement et dans un climat d’harmonie.

J’ai réalisé que c’était la bonne façon de travailler, parce qu’elle permet au gestionnaire et à l’employé d’être heureux au travail et avoir moins de pression. Donc, si un jour je deviens gestionnaire, je vais employer cette manière de travailler.
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Laurence Hébert Lundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeJeu 24 Nov - 13:30

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Des notions que j’ai confirmées durant le cours de fonctionnement d’entreprise sont les conditions de base pour apprendre.

Théorie : Être motivé, avoir comblé ses besoins de base et être bien préparé sont des notions qui se relient toutes ensemble. Premièrement, pour être prêt à apprendre ou à travailler il faut s’investir dans ce que l’on fait. Être investi soit dans notre entreprise, ou dans notre milieu d’étude sera bénéfique pour notre apprentissage. De cette façon, nous serons davantage motivées. Deuxièmement, il faut combler ses besoins de base. Les besoins de base sont, en premier lieu, le sommeil et la digestion. En deuxième lieu, il y a l’équilibre face au stress, à des émotions fortes ainsi qu’à des soucis financiers. Pour terminer, il faut se procurer du bien-être par la détente, les loisirs et le rêve. Troisièmement, il faut être bien préparé. Cette notion signifie être à jour dans le contenu et les tâches d’un cours en ayant compris et révisé la matière, ainsi qu’en ayant fait les lectures et les travaux donnés par le professeur ou l’employeur. Elle signifie aussi avoir de bonnes notes de cours, c’est le support requis pour réviser. Pour ce faire, il faut prendre des notes adéquates et au bon moment, ainsi que les classer pour se comprendre. Finalement, il ne faut pas sauter d’étapes dans les niveaux d’approfondissement d’une matière, c’est-à-dire dans l’acquisition des connaissances, l’application, la synthèse, l’analyse, la compréhension et l’évaluation, ainsi que dans l’ordre logique d’un cours, c’est-à-dire le relier, le schématiser et le hiérarchiser.

Ce que je retiens : J’ai mis en pratique c’est trois notions durant la session, du mieux que je le pouvais, et effectivement, apprendre est beaucoup plus facile. De plus, les résultats obtenus me satisfont. Lorsqu’il y en avait une qui manquait, surtout pour les besoins de base et pour la préparation, je voyais en classe que j’avais des lacunes ces journées-là et cela n’aidait pas pour la suite. La clé est d’être organisé et d’avoir un horaire à suivre, le plus réaliste possible. De cette façon, ce sera un plaisir de s’investir dans notre scolarisation ou notre carrière.
Je dis plus haut que j’ai confirmé ces notions car je les connaissais déjà, mais je n’avais pas nécessairement eu le besoin véritable de les suivre. En les essayant j’ai réaffirmé ma connaissance de celles-ci et leur efficacité.

Exemple : Je me couchais très tard un soir et j’avais des cours le lendemain, j’avais de la difficulté à fonctionner correctement, donc à écouter et à assimiler la matière. Le soir j’arrivais chez moi, je n’étais pas efficace dans mes travaux et j’avais beaucoup de difficulté à me concentrer. Cela retardait ma préparation pour les autres cours, et retardais ainsi mes heures de sommeil que j’avais à rattraper. Je devais me motiver plus que d’habitude pour rattraper le retard accumulé, et c’est certain que dans ce temps-là que s’investir est plus difficile et la motivation part quelque peu.


Une nouvelle notion pour moi serait les compétences globales. Je commencerai par la compétence technique et enchainerai par une notion que j’ai confirmée, les compétences spécifiques : savoir déléguer, bâtir un esprit d’équipe et gérer par la vision et les buts.

Théorie compétences techniques : Les compétences techniques sont des compétences que les cadres inférieurs se doivent de posséder car elles font partie de leur travail quotidien. Il y a certaines tâches techniques qui sont attribuées aux cadres intermédiaires, mais elles sont plus courantes pour les cadres inférieurs. Ce sont des tâches que tout le monde peut apprendre et qui sont relativement simples, mais toutefois indispensables.

Ce que je retiens : Ces tâches sont souvent présentes dans les postes d’entrée comme assistante-acheteuse ou assistante-gérante. Elles sont systématiques et ne demande pas beaucoup de réflexion. Il ne faut cependant pas dénigrer ces tâches car, sans elles, tout le reste du travail ne pourrait pas exister. Il y a aussi des personnes qui préfèrent rester à ce niveau car c’est d’aider les autres qui les intéressent, comme il nous a été expliqué dans le cours de carrières et professions.

Exemple : L’assistante-gérante d’un magasin doit s’occuper de faire l’horaire pour les conseillères pour la semaine à venir. L’assistante-gérante est un cadre inférieur, elle doit effectuer une tâche qui s’apprend bien et qui n’est pas complexe. Par contre, si l’horaire n’est pas faite pour la semaine prochaine, aucune des conseillères seront disponibles pour travailler et le magasin ne pourra fonctionner correctement. Sa tâche est donc absolument nécessaire.


Théorie compétences spécifiques : Pour ce qui est des compétences spécifiques, il faut savoir déléguer. Un bon gestionnaire doit être capable de donner des tâches à ces subordonnées en ayant confiance en eux, sinon l’entreprise ne pourra fonctionner correctement. Un gestionnaire ne peut évidemment pas tout faire fonctionner sans l’aide de personne. De plus, comme il est inscrit dans le cahier de notes, il faut « laisse[r] ses subordonnés terminer leur propre travail » (page 98). En étant capable de faire confiance à ses employés, le gestionnaire bâti un bon esprit d’équipe. C’est de cette façon qu’il sera en mesure de partage les victoires avec, eux ainsi que les problèmes. Ils seront plus portés à l’aider et à s’investir dans l’entreprise pour que celle-ci soit en bonne santé financière. Pour l’aider à informer ses auxiliaires du bon ou mauvais rendement de l’entreprise, le patron doit gérer par la vision et les buts. Une phrase qui représente bien cette vision dans les notes de cours est la suivante : «[Le gestionnaire] crée des événements marquants et des symboles pour rallier les gens et supporter la vision ; » (page 99). C’est de cette façon que l’entreprise pourra atteindre ces objectifs. Il faut toujours partager les succès avec l’équipe et il est aussi bien important que lorsque des défaites se présentent, d’être optimiste et d’encourager notre équipe à redoubler d’efforts, en faisant de même pour notre propre travail. Cette motivation se verra à travers notre travail et concrétisera peu à peu notre vision à long terme.

Ce que je retiens : Je retiens principalement que de pouvoir compter sur nos employés est la clé du succès pour une entreprise. Si le gestionnaire peut compter sur eux, il sera facile pour lui de créer un esprit d’équipe car la confiance règnera. De cette façon, ils seront intéressés à faire de l’entreprise un succès et il sera plus facile de gérer par les objectifs et résultats car ils seront intéressés par eux et chercheront à se surpasser pour atteindre le résultat.

Exemple : Je suis responsable de la surveillance des ventes, au magasin Pentagone, lorsque la gérante n’est pas disponible. Je l’aide à faire plusieurs tâches et tente de diriger l’équipe comme si c’était elle-même qui le faisait. Elle m’a inculquée de bonnes connaissances, comme celles que j’ai apprises en classe, je peux donc les mettre en pratique. Lorsque je m’occupe du magasin, je reste conseillère mais dirige mon équipe. Bien sûr, il est dans mon devoir de veiller à ce que tout se passe bien avec les clients, et pour cela je dois déléguer des tâches à mon équipe. Premièrement, il y a beaucoup trop de clients pour qu’un service adéquat soit offert si je suis seule sur le plancher. Les autres conseillères s’en occupent donc et je veille à ce que tout se passe bien. Durant ce temps, je les encourage et leur fait part de l’objectif tout au long de la journée. Lorsque les ventes sont bonnes, je les pousse à continuer et les félicite pour créer un esprit d’équipe solide. Si les ventes vont moins bien cette journée-là, je les guide vers les objectifs qu’il faut obtenir et les motive afin d’offrir un excellent service et ne pas laisser se décourager. Je leur donne des trucs de vente, et un de ceux-là est de travailler en équipe car c’est de cette façon que nous parviendrons à atteindre les objectifs désirés. L’ambiance de travail est donc agréable et tout le monde est content de travailler !


Une toute nouvelle notion pour moi, très utile autant dans la vie de tous les jours que dans le travail, est la méthode rationnelle de la prise de décision.
Pour expliquer cette notion je vais m’y prendre différemment, je donnerai un exemple de la vie courante pour prouver que ce concept s’applique de différentes façons.

Théorie et exemple : Je suis une étudiante au Cégep qui vit en appartement depuis 3 mois. Afin d’avoir une vie fonctionnelle, j’ai dû m’équiper de A à Z. J’ai, entre autres, fait des recherches pour avoir des électroménagers pas trop chers. J’ai réussie à trouver un réfrigérateur peu dispendieux. Malheureusement, il a brisé après quelques mois. J’ai alors cherchée les causes de ce problème, il faut aller « au-delà des symptômes pour en déceler la cause » (Page 131). Il ne faut pas oublier de chercher autour de nous au sens large, et de ne pas se concentrer seulement sur la proximité du problème.

Ensuite, j’ai recueillie des faits pertinents sur mon réfrigérateur et autour de celui-ci. Cela m’aidera plus tard pour « reconnaître les différentes options possibles ainsi qu’à en évaluer les avantages et les inconvénients. » (Page 132) J’ai effectuée des recherches pour trouver quel est le responsable du problème. De quels spécialistes puis-je avoir des informations sur mon problème ? Connais-je quelqu’un à qui cette situation est arrivée et qui pourrait me donner des conseils ? (Bien sûr, lorsqu’un problème plus complexe survient, par exemple en entreprise, plusieurs autres questions peuvent êtres de mise concernant les clients, l’environnement externe et interne de l’entreprise, etc.) J’ai ensuite analysée ces informations pour classer celles qui m’étaient pertinentes et celles qui l’étaient moins. Dans cette étape, il faut toujours garder en tête que l’on ne veut point régler le problème vite fait et s’en débarrasser, mais plutôt penser à long terme pour que la situation s’améliore et qu’un autre problème ne survienne pas la semaine suivante.

À l’aide de ma collecte d’informations, j’ai pu proposer différentes options possibles. Dans cette étape, il faut mettre tout ce que l’on pense qui pourrait régler le problème. On évalue ensuite si, dans notre cas, ces étapes seraient réalisables et saines pour celui-ci. Voici quelques options que j’ai proposée lorsque le problème est survenu :
- Acheter un réfrigérateur neuf
- Le faire réparer et changer les pièces dysfonctionnelles
- Ne plus avoir de réfrigérateur
- Acheter un réfrigérateur usagé

Par la suite, c’est dans cette étape que l’on classe nos options. Il faut s’assurer que chaque option est réelle. Les autres options, peuvent être éliminées ou on peut apporter des modifications à celles-ci pour qu’elles puissent être plus adaptées à notre besoin. Par la suite, il faut la préciser de façon extrêmement claire. S’interroger sur les répercussions qu’elle aurait à notre problème, sur les avantages, les inconvénients, etc. Il faut prendre en compte les conséquences financières, comme dans mon cas. Dans celui d’une entreprise les personnes impliquées, la survie de l’entreprise et les conséquences juridiques et politiques, seraient aussi des informations très importantes à prendre en compte. Finalement, il est nécessaire d’évaluer ces informations afin de choisir la meilleure option possible. Dans mon cas, voici mon classement d’option :
1. Acheter un réfrigérateur usagé (Bonne solution financièrement)
2. Le faire réparer et changer les pièces dysfonctionnelles (Peut coûter plus cher qu’un neuf donc pas très stratégique)
3. Acheter un réfrigérateur neuf (Pas bonne solution financièrement)
4. Ne plus avoir de réfrigérateur (Pas faisable car mon style de vie ne sera plus fonctionnelle

Pour conclure notre processus de résolution de notre problème, il faut prendre la décision finale. Cependant, si nous avons fait les étapes précédentes avec soin, la décision va de soi. Il faut prendre faire notre verdict selon ce qui va répondre le mieux à notre objectif, soit dans ce cas avoir un réfrigérateur fonctionnel. On peut regrouper plusieurs bonnes options ensemble afin d’obtenir la meilleure. Les critères pour exercer le choix final sont :
- La faisabilité : Il s’agit de vérifier si le choix est adapté et faisable face à nos contraintes, tel que le budget pour ce cas-ci. Pour les entreprises, il faut aussi regarder la technologie et les politiques de celle-ci.
- La pertinence : Il faut s’assurer que notre solution permettra de rapporter tous les bénéfices possibles et qu’elle réglera tout le problème. Il ne faut pas nuire à d’autres variables de notre bien-être (ou de la santé de l’entreprise) pour résoudre ce cas.
- L’acceptabilité : Il faut s’assurer que la collaboration envers notre solution soit bonne. Dans notre problème, ce point ne s’applique pas vraiment, mais il est très important en entreprise. Si les employés désapprouvent totalement votre solution et qu’ils ne sont pas prêts à vous aider dans cette voie, ce ne sera pas une bénéfique pour votre entreprise. Il faudra donc évaluer une autre solution qui sera plus acceptée.
- La réversibilité : Il faut toujours s’assurer que notre décision peut être remise en question. Si l’on décide d’annuler cette décision, il ne faut pas que les conséquences soient catastrophiques. Par exemple, si l’on décide de fermer notre magasin, un coup que nous avons tout vendu le matériel il est impossible de revenir en arrière. Par contre, si nous décidons de le fermer et de le relocaliser ailleurs, il est possible de revenir sur notre décision sans trop de conséquences.
Dans mon cas, après avoir évaluée les options, ma décision était claire. Acheter un réfrigérateur usagé était la solution la plus pratique. De plus, elle respectait tous les critères. Je n’ai donc pas eu à regrouper plusieurs options ensemble car elle était déjà parfaite en soi.

Ce que je retiens : Je retiens principalement que l’on peut utiliser cette méthode de prise de décision dans toutes les sphères de notre vie, personnelle ou professionnelle. De plus, peu importe la situation, elle nous sera utile à travers les années car c’est la base de toute résolution réfléchie.

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camillebrier




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeJeu 24 Nov - 19:43


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La résolution de problèmes - En cinq étapes

Étape 1- Diagnostic de la situation et définition du problème

Il y a deux semaines, j’ai malheureusement égaré mon cellulaire. J’aurai pu tout de suite en acheter un autre, mais au lieu de ça, j’ai suivi le processus de la résolution de problèmes. Tel que dit à la page 131 de nos notes de cours : « La première étape du processus de la prise de décision passe par la collecte d’informations portant sur l’environnement général de l’entreprise, les conditions du marché et sur les éléments internes de l’entreprise ». Cette phrase explique qu’il faut, en premier lieu, comprendre la situation en se disant, « Quelle est la situation perçue ? » et « Quelle est la situation désirée ?» . Dans mon cas, je percevais que je n’avais plus mon cellulaire, et je désirais le retrouver. Transposons ma situation en entreprise en remplacent le cellulaire perdu par une caisse défectueuse dans une boutique, en se rappelant qu’il faut « se concentrer sur les symptômes et non la cause » . Un mauvais gérant se dira « Il faut acheter une nouvelle caisse! »  , et un bon gérant qui concentre ses pensées sur les symptômes et non sur la cause se dira « Il faut trouver pourquoi la caisse est défectueuse ! » . On voit alors que la première étape est primordiale, car elle dirigera les autres étapes à aller dans telle ou telle direction.

Étape 2 — La collecte et l’analyse des faits pertinents au problème

Après avoir compris en quoi consiste vraiment le problème, il faut trouver des solutions afin de le régler, c’est-à-dire, « recueillir le maximum de renseignements à son sujet » tel qu’indiqué à la page 132 des notes de cours. C’est exactement ce que j’ai fait lorsque je me suis aperçue de la disparition de mon cellulaire. Après avoir longuement fouillé dans mon sac, je me suis demandé où je l’avais vu pour la dernière fois. Je me suis donc dit que j’avais besoin du numéro de tous les endroits que j’avais visité les heures suivantes, des témoignages de mes amis pour savoir s’ils l’avaient vu, et d’une image de mon cellulaire pour que les gens sachent vraiment de quoi je parle. Si l’on reprend l’histoire de la caisse défectueuse à l’étape 1, le gérant aurait besoin d’informations telles que le témoignage des employés pour savoir si l’un d’eux est au courant de quelque chose, des numéraux de téléphones de plusieurs réparateurs, et des renseignements des gérants des autres boutiques pour savoir s’ils ont déjà rencontré un problème de caisse défectueuse. Il faut déterminer tous les faits pertinents au problème, car sinon, on risque d’avoir oublié un élément très important et de ne jamais vraiment résoudre le problème.

Étape 3 — la reconnaissance des options possibles

Après avoir récolté toutes les informations dont nous avions besoin, il faut penser aux options possibles, c’est-à-dire, ce qu’il est possible de faire pour régler le problème. Les options que j’avais à se moment là étaient les suivantes : Acheter un nouveau cellulaire, chercher mon cellulaire jusqu’à ce que je le trouve, ou bien, laisser la situation telle quelle est et ne pas en acheter un autre. Les options du gérant ayant une caisse défectueuse seront peut-être d’acheter une nouvelle caisse, de la faire réparer ou bien de conserver la caisse défectueuse. À cette étape, il faut« faire appel à l’intuition, au jugement et aux connaissances fondées sur la théorie et l’expérience ».

Étape 4 – L’évaluation des options

À cette étape, il faut, tel qu’il est dit à la page 133 de nos notes de cours, il faut « définir clairement chaque option en apportant le plus de précisions possible » et aussi « faire une évaluation complète de chaque option et classer les conséquences prévues de chaque option sous forme d’avantages et d’inconvénients. » C’est donc ce que j’ai fait. Voici les avantages et les inconvénients de chacune de mes options :

Acheter un nouveau téléphone
Avantages : Je vais en avoir un neuf plus performant, car je vais pouvoir le choisir selon mes besoins actuels.
Inconvénients : Il ne me restera plus beaucoup d’argent, puisque je suis dans un forfait de 3 ans, et que mon nouveau téléphone ne sera pas gratuit cette fois. De plus, il va falloir que je désactive l’autre, donc débourser de l’argent, et ensuite activer le nouveau, donc encore débourser de l’argent.

Le chercher jusqu’à ce que je le trouve
Avantages : Je ne vais pas être obligée de dépenser de l’argent, et je vais encore avoir tous mes contacts dans mon cellulaire.
Inconvénients : Ça peut être un long processus et je risque de ne peut-être pas le retrouver s’il a été volé, par exemple.

Ne pas en acheter un autre et reste comme ça
Avantages : Je ne vais pas être obligée de perdre du temps à le chercher.
Inconvénients : Je vais devoir annuler mon forfait, ce qui pourrait me couter un bon gros deux cents dollars.

À cette étape-ci, le gérant aurait à peu près les mêmes pour et contre à peser. L’élimination de ses options les moins avantageuses sera donc son choix personnel.

Étape 5 — La prise de décision et la justification

Nous voilà à la fin du processus où il faut maintenant faire un choix. Si toutes les étapes précédentes ont bien été analysées et réfléchies, la prise de décision ne sera pas très difficile. Dans mon cas, ça n’a pas été bien difficile, car j’ai bien « comparé toutes les options afin de montrer pourquoi la recommandation préconisée est la meilleure, en expliquant pourquoi l’option recommandée est supérieure à toutes les autres »comme il est dit à la page 133 de nos notes de cours. En pesant les pour et les contres, lors de l’étape précédente, j’ai finalement décidé de chercher jusqu'à ce que je le retrouve, car ça ne va pas me couter d’argent, mais seulement du temps, et j’en ai beaucoup devant moi. Tout comme je l’ai fait, un gestionnaire qui prend une décision devra se fier sur des critères tel que la faisabilité (s’il est possible de le faire), la pertinence (si ça a du sens de le faire), l’acceptabilité (collaboration des autres), le coût (ressources financières), et la réversibilité (la possibilité de renverser la possibilité de renverser) de ses options. J’ai pris la décision seule, mais il arrive qu’un gestionnaire prenne des décisions en équipe. Revenons à notre gérant ayant une caisse défectueuse dans sa boutique, celui-ci appellera surement les gérants d'autres boutiques ou des gens des cadres supérieurs. C’est une meilleure façon de prendre une décision, car ça amène le consensus de plusieurs cerveaux et comme on dit, deux têtes valent mieux qu’une. L’étendue des renseignements sera plus vaste, la résolution du problème sera plus longue, car il faudra faire valoir ses idées aux autres, mais le résultat final respectera certainement les cinq critères pour exercer un choix final nommés plutôt.

Être motivé, combler ses besoins de base, être bien préparé - Apprendre à travailler

Pour apprendre à travailler en entreprise, ou à apprendre à apprendre, s’il est question des études, plusieurs conditions de bases se doivent d’être acquises. À travers cette réflexion, je vais vous parler de trois conditions de bases qui sont reliées entre elles.

Selon moi, la condition de base qui influence toutes les autres est certainement la motivation. Elle est à la base de toutes nouvelles réalisations et c’est elle qui nous donne envie de mettre un projet à terme. Cette année, j’ai choisi l’option soccer pour mon cours d’éducation physique. Malheureusement, mon cours est le jeudi matin à huit heures, et le mercredi soir je rentre toujours tard, car j’ai soit un match d’improvisation, une pratique, ou je dois animer le match des deux autres équipes du collège. Pour me lever le matin, j’ai donc besoin de beaucoup de motivation, car mes nuits de sommeil du mercredi à jeudi sont assez brèves. Sans la motivation d’avoir de bonnes notes et de réussir mon cours, je n’irais surement pas à mes cours, et je me verrai obligé de reprendre ce cours la session prochaine. Qu’on aille à une réunion dans le cadre de notre emploi parce que l’on est un gérant de boutique ou qu’on aille s’entrainer au petit matin, la motivation reste une chose extrêmement importante.

Pour être en pleine forme lorsque je mets le pied sur le terrain, il me faut avoir comblé certains besoins de base. Voici une seconde condition de base qui est pour moi essentielle. Tel qu’écrit dans le tableau à la page 51 des notes de cours, combler ses besoins de base inclus le sommeil, la digestion, l’équilibre face au stress, le bien-être par les loisirs , etc. La veille de mon cours de soccer, je saute toujours sous mes draps dès que j’arrive à ma chambre. Le matin, je mange des choses nourrissantes qui se digèrent bien comme des fruits et des produits laitiers afin d’avoir toute l’énergie qu’il me faut pour taper dans le ballon.

Dans le tableau de la page 52 de nos notes, on voit qu’être bien préparé consiste à être à jour, à avoir de bonnes notes de cours , donc un bon support, et à ne pas sauter d’étapes. Je prépare bien en revêtant une tenue adéquate, car mon enseignant est très strict lorsqu’il est question de ça. De plus, nous remplissons des feuilles sur lesquelles nous inscrivons nos améliorations techniques en soccer. Nous faisons ça à chaque cours, et chaque fois qu’on fait ça, on accumule des points. Lorsqu’on manque un cours, il est donc important de remplir ses petites fiches, question d’être à jour. Finalement, je dois m’étirer avant de commencer à jouer. Si je saute des étapes, je ne serai pas bien préparée, et je risquerai de me blesser, car mes muscles ne seront pas réchauffés.

En conclusion, nous voyons que ses trois conditions de base sont reliées entre elles, et qu’il est important de les respecter que l’on soit aux études, que l’on organise un voyage ,que l’on assiste à une rencontre d’affaires ,bref dans à peu près toutes les étapes de notre vie.

Organiser - Un rôle du gestionnaire

Dans une entreprise, le gestionnaire à plusieurs rôles sur ses épaules. Il doit planifier, organiser, diriger et contrôler, et ce, à longueur de journée. À travers ses lignes, nous nous concentrerons sur son rôle d’organisateur.

Avant d’assister au cours « Fonctionnement d’une entreprise de mode », je croyais qu’organiser quelque chose était le concret de la planification. J’étais certaine que cette étape ne se faisait pas sur papier et que c’était le moment de faire des appels et de contacter les gens dont on a besoin.

Grâce au cours, j’ai appris qu’organiser est en fait « le processus de division du travail et coordonner les résultats afin d’atteindre chaque objectif fixé » tel qu’écrit à la page 96 de nos notes de cours. Donc, on comprend que cette étape se fait sur papier, et que l’on n’a pas encore donné de tâches à qui que ce soit ou passé des appels téléphoniques aux gens à contacter.

En ce moment même, c’est la fin de session, nous avons donc, nous étudiants, beaucoup de travaux considérables à remettre. La planification que j’ai faite a été de dresser une liste de tous les projets ou travaux mettre à terme. L’organisation de ce petit projet fut premièrement, d’évaluer les moments de la semaine ou je peux consacrer mon temps à faire des travaux. Ensuite, j’ai glissé toutes ses choses à faire dans mes moments libres, j’ai donc organisé mon horaire pour les deux prochaines semaines.

Les compétences en relations humaines - Les compétences globales et spécifiques

Un gestionnaire doit posséder des compétences globales et spécifiques tel que des compétences techniques, en conceptualisation et en relations humaines. Je vais donc m’attarder sur les compétences en relations humaines, car dans la vie comme au travail et à l’école, ce type de compétences est vraiment indispensable.

La compétence en relations humaines est en fait « la capacité de former des équipes, de stimuler les membres d’une entreprise et de fournir une motivation à un individu ou à un groupe »,comme indiqué à la page 110 des notes de cours. Prenons l’exemple d’un gérant de boutique qui se rend compte que sa nouvelle employée vend vraiment moins que les autres à leurs débuts. Ses compétences en relations humaines (Si elles sont bonnes) seront alors très bénéfiques pour lui et son employée, car il pourra lui en parler d’une façon amicale sans lui dire carrément «Tu fais mal ton travail, augmente tes ventes sinon c’est la porte». Il pourra motiver celle-ci en lui disant qu’elle s beaucoup de potentiel, et qu’il est certain qu’elle augmentera son taux de ventes en utilisant telle ou telle technique. Ainsi, il n’y aura pas de tension entre l’employée et le gérant, ils conserveront un climat de travail agréable.

Cela fait deux ans que je suis animatrice dans les camps de jours, et lorsqu’on organise des activités et que l’on sent que les jeunes sont moins actifs et semblent ne pas apprécier les activités qu’on leur propose, nous devons les motiver afin qu’ils participent activement à nos jeux. Bien entendu, nous, les animateurs, avons des supérieurs qu’on appelle « chefs de sites » et qui doivent nous motiver à animer avec énergie lorsque celle-ci semble épuisée. Les chefs de sites ont eux aussi des supérieurs que l’on nomme coordonnateurs. Les « coordo » doivent motiver les « chefs de sites » afin que leur site soit bien contrôlé, et pour qu’ils motivent leurs animateurs à être énergiques. Il est donc clair que « toutes les catégories de cadres devraient posséder des compétences interpersonnelles, peu importe son secteur d’activité » comme il est inscrit à la page 110 des notes de cours.

Bref, peu importe le type d’emploi qu’on exerce, posséder de bonnes compétences en relations humaines constitue un gros atout, car manquer de tact c’est toujours déplaisant pour les autres, et cela peut rendre le milieu de travail moins agréable.


Dernière édition par camillebrier le Ven 25 Nov - 0:43, édité 5 fois
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Isabelledeschêneslundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeJeu 24 Nov - 22:06

farao farao farao farao farao farao farao

Dans le cadre de mon cours en fonctionnement d’une entreprise mode, j’ai appris plusieurs notions concernant le gestionnaire. Il survient fréquemment des problèmes et les gestionnaires doivent les régler, mais pour se faire, il doit passer inévitablement par des étapes de résolutions de problèmes. Il y en a cinq. Voici tout d’abord une mise en contexte d’un problème typique en commercialisation de la mode. J’ai travaillé pendant quelques temps au magasin Cassis à St-foy, au environ du mois d’août 2011, on a engagé deux nouvelles vendeuses à temps partiel. Pendant les semaines qui ont suivis leurs arrivés, étrangement les chiffres de ventes se sont mis à baissés. Cette problématique nous faisait pas atteindre les objectifs généraux. Or, la gérante a due utiliser la résolution de problème en 5 étapes pour bien diagnostiquer le problème et le résoudre. Voici les explications de ces 5 étapes :

La première étant de faire un diagnostic de la situation et de définir le problème. Avant même de faire quoi que ce soit, il est important de bien analyser le problème. Il faut donc voir quelle est la situation perçue et quelle est la situation désirée. Par la suite, il faut cibler le besoin non-comblé. Dans ses circonstances, le mauvais gestionnaire prendra des décisions sans réfléchir et sans se renseigner ce qui risque d’aggraver la situation dans lequel il se trouve. J’ai constaté que cette étape était très importante puisque tout au long de la résolution du problème, le gestionnaire se basera sur ce diagnostic. Pour le problème que j’ai établis plutôt, la gérante cibla les besoins non-comblé étant les objectifs qui ne sont pas atteints et elle établis la situation du magasin et celle qu’elle devrait être.

La deuxième étape est la collecte et l’analyse des faits pertinents reliés au problème. J’ai appris que lorsqu’un problème émerge, le gestionnaire n’a jamais tous les documents pouvant servir à la résolution de problèmes sous ses yeux. Or, il faut faire une collecte d’environ 5 à 10 informations jugées pertinentes. Cela peut être sous forme de documents ou de rapports. Le gestionnaire sera porté à se poser des questions telles que : Quelles sont les variables en jeu avec le problème ? Une fois les informations en main, le gestionnaire aura à faire une analyse des données afin de découvrir la cause du problème. Pour continuer avec mon exemple, la gérante due aller chercher les renseignements utiles comme le nombre d’item par facture des employés, le montant par semaine que chaque employé rapporte etc. Parmi ces données-là, elle du faire un tri afin de garder les renseignements les plus utiles.

La troisième étape consiste à reconnaître les différentes options possibles. Une fois le problème et la cause établis, il faut trouver la bonne solution. «Cette étape correspond aux moyens déjà mis de l’avant par les gestionnaires ou encore proposés par l’élève afin d’atténuer la situation problématique perçue au départ.» (Théorie, p : 132 #2.2.1) J’ai pu constaté que pour se faire, le gestionnaire utilisera son intuition, son jugement, ses connaissances et son expérience pour trouver plusieurs solutions susceptibles de résoudre le problème. Je sais, entre autre, que cette étape peut aussi se faire parallèlement à la deuxième. Pour la gérante de chez Cassis, elle due reconnaître et créer des différentes possibilités face au problème qui était l’inefficacité des deux nouvelles employées.

Pour la quatrième étape, le gestionnaire évaluera ses options. Il définira clairement chacune de ses solutions afin de reconnaître la meilleure. Parmi toutes les solutions, il en retiendra quelques unes, les meilleures. Il est important qu’il s’assure que ses solutions sont réalistes. De plus, j’ai su qu’il était essentiel d’avoir une autre solution de rechange. Pour continuer avec mon exemple, elle due évaluer ses options en regardant leur faisabilité.

Finalement, la cinquième étape représente la prise de décision et la justification. Lors de son choix final, le gestionnaire aura à constater la faisabilité, la pertinence, l’acceptabilité, le coût et la réversibilité de la solution. S’il a fait une bonne analyse du problème, le choix de la bonne solution ne sera pas ardu. De plus, il est possible, voir même préférable, de jumeler deux solutions ensembles. Une fois la meilleure solution trouvée, le gestionnaire aura à présenter à la personne responsable dans l’entreprise sa «recommandation». J’ai appris aussi qu’il fallait que le gestionnaire se montre objectif et qu’il justifie à l’aide de comparaisons et d’exemples pourquoi cette option est la meilleure de toutes. Pour finir, la gérante de chez Cassis décida de donner une formation sur la vente additionnelle aux deux nouvelles vendeuses. Pour justifier son choix, elle déclara donc que les deux employés vendaient beaucoup moins d’articles à bas prix que les autres employés.

Conditions de base

Par ailleurs, j’ai appris lors de mon cours de fonctionnement d’une entreprise de mode qu’autant dans le milieu du travail qu’à l’école, il faillait remplir des conditions de base afin d’être performant. Il y a : être motivé, accepter le changement, savoir s’affirmer, avoir comblé ses besoins de base, être bien préparé, faire des activités intellectuelles, être à l’écoute, ne pas savoir sauter d’étapes, savoir lire, écrire, prendre des notes et synthétiser. J’ai décider d’en expliquer seulement trois plus clairement.

La motivation dans notre milieu de travail est essentielle. Cela peut nous mener à atteindre de plus hauts grades. J’ai pu constaté que si l’on travaille dans un milieu où on n’a aucun intérêt, on ne peut être heureux. En réalité, cela affecte toutes les sphères de notre vie. En étant malheureux et non-motivé au travail, on ne peut pas avoir une belle et heureuse vie personnelle. Comme l’a écrit le psychologue Marc Vachon dans le texte « Le plaisir et la motivation au travail», «La reconnaissance de notre travail est, sans aucun doute, une source importante de plaisir au travail pour plusieurs.» Or, l’accomplissement d’un bon travail entraine du plaisir et incite la motivation. Par exemple, j’ai pu découvrir moi-même que la motivation était toute. Étant donné que j’ai une grande passion pour le théâtre, je sais que le talent n’est pas tout. Ceux qui veulent poursuivre dans ce métier là ne parviendront pas à aller très loin s’ils ne sont pas motivés, car c’est cela qui va démontrer leur volonté et c’est comme cela qu’ils vont avancer plus loin.

Se préparer adéquatement avant de travailler est crucial. Il faut toujours se mettre à jour dans les documents, les dossiers, les rapports, les courriels et les nouvelles de l’entreprise. Être bien préparer amènera une meilleure performance au travail puisque le travailleur ne perdra pas de temps à se mettre à jour. De plus, j’ai compris que le fait d’être bien préparé nécessite aussi une bonne organisation sur sa gestion du temps. Encore une fois, pour quelqu’un qui veut faire du théâtre, il doit toujours être bien préparé avant les répétions. Il doit apprendre tout ses textes et bien connaître la pièce. Pour lui comme pour le gestionnaire, ils se doivent d’être organisé et bien préparé.

Savoir prendre des risques calculés dans notre milieu de travail permet, entre autre, de décrocher des opportunités. Bien entendu, il faut mesuré les risques que l’on prend et veiller à ne pas mettre en danger l’entreprise. J’ai appris qu’il faillait aussi savoir s’adapter la méthode de travail des autres. Faire des compromis en fait parti puisqu’il nous permet d’avoir une certaine ouverture et de pouvoir être versatile. Il faut bien le dire, il y aura surement toujours un patron au dessus de nous et il faudra s’adapter à sa manière de travailler. Pour continuer avec mon exemple, l’acteur en herbe devra pourvoir s’adapter à la méthode de travail d’un metteur en scène et représenter constamment de l’ouverture. Comme le gestionnaire, il devra aussi prendre des risques. Pour lui, ce sera au niveau de ses personnages et des suggestions qu’il fera au metteur en scène. Dans cet esprit là, il démontrera ses capacités et son bon travail.

Rôle du gestionnaire

Lors de mon cours en fonctionnement d’une entreprise mode, j’ai appris qu’un gestionnaire doit remplir plusieurs rôles tels que planifier, organiser, diriger et contrôler.

J’ai réalisé que, parmi les quatre rôles du gestionnaire, j’ai le plus de facilité à accomplir la fonction de planification. Dans le rôle de la planification, tout est fait sur papier. Donc, il n’y a personne encore à diriger ou à contrôler. Cette fonction consiste, entre autre, à bâtir un objectif. Lorsque l’on crée un évènement ou un plan comme gestionnaire, il est crucial de connaître son objectif afin de savoir quelle route prendre. Par ailleurs, il faut aller recueillir les informations manquantes, s’il y a lieu, pour pouvoir faire une bonne planification. De plus, lors de cette étape, il faudra décider des postes et des tâches que les employés prendront. Savoir placer les gens aux bons endroits est essentiel, car s’il y a une faille à ce stade, c’est toutes les prochaines qui seront affectées. Le rôle de planification sert aussi à diriger le temps. J’ai donc appris qu’il faillait créer un horaire bien détailler à la minute près ainsi que de se prévoir un Plan B si un imprévu survenait. Par ailleurs, il faut gérer la succession d’évènements et d’actions. Cela signifie que l’ordre dans lequel les actions arriveront est important. Or, la planification englobe toutes ces étapes et ne peut être sautée ou mal faite. Par exemple, lorsque j’ai pris la décision de venir habiter à Montréal, il fallait que je planifie mon départ ainsi que toutes les dépenses. Alors, j’ai dû planifier mon budget, les biens que j’aurai besoin, les personnes que j’aurai besoin lors du déménagement, et bien plus. J’ai aussi dû recueillir les informations manquantes sur le bail afin d’avoir tous les renseignements essentiels à mon déménagement. Or, je crois que sans cette bonne planification, l’organisation, la direction et le contrôle n’aurait pas pu être faits puisque la base aurait été mal faite. Dans cette fonction, il est important de posséder la compétence globale qu’est la conceptualisation. Elle est essentielle puisque le gestionnaire aura à planifier la situation dans son ensemble, à détecter les problèmes potentiels et à envisager les conséquences des actions. De plus, le gestionnaire qui planifie doit posséder des conditions de base telles que être motivé, accepter de changer, savoir s’affirmer, être préparé, ne pas sauté d’étapes et savoir synthétiser.

Compétences globales

Parmi les trois compétences globales, j’ai réalisé que j’avais un peu de difficulté avec celle de conceptualisation. Cette compétence vise à regarder dans l’ensemble une situation et être capable de réfléchir ainsi que d’envisager des possibilités. Pour moi, arriver à bien voir la situation dans son ensemble m’est plus difficile, car j’ai tendance à voir les problèmes au premier niveau. Généralement, ce sont les cadres supérieurs qui doivent possédés cette capacité. « […] Les vice-présidents de la production et de la commercialisation s’intéressent à la maximisation du profit, cherchant les méthodes qui génèrent un maximum de bénéfices.» (Théorie, p : 111, # 1.6.3)Il faut qu’ils examinent les causes et les conséquences des variables contrôlables et incontrôlables lié à la situation. Cela les amènent à réfléchir et à se poser des questions en vue de trouver une solution qui amènera l’entreprise plus loin. Cette compétence est directement reliée à deux rôles du gestionnaire soit la planification et le contrôle. Autant d’en l’un que dans l’autre, cette compétence permettra d’anticiper les problèmes et de regarder les solutions possibles. Il y a aussi plusieurs conditions de base dont la conceptualisation est reliée. Parmi celle là, il y a accepté de changer, savoir s’affirmer, être bien préparé, être à l’écoute ainsi que ne pas sauter d’étapes qui y figurent. Par exemple, avant de partir habiter seule, mon téléphone cellulaire a brisé. C’était un cellulaire de base et il fallait que je le change. Je me suis enlignée pour acheter un semblable puisqu’il ne coûtait pas trop chère. Puis après, d’y avoir bien réfléchi et d’avoir examiné la situation, j’ai décidé de prendre un téléphone intelligent. Les effets positifs que cela apporterait à ma vie étaient bien plus nombreux. Tout d’abord, j’aurai un meilleur outil de communication avec ma famille, un forfait plus avantageux puis des applications qui me aideront comme la localisation.

Dans ce cours, j'ai pu apprendre comment un gestionnaire devait se comporter, qu'elles étaient les tâches qu'il devrait remplir, qu'elles étaient ses compétences et plusieurs autres. Comme cela, peu importante dans quel domaine de la mode je m'en irais, j'aurai la base de la connaissance sur le fonctionnement d'une entreprise.[/justify]
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daphnée marcil lundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeVen 25 Nov - 18:10

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Ayant maintenant accompli les 10 premiers cours de Fonctionnement d’une entreprise je comprends beaucoup mieux ce qu’est le poste de Gestionnaire d’une entreprise. J’ai pris connaissance de plusieurs étapes et façons de faire nécessaires au bon fonctionnement d’une entreprise mode.

LES RÔLES DU GESTIONNAIRE : J’ai appris qu’il était crucial d’être un bon gestionnaire lorsque l’on prend en charge le développement d’une entreprise. Plus précisément, il faut être doté de la capacité de bon planificateur. C’est-à-dire, il faut être en mesure d’avoir une vue d’ensemble et de gérer dans le temps une succession d’actions pour ainsi réaliser nos objectifs. (Notes de cours p. 88) Que ce soit de planifier un voyage, un « meeting », un évènement ou encore une simple journée au boulot, la formule est la même. Il d’agit de se fixer des buts et d’établir des tâches dès le début pour s’assurer d’avoir une vue d’ensemble du projet que l’on entreprend. En général, plusieurs de ces connaissances n’étaient pas nouvelles pour moi, je possédais déjà une vue d’ensemble de ce qu’est un bon planificateur. Par exemple, lorsque je débute un travail. J’aime visualiser toutes les parties que comportera mon projet, c’est simple je visualise la page de présentation jusqu’à celle de la conclusion, de cette façon il m’est plus facile d’aborder ce projet avec positivisme qu’avec négativisme.
APPRENDRE À TRAVAILLER : Il est certain qu’avant de suivre le cours de fonctionnement d’une entreprise mode je possédais déjà des connaissances générales sur comment se donner des méthodes de travail efficaces et les conditions de base pour apprendre. Un bel exemple vient de l’école secondaire que j’ai fréquenté, qui suivait ces règles rigoureusement et nous recommandait fortement de les adopter. Or, s’il y a quelque chose que le cégep m’a appris c’est qu’il est indispensable de les suivre quasiment à la lettre. Premièrement, il faut avant tout être à l’écoute, par l’action de simplement écouter il a été prouvé que l’on retient plus ou moins 80 % de toute l’information qui a été dite. De plus, il est recommandé d’appliquer l’écoute active, c’est-à-dire de se concentrer et de jumeler la matière à quelque chose de concret pour ainsi faciliter l’apprentissage. Toutefois, essayer de précéder la pensée du lecteur et de résumer sa pensée est des façons simples pour être également attentif ( notes de cours p.56).

Deuxièmement, il faut être bien préparé et à jour dans ses notes. Il est important de savoir que pour faire une telle chose il ne faut pas sauter d’étapes et avoir pris de bonnes notes lors des cours précédents. Une méthode que j’ai adopté il y a pas si longtemps est celle de réviser ses notes, le devoir demandé et les lectures effectuées avant son cours. Cela fonctionne bien car l’exercice remémore le cerveau, qui a peut-être diverger vers un autre sujet entre temps, et nous prépare à commencer le cours en étant attentif et à l’affut de la matière.

Troisièmement, dernière mais non la moindre, la motivation. Une nécessité, elle est la base, selon moi, du succès et de la réussite. Je crois qu’il faut avoir un intérêt particulier pour le secteur professionnel que l’on choisit ou du moins de la détermination pour réussir. Il n’y a pas de recette miracle pour être motivé, il faut simplement aimer travailler à un point tel que ce n’est plus du travail pour soit mais une « passion ».

Pour illustrer un bon gestionnaire qui se donne des méthodes de travail efficaces et applique les trois facteurs que je viens de nommer il suffit de se remémorer un exemple donné par Monsieur Morin au début de la session à propos d’une journée type d’une employée de chez Souris. Il disait que sa journée débutait tôt le matin et finissait assez tard le soir, elle devait constamment lire et relire ses notes donc elle était bien préparée. Elle devait consulter des employés en boutique et être à l’écoute de leurs réclamations. Finalement elle devait plus que tout être motivée à donner le meilleur d’elle-même à chaque jour. J’ai beaucoup appris de cet exemple, j’en retiens qu’il faut être prêt à dédier le temps qu’il faut pour être en mesure d’accomplir ce qui nous est demandé mais surtout d’aimer ce que l’on fait.

COMPÉTENCES GLOBALES ET SPÉCIFIQUES : Il y a certaines compétences qui ne fonctionnement que pour le travail comme une compétence technique par exemple, mais il y a aussi des compétences au quotidien qui se transposent sur notre attitude dans un environnement professionnel. Notamment, avoir de la facilité dans le domaine des relations humaines. Le cadre inférieur ne nécessite pas une maîtrise accrue de cette compétence mais il doit entretenir des relations interpersonnelles avec son équipe. Les qualités souvent requises pour celles-ci sont de stimuler les membres de l’entreprise ou de toute autre forme d’équipe. Le cadre intermédiaire et supérieur doit posséder des compétences liées à la communication s’il veut être un bon gestionnaire, « […] les cadres doivent posséder ces compétences dans une certaine mesure, quel que soit leur niveau hiérarchique » (notes de cours p.111). Il est reconnu que dans l’industrie de la mode notre réseau de contacts est le meilleur outil que l’on puisse développer, pour entretenir un tel réseau il ne faut rien d’autre qu’une capacité à bien communiquer et à se démarquer. Par exemple, tout au long de mon secondaire j’ai entretenu une bonne relation avec la responsable de la vie étudiante de mon école et le coordonnateur sportif. Cela peut m’être utile plus tard car si un jour j’ai besoin d’un service ou de conseils je peux très bien les recontacter.
D’ailleurs, j’ai récemment ravivé ce réseau de contacts en allant visiter mon ancienne équipe de natation; j’ai pris quelques moments pour aller bavarder avec ces deux personnes.

LA RÉSOLUTION DE PROBLÈMES :
1) La résolution de problèmes nécessite plusieurs compétences, il faut faire appel à notre jugement, notre expérience de travail mais surtout à un raisonnement logique et à la rationalité. Cette tâche comporte plusieurs étapes, la première est de diagnostiquer et définir le problème, comme l’indique le codex « Il est important de faire la distinction entre symptômes et problèmes. » (p.131). Le diagnostic de la situation débute lorsque certains symptômes d’un problème apparaissent, à partir de ce moment commence la collecte d’informations sur le sujet. Il faut éviter d’agir en « gestionnaire Tylenol », c’est-à-dire, de traiter les symptômes au lieu d’en connaitre la vraie cause.

2) La deuxième étape consiste à recueillir le plus d’informations possibles sur le problème cerné. Par la suite, il s’agit de reconnaître plusieurs options qui serviront peut être à solutionner le problème. Un exemple des plus simples est la recherche de cadeaux de noëls, cette année j’étais dans l’impasse pour trouver le cadeau parfait à ma mère. J’ai débuté par me questionner sur ses préférences et par la suite j’ai demandé à ma sœur et mon père s’ils avaient des idées de cadeaux pour m’éclairer. Ce qui m’amène à aborder la troisième partie de la résolution de problèmes, la reconnaissance des options possibles.


3) Cette troisième étape consiste en la reconnaissance des options qui apporteront solution au problème. Comme il est écrit dans les notes, « Cette étape correspond aux moyens déjà mis de l’avant par les gestionnaires ou encore proposés par l’élève afin d’atténuer la situation problématique perçue au départ » (p. 132 codex). Prenons l’exemple d’une gérante de boutique qui a un problème avec une de ses employées, avant de consulter l’employée elle doit élaborer des solutions pour remédier à la situation et être prête lorsqu’elle devra lui annoncer. Je retiens qu’il faut être doté d’un bon jugement et d’être capable de produire un bon raisonnement face à des situations comme celle-ci.

4) Après avoir reconnu les options possibles on se doit de les analyser. La quatrième étape de la résolution de problèmes consiste à déterminer des solutions adéquates et éliminer les autres. Pour reprendre l’exemple donné dans le paragraphe précédent, la gérante en question doit conclure sa démarche avec une solution gagnante, ce pourquoi elle doit effectuer un tri des solutions trouvées et peser le pour et le contre de chacune d’elles. Elle doit prédire et mesurer l’impact que celle-ci aura sur l’environnement de travail en considérant les autres employés, l’impact sur les ventes de la boutique et sur son image.


5) Finalement, après avoir effectué une bonne analyse des solutions, il devrait être simple de faire un choix clair et éclairé. On doit tenir compte de la faisabilité, la pertinence , l’acceptabilité le coût et la réversibilité de notre choix final. Il est important de présenter la solution comme une recommandation qui a pour but d’enrichir les connaissances de la personne concernée. Il faut également démontrer que l’on a pris en compte tous les facteurs qui nous ont amenés vers cette décision. Prenons comme exemple l’emploi que j’occupe depuis 2 ans dans un magasin Les Aliments M&M. Pendant ces deux ans j’ai gagné de l’expérience et je m’en sers maintenant pour former une nouvelle employée. Il faut parfois que je corrige sa méthode de vente, il est certain que je favorise l’emploi de la correction sous forme de recommandation et je justifie toujours pourquoi je tiens à préciser le point.
Cette approche plus « amicale » créé un lien de confiance entre la personne concernée et soit même sans devenir trop familier et en démontrant quand même la hiérarchie qui nous sépare.
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Marwa BenChaaboune Lundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeSam 26 Nov - 17:43

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Apprendre à apprendre et à bien travailler :
Apprendre à apprendre et à bien travailler consiste, avant toute chose, à être motivé. Il est évident qu’une personne n’étant pas motivée et déterminée ne peut être rentable, que ce soit dans le cadre des études ou dans le cadre professionnel. Pour ce qui est d’apprendre, nous, étudiants, sommes présentement dans une phase d’une importance colossale car les choix les plus importants de notre vie qui détermineront notre avenir se font maintenant, donc on parle ici de s’engager à persévérer afin de réussir dans ce choix de carrière, et cela commence par la motivation de parvenir à des buts, des objectifs que l’on s’est fixés. Et ceci est valable dans le domaine du travail, une personne qui n’aime pas ce qu’elle fait ne sera vraisemblablement pas motivée à travailler et donc ne sera pas assidue. J’ai travaillé comme assistante-représentante des ventes pour une toute nouvelle entreprise de cosmétiques, vu que les acheteurs ne connaissent pas du tout le produit, il était très difficile de les convaincre. Souvent, on nous claquait la porte au nez, et c’est la plus grosse démotivation que l’on puisse avoir, car on ne voit pas les résultats de nos efforts. Mais ma supérieure ne s’attardait jamais à me remonter le moral et à m’encourager à ne pas baisser les bras et cela m’aidait à continuer.
Ensuite, il faut combler ses besoins de base. Les besoins de bases, ou besoins physiologiques – d’après la théorie de Maslow – sont : une alimentation saine et un bon sommeil. Pour ma part, il m’arrivait souvent de dormir à une heure tardive la veille d’un jour d’école, pour une cause quelconque (devoirs, émission captivante à la TV ! …etc). Le lendemain, non seulement j’avais beaucoup de mal à me réveiller, mais aussi, je me sentais de très mauvaise humeur car je savais que j’allais être fatiguée toute la journée et ma concentration ne sera pas à 100%. De plus, le fait de me réveiller tard m’empêchait de prendre un bon déjeuner pour commencer la journée de bon pied, je devais me hâter pour être le moins en retard possible !
Pour finir, il faut être bien préparé. Et le fait de se préparer consiste à prendre connaissance du travail, des taches demandées .. Par exemple, quand un professeur nous demande de lire des pages dans nos notes de cours pour la leçon prochaine, c’est pour nous initier à prendre connaissances des gros points concernant la leçon en question, afin que les explications qui seront données par le professeur ne nous soient pas totalement nouvelles et donc plus difficiles à comprendre. Aussi, des fois il y a des questionnaires qui viennent après ces lectures, et si on ne les a pas faites, il est impossible de répondre correctement aux questions.


Les rôles du gestionnaire :
Parmi les 4 rôles du gestionnaire, je choisis de parler de la direction.
Durant le cours de fonctionnement dans une entreprise de mode, j’ai appris que diriger ne constituait pas uniquement le fait de donner des ordres et des taches d’exécution, un bon gestionnaire doit tenir compte de plusieurs aspects qui vont l’aider à bien communiquer avec ses employés, et ainsi, atteindre son objectif. Le fait de diriger est loin d’être une tache facile, car le gestionnaire qui dirige doit être capable de s’imposer et d’exercer un pouvoir tout en étant motivant, convaincant et à l’écoute de ses employés. Je prends pour très bon exemple mon ex-gérant au Vieux Duluth. Chaque matin, il nous réunissait pour la répartition des taches, il prenait en considération les habiletés de chacun de nous (rapidité, efficacité, mémorisation des commandes ..). Et en suivant à la lettre ses directions, nous réussissions à faire marcher le restaurant d’une manière très fluide.


Compétences globales :
« Les compétences sont les habiletés que doivent avoir les cadres pour accomplir leurs fonctions et jouer leurs rôles d’une manière efficace.» (p.110, notes de cours). Parmi ces compétences requises chez le gestionnaire, on retrouve les compétences en relations humaines. L’un des défis d’un gestionnaire, c’est de parvenir à faire passer le message et à atteindre son objectif.
Tel que mentionné dans nos notes de cours à la page 111, quel que soit le niveau hiérarchique, tous les cadres doivent acquérir des notions de base en communication. La communication touche tous les domaines de la vie, qu’il s’agisse des relations personnelles, des échanges commerciaux ou, encore, du travail, c’est un outil indispensable. En tant que nouveau-nés dans le domaine de la mode, il est important pour nous de nous bâtir un réseau de contacts dans le but de nous aider à intégrer le monde fascinant et très vaste de la mode. Afin de parvenir à se faire des connaissances intéressantes, nous devons avoir certaines habiletés en communication qui nous permettront d’établir des relations avec d’autres personnes d’une manière professionnelle, avant tout.


La résolution de problèmes:
« Résoudre un problème n’est pas aussi simple qu’on peut le croire. Il faut apprendre à raisonner de façon méthodique.» (p.131, notes de cours). La résolution de problèmes est le processus d’identification puis de mise en œuvre d’une solution à un problème*. Afin de résoudre un problème de manière rationnelle, il y a la méthode de prise de décision qui constitue cinq étapes.
1- Diagnostic de la situation et définition du problème
La première étape consiste à collecter les informations pouvant être utiles à identifier les causes du problème et aller au-delà des symptômes. Ce qu’il faut éviter de faire, c’est de se pencher vers les symptômes sans cerner le problème. En gros, il s’agit de faire un constat global de la situation pour ensuite cibler le problème.
2 -La collecte et l’analyse des faits pertinents reliés au problème
La deuxième étape consiste à recueillir le maximum de renseignements qui aideront à reconnaître les options possibles ainsi que peser les avantages et les inconvénients. Ensuite, on procède a une brève analyse de la situation après avoir fait le tri des faits recueillis, en en gardant les plus pertinents, finalement on se retrouve avec différentes pistes d'exploration possibles.
3- La reconnaissance des options possibles
Cette étape consiste tout simplement à énumérer les différentes options qui semblent pouvoir correspondre à une éventuelle solution au problème. Dans cette étape, un gestionnaire fait appel a son intuition, au jugement et aux connaissances fondées sur la théorie et l'expérience (p.132, notes de cours ).
4- L'évaluation des options
Après avoir reconnu les options possibles, on procède à un tri par élimination tout en tenant compte des modifications que l'on peut apporter aux solutions. Ensuite, il faut redéfinir la solution de manière très explicite et très détaillée, puis évaluer les conséquences de façon plus concrète en prenant en considération les avantages et les inconvénients.
5- La prise de décision et la justification
C'est la dernière étape du processus de la prise de décision. Elle se résume à choisir l'option qui semble être la plus adéquate à résoudre le problème.


*. http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9solution_de_probl%C3%A8me


Dernière édition par Marwa BenChaaboune Lundi le Lun 28 Nov - 0:38, édité 3 fois
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Catherine Foisy, lundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeSam 26 Nov - 20:48


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Réflexion du forum



Dans le cadre du cours de fonctionnement d’entreprise mode, nous avons appris différentes notions en lien avec le métier du gestionnaire. Ces notions nous ont été transmises théoriquement, mais avec les différents exercices proposés, il nous fut possible de les mettre en pratique. Aussi, nous avons découvert à travers les semaines qu’il nous était possible de concrétiser ces notions dès aujourd’hui à travers notre rôle d’étudiant, d’employé et de citoyen


1. Apprendre/ travailler



Comme étudiante au niveau collégial, j’ai dû surmonter différents obstacles d’ordre scolaire avant d’atteindre la porte du cégep. Moi qui pensais, lorsque j’étais plus jeune, qu’apprendre ne nécessitait aucune préparation je comprends aujourd’hui que ce fut un des pires raisonnements venant de ma personne. En parlant de préparation, j’englobe inévitablement tout ce qui favorise l’apprentissage.

Avant toute chose, il est d’ordre primordial d’avoir comblé ses besoins de base. Mais, quels sont nos besoins de base? Chacun a sa propre vision de ce qu’est un besoin de base toutefois, on peut s’entendre sur plusieurs points. Pour chacun, il est important d’avoir comblé tout besoin d’ordre physique car il est prouvé que sans les avoir comblés, il est plus difficile d’être apte à apprendre. Un étudiant qui étudie durant la semaine et sort tard durant les soirées de fin de semaine peut perdre jusqu’à 30% des connaissances acquises durant sa semaine dut au manque de sommeil. Au-delà des besoins physiologiques on retrouve les besoins de sécurité, les besoins d’appartenance, les besoins d’estime, ainsi que les besoins d’accomplissement. Toutefois, je crois que chacun des besoins nécessaires à combler diffère d’une personne à l’autre puisque nous fonctionnons tous de façons différentes. Dans mon cas, par exemple, je ne peux être totalement concentrée en classe si je n’ai pas déjeuné. Seulement, puisque j’habite loin du cégep, je dois quitter vers 6h30 afin de me rendre à temps en classe. Je n’ai donc pas nécessairement le temps de m’asseoir chez moi et de profiter du déjeuner toutefois, je prends toujours un fruit ainsi qu’une barre tendre que je mange en chemin vers l’école ou même en arrivant à l’école. Je respecte alors mon besoin de sorte à être prête à débuter une journée de cours.

Une autre façon d’être apte à apprendre est le fait de savoir s’affirmer. En quoi consiste le fait de s’affirmer dans un environnement d’apprentissage? Il s’agit d’exiger le « pourquoi » de ce qu’on apprend, de poser des questions, de demander des exemple et d’exiger un environnement correct. Ceci est autant valide sur un banc d’école que dans une salle de réunion. Dans les deux cas, si nous n’allons pas chercher des réponses à nos incompréhensions, le reste de notre apprentissage risque d’être touché. Je travaille très activement sur l’affirmation de moi-même et pas plus tard que cette semaine, j’ai dut poser des questions afin d’être certaine que le travail que je faisais était ce que l’enseignant désirait recevoir. Sur le plan professionnel également je n’hésite pas à poser des questions lorsque la tâche me semble mal expliquée ou lorsque je ne comprends tout simplement ce qui est demandé.

Finalement, il est important de savoir synthétiser. Qu’est-ce que la synthétisation? Comme appris en cours, savoir synthétiser implique savoir relier (trouver les liens entre les différents éléments et dégager le fil conducteur), savoir hiérarchiser (organiser les éléments en fonctions de leurs liens et mettre en évidence les articulations logiques) et savoir schématiser (se servir de mots-outils, en rester à l’essentiel, maximiser le visuel par séries et par oppositions et utiliser des couleurs et des formes pour se repérer). J’utilise régulièrement cet outil de travail en période d’études en vue d’un examen. Je suis quelqu’un qui apprend mieux lorsque je retranscris la matière. Je retranscris donc régulièrement mes notes mais sous forme de schémas, de points, de tableaux. En travaillant ainsi, j’ai l’impression de mieux connaître la matière et ainsi être mieux préparée aux évaluations. Dans le cadre du cours de fonctionnement, par exemple, où il n’y a pas d’examens en soit, je retranscris tout de même mes notes de sorte que lorsque je fais des exercices quelconques, il est plus facile pour moi d’assimiler la matière et je perds alors moins de temps à chercher dans mes notes puisqu’elles sont organisées et résumées.

Autre que ces trois points, on compte le fait d’accepter de changer, le fait d’être motivé, d’être bien préparé, d’être à l’écoute, le fait de ne pas sauter d’étapes, de savoir lire, écrire, prendre des notes et l’activité intellectuelle. Il y a donc plusieurs façons d’être apte à apprendre et lorsqu’on met en pratique ces méthodes, il est toujours plus facile de réussir suite à l’acquisition de notions.



2. Rôles du gestionnaire



Le métier de gestionnaire est un métier qui englobe plusieurs rôles. Les principaux rôles du gestionnaire sont ceux qui visent à planifier, organiser, diriger et contrôler. Tous ces rôles sont d’une importance égale toutefois, les difficultés reliées à ces rôles diffèrent d’une personne à une autre.

Dans mon cas, le rôle sur lequel je devrai travailler d’avantage afin de bien le maîtriser est celui qui vise à diriger Avant d’indiquer mes points forts et faiblesses face à ce rôle, je me dois de le définir. Diriger signifie orienter, guider dans une direction, conduire en exerçant un pouvoir, mener et tout ce qui se rattache au fait de régler l’exécution d’une action. J’ai toujours été une personne qui prenait en charge volontairement plus de tâches que les autres et qui dirigeait ses coéquipiers dans leurs différentes tâches. Toutefois, je le faisais comme personne de niveau égal, un peu comme une personne ressource. J’aime réussir et j’aime aider les gens qui me sont chers à réussir également. Là où la tâche me semble plus difficile, c’est le fait de le faire en exerçant un certain pouvoir. En effet, diriger au sein d’une entreprise n’a pas le même effet que diriger au titre de coéquipière dans un travail scolaire. Un bon gestionnaire est capable de diriger une entreprise en laissant de côté ses émotions tout en restant le plus objectif possible. Je me considère comme étant une personne très sensible qui a peine à laisser ses opinions personnelles de côté. Je suis victime d’un manque de confiance et cela me bloque sur certains niveaux comme celui de diriger une équipe « inférieure » à moi. Je devrai donc travailler sur ma confiance si je souhaite un jour être capable d’être gestionnaire sans quoi je ne pourrais me qualifier de bonne gestionnaire.


3. Compétences globales et spécifiques


Du côté des compétences que doit posséder un gestionnaire, on compte des compétences globales ainsi que des compétences spécifiques. Les compétences globales comportent les compétences techniques, les compétences en relations humaines et les compétences en conceptualisation. Pour ce qui est des compétences spécifiques, il y a le fait d’être orienté vers le client, de savoir déléguer/informer/négocier, l’intégrité et la confiance, la capacité à planifier/l’autonomie, bâtir un esprit d’équipe, gérer par la vision et les but, résoudre les problèmes. En possédant toutes ces compétences, un individu se voit être prêt à maîtriser à la perfection les différents rôles du gestionnaire.


4. Fonctions du gestionnaire



Le gestionnaire ne fait pas qu’occuper différents rôles, il remplit également différentes fonctions. Parmi ces fonctions, on compte celle du symbole, du porte-parole et de l'agent de liaison.

Premièrement, la fonction du symbole consiste à représenter l’entreprise. De ce que j’ai compris, le symbole se doit de partager les valeurs de l’entreprise pour laquelle il travaille sans quoi, il est difficile pour lui de représenter celle-ci. Le symbole doit avoir une grande disponibilité car il devra assister à divers évènements en tant que représentant de l’entreprise. Nous, comme étudiants, agissons régulièrement à titre de symbole sans le savoir. Combien de fois nous a-t-on dit « nous nous attendons à ce que vous agissiez correctement car vous représenter notre collège » ? Il me semble avoir entendu cette phrase dès mon entrée au primaire et je l’entends toujours d’ailleurs. En se pratiquant dès maintenant à vanter les mérites de notre collège, par exemple, nous pourrons plus tard être en mesure de venter notre entreprise.


Deuxièmement, la fonction de porte-parole consiste à diffuser l’information à l’extérieur de la société que ce soit à l’écrit ou encore à l’oral. Il doit être organisé, fiable, capable de rédiger correctement des documents de synthèse ou des rapports. Je constate alors qu'il y a présence de liens évidents entre les différents rôles du gestionnaire et ses différentes fonctions. Dans le cas présent, il est possible de remarquer un lien notamment entre le porte-parole et le rôle qui vise à organiser.


Troisièmement, la fonction d'agent de liaison consiste à créer un réseau de contacts extérieurs. À entendre nos enseignants nous le répéter sans cesse, je commence à comprendre que cette fonction est primordiale peu importe le poste que l’on occupe ou celui dont on rêve. Même s’il n’y a nul doute que nous sommes compétents, les contacts nous sont nécessaires dans la majorité des cas afin de graver les échelons. Comme étudiante de première année, je me voyais déjà stressée car je ne savais pas comment m’y prendre, je me posais souvent la question ; comment doit-on s’y prendre pour agrandir notre réseau de contacts? Au départ, je me suis rendu compte que chacun de nous se trouvait déjà entouré de beaucoup de contacts même s’ils ne se rangeaient pas du côté du secteur de la mode. Maintenant que notre secteur d’étude est celui auquel nous souhaitons appartenir plus tard, il s’agit seulement de s’intéresser aux gens qui nous entourent allant du collègue de classe à la coordonnatrice du programme. Aussi, le bénévolat compte pour beaucoup et le simple fait de sauter sur toutes les occasions possibles est une bonne façon d’agrandir son réseau de contact. Me voilà donc rassurer puisque je suis quelqu’un qui n’a pas de difficulté à s’intéresser aux gens qui l’entourent, en fait, je dirais que j’aime particulièrement les relations humaines de toute sorte et que j’adore faire de nouvelles rencontres. Alors, en joignant l’utile à l’agréable, je devrai me concentrer sur les rencontres qui pourraient m’apporter dans le présent ou dans le futur.



Autre ces trois fonctions du gestionnaire, on compte celui de leader, d’observateur actif, de diffuseur, d’entrepreneur, de régulateur, de répartiteur et de négociateur. De plus, Pierre Jr Beaudry apporte trois éléments complémentaires abordés dans le livre de Witten Neal A Silver Bullet soit la passion (émotion intense qui vous pousse à atteindre un objectif spécifique), l’audace (acte qui peut sembler téméraire à d’autres mais qui n’est qu’essentiel que pour résoudre la situation présente) et la concentration (savoir se concentrer sur un nombre limité de problèmes). En étudiant ces différentes fonctions, on remarque que le gestionnaire a beaucoup plus de responsabilités que celles indiquées dans sa charge de travail.


5. Résoudre, analyse, gérer des problèmes
(en lien avec les notes de cours pages 131 à 134)

Afin d’être la personne que nous sommes, dans la situation dans laquelle nous nous trouvons, nous avons tous dû surmonter différents obstacles qui parfois, causaient problème. Pour ma part, je ne me suis jamais vraiment arrêtée pour penser au comment je surmontais des problèmes en divisant cette tâche en plusieurs étapes. Dans le cadre du cours, nous avons appris cinq étapes distinctives qui nous permettrons non seulement d’être un bon gestionnaire lors de situations problématiques mais également de surmonter différents problèmes de la vie courante.

1ère étape - Diagnostic de la situation et définition du problème
La première étape consiste à reconnaître le problème en tant que tel et à rechercher les différentes informations concernant l’environnement général de l’entreprise, les conditions du marché ainsi que les éléments internes de l’entreprise. Il faut faire attention ; il ne s’agit pas ici de se concentrer sur les symptômes mais bien sur la cause sans quoi les cinq étapes de la résolution de problème se voient ébranlées. Depuis le début des classes, j’ai une fatigue permanente qui s’est installée en moi et je me devais de trouver une solution afin de pouvoir poursuivre mes études en étant moins fatiguée. Avant toute chose, j’ai reconnu mon problème ; j’ai de la difficulté à garder le rythme sans me voir crouler sous la fatigue.


2ième étape – La collecte et l’analyse des faits pertinents reliés ou problème
La deuxième étape consiste à recueillir le plus d’informations possible en lien avec le problème. Comme suggéré dans les notes de cours de la page 132, voici plusieurs points à considérer :

• Qui est responsable du problème ?
• De qui pourrait-on obtenir de l’information ou des données au sujet du problème?
• Qui est à même de prendre le temps de dresser la liste des options existantes et d’examiner les éléments clés pouvant faciliter la résolution de problème?
• Les clients de l’entreprise pourraient-ils aider à circonscrire le problème ou fournir des renseignements utiles?
• Quelqu’un d’autre a-t-il déjà vécu une expérience semblable? Et si oui, cette personne pourrait-elle être d’un secours quelconque?
• Quelles sont les hypothèses à formuler pour procéder à cette analyse?
Dans le cadre de mon exemple, qui n’est pas un exemple d’entreprise mais bien un exemple de problèmes subsistants dans la vie courant, les questions posées ne s’appliquent pas toutes. Toutefois, il m’est possible de dire que la responsable du problème est nulle autre que moi, que je pourrais obtenir des informations au sujet du problème auprès de personnes ayant vécus la même situation que moi auparavant donc des collègues de classe ou des étudiants étant à un plus haut point dans leurs études et que c’est à moi que revient la tâche de dresser la liste des options existantes et d’examiner les éléments clés pouvant faciliter la résolution de problème. Je ne suis pas la première étudiante donc oui, d’autres étudiants ont certainement passés par cette période de fatigue et je crois qu’ils pourraient m’être de secours et les hypothèses à formuler pour procéder à cette analyse seraient les suivantes :
- Je ne peux pas étudier et obtenir de bonnes notes si je désirer absolument travailler un certain nombre d’heures par semaine, sortir avec mes amis, profiter du temps en famille, etc.
- La distance qui me sépare de mon école pourrait aussi être quelque chose qui me fatigue puisque je perds en moyenne 10 heures par semaine à voyager pour l’école en voiture sinon plus en transport en commun.
- Il se peut que je sois victime de mon manque d’organisation.

Après avoir répondu aux différentes questions, nous nous devons de faire une brève analyse des données obtenues en restant le plus objectif possible.


3ième étape – La reconnaissance des options possibles
Il s’agit ici de reconnaître les différentes options possibles qui pourront résoudre le problème.
Selon moi, les différentes options possibles qui pourront m’aider à résoudre le problème sont principalement en lien avec ma gestion de temps. Pourquoi suis-je fatiguée? Peut-être que je m’en mets trop sur les épaules ou encore peut-être que je gère mal mon temps. Le voyagement n’aide certainement pas ma cause dans le sens où en période de tempête de neige, de congestion, les retards sont fréquents et étant une personne qui déteste plus que tout au monde être en retard, cela cause un grand stress chez moi ce qui m’enlève, en quelque sorte, une certaine énergie.


4ième étape – L’évaluation des options
Il s’agit ici d’éliminer les solutions qui ne semblent pas raisonnables, de modifier les différentes options ainsi que d’évaluer toutes les combinaisons possibles en prenant soin d’évaluer chacune des options de solutions une par une.
Dans mon cas, les options dont j’ai fait part dans la dernière étape me semblaient toutes raisonnables et la meilleure façon de réussir à être en mesure de poursuivre mon cheminement scolaire sans me voir crouler sous la fatigue serait de ;

1. Couper dans les sorties inutiles durant la session (sorties dans les bars par exemple)
2. Cibler de meilleurs objectifs (j’organise toujours mes journées à l’avance mais il est rare que j’atteigne les objectifs que j’ai visés)
3. Évaluer les prix des résidences versus le prix du transport et vérifier si, la différence en argent vaut la peine d’être investie car je crois fermement que le temps est de l’argent.
4. Toujours respecter mes priorités (l’école passant avant tout)


5ième étape – La prise de décision et la justification
Cette étape est la plus facile à compléter si l’analyse fait auparavant a été effectué correctement.
Après mure réflexion, j’ai décidé de mettre toutes les chances de mon côté en emménageant en résidence, en me donnant un minimum d’heures de sommeil à respecter et en respectant mes priorités.


En ne sautant pas d’étapes, il est plus facile pour nous de justifier notre décision finale et il risque aussi de moins avoir de doute dans la prise de celle-ci.

Pour conclure, ce cours m’a permis de mieux percevoir ce qu’était le métier de gestionnaire en profondeur. Moi qui aspire à être rédactrice en chef, ces notions me seront très utiles puisque j’aurai un jour à diriger une équipe. Mais en allant plus loin que cela, ces notions me sont déjà utiles dans la vie quotidiennes et il m’est possible de mettre en pratique ce que j’ai appris dans le cadre du cours afin d’être mieux préparée dans le futur.






Sources des citations ( en caractère italique)

1. http://www.apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/manque-de-sommeil-sur-les-facultes-intellectuelles-228-8-10.html

2. http://jeammarcdamien.unblog.fr/philop/la-pyramide-de-maslow-et-lechelle-de-vie/

3. Notes de cours page 50

4. Notes de cours page 58

5. Carte relationnelle des notions du cours

6. Notes de cours page 89

7. Carte relationnelle des notions du cours

8. Notes de cours page 101

9. Notes de cours page 100



Dernière édition par Catherine Foisy, lundi le Lun 28 Nov - 0:35, édité 6 fois
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Valérie Blanchette Lundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeDim 27 Nov - 17:17


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Dans le cadre du cours « Fonctionnement d’une entreprise », j’ai appris plusieurs notions, mais 4 d’entres-elles me sont restées en tête. Dans un premier temps, sur la carte relationnelle des notions du cours, je vous parlerai de la première colonne étant « Les conditions de base pour apprendre ». J’ai choisi les points être motivé, accepter de changer et être bien préparé. Dans un deuxième temps, je vous parlerai du rôle de gestionnaire consistant à contrôler. Ensuite, je vous parlerai de la compétence globale se rattachant à la conceptualisation. Pour finir, la démarche de résolution de problèmes sera expliquée sous ses 5 phases. Tout en vous expliquant ses concepts, je vous donnerai des exemples de mon quotidien et ferai des liens avec la matière vue en classe. Bonne lecture.


Notion 1 : Les conditions de base pour apprendre.

Dans un premier temps, la notion apprendre à travailler est très utile dans la vie de tous les jours comme en entreprise. Il faut premièrement être motivé afin de démontrer notre intérêt pour ce que l’on fait. Cela à un effet positif sur les autres, car ils se sentiront inspirés lorsqu’ils seront près de nous. Si nous sommes motivés et prêts à tous pour atteindre nos buts et bien il sera facile d’accepter de changer. Cela est un autre point très important, car il faut être flexible et savoir prendre des risques. C’est-à-dire que nous devons nous sortir de la routine afin d’explorer, découvrir et grandir. Il ne faut pas avoir peur du risque, car ce n’est que de cette façon que l’on peut atteindre le sommet. D’ailleurs, si vous êtes bien préparé et que vous savez vers où allez dans la vie et bien il y a beaucoup moins de chance de se tromper. De toute façon, ce n’est pas grave de se tromper. L’important c’est de se relever et de grandir de cette expérience. Voilà ce qui compte le plus. Par exemple, j’ai quelques fois des réunions de groupe où je travaille. Dans ses réunions, nous parlons des points forts tout comme des points à améliorer. Afin d’être efficace, j’écris une liste des points forts comme des points faibles ainsi qu’une liste de solutions et d’arguments que je pourrai dire. Cela me permet de mieux prendre parole lors des discussions et de ne pas rester sans paroles. Le fait d’être préparé donne bonne impression à ma patronne et elle sent que j’ai à cœur mon emploi. En fait, il faut combiner ses points afin de voir un réel changement sur notre façon d’apprendre tout comme nous le dicte le tableau de la page 50. En fait, c’est l’ensemble de ses points (être motivé, accepter de changer et être bien préparé) qui va nous permettre de mieux apprendre. Avant ce cours, je savais que je devais me motivé afin de réussir et cela m’aidais à mieux me préparer. Depuis, je suis plus flexible et accepte plus facilement les idées des autres. Cela m’aide à apprendre par le biais des réflexions de mes collègues.


Notion 2 : Les rôles du gestionnaire.

Dans un deuxième temps, les 4 rôles du gestionnaire étant planifier, organiser, diriger et contrôler sont essentiel au bon fonctionnement d’une entreprise. Je vous parlerai du contrôle des gestionnaires. En fait, le contrôle survient après qu’un employé a effectué sa tâche. Afin de s’assurer qu’elle soit bien fait et qu’elle réponde aux normes établies, le gestionnaire va effectuer une vérification. Ce rôle est essentiel afin que le projet atteigne les objectifs fixés. Par exemple, j’ai dû jouer le rôle de la gérante durant un été complet. En travaillant pour la boutique Colori, c’est donc moi qui recevais les planogrammes de mise en marché et qui devais diriger chaque fille et leurs dire qui devait faire quoi. Lorsqu’une tâche était finie, je vérifiais que tous les mannequins étaient bien habillés et que la marchandise se trouvait à la bonne place. Le contrôle se fait aussi à long terme. Si je reprends mon exemple de mise en marché et bien je devais vérifier si la marchandise se vendait bien dans les semaines qui ont suivi. Si ça n’avait pas été le cas, j’aurais dû effectuer des changements. Comme nous l’avons vu à la page 96 des notes de cours, c’est un processus de suivi qui permet de corriger les erreurs afin de mieux atteindre les objectifs. C’est pourquoi ce rôle est si important. Avant ce cours, je savais qu’un contrôle devait être fait, mais je le percevais de façon plus négative que maintenant. Je sais désormais que cette étape est non seulement essentielle, mais qu’elle permet de faire grandir le projet et d’apprendre de nos erreurs en apportant les correctifs nécessaires.


Notion 3 : Les compétences globales.
Dans un troisième temps, les compétences globales sont liées au domaine technique, au domaine des relations humaines et au domaine de la conceptualisation. Je vais vous parler des compétences liées à la conceptualisation. Comme nos notes de cours de la page 111 nous le dictent, il faut « posséder une vision globale et être capable de reconnaître les effets d’une décision stratégique tant sur l’entreprise que sur l’ensemble de la société ». En fait, il faut être capable de voir l’entreprise comme un tout et de s’intéresser à tout ce qui s’y rattache. Un bon gestionnaire doit savoir planifier à long terme comme à court terme. C’est-à-dire qu’il ne faut pas s’arrêter au domaine dans lequel nous travaillons. Il faut toujours aller chercher plus loin, être curieux et prévoir ce qui arrivera demain matin comme dans deux ans. C’est entre autres grâce à cette compétence que les entreprises grandissent, car un dirigeant ne pourrait mener son entreprise au sommet s’il n’avait pas prévu certains faits en analysant celle-ci dans sa globalité. C’est ce qu’on appel être géré par la vision et les buts tout comme nous l’avons appris à la page 99 de nos notes de cours. Ce n’est pas tout de réfléchir et de planifier, il faut aussi informer les autres de nos idées. Il faut parler et travailler en équipe pour que notre compétence en conceptualisation se développe. Auparavant, je savais qu’un gestionnaire devait penser à long terme, mais je ne me doutais pas que c’était aussi complexe. En fait, être gestionnaire c’est avoir des yeux tout le tour de la tête et être attentif à ce qui nous entoure. Voilà ce que je sais de plus maintenant.




Notion 4 : La démarche de résolution de problèmes.
La démarche de résolution de problèmes est longue, mais sommes tout assez simple lorsque les 5 étapes sont bien réalisées l’une à la suite de l’autre. Il faut être méthodique et prendre soin de bien compléter une étape avant de passer à une autre. Voici les 5 étapes et un exemple:

Phase 1 : Définition du problème
C’est à cette étape que nous devons faire un constat. En fait, réfléchir sur ce qui ne va pas et écrire une tournure de phrase telle que « nous constatons que… le problème est… » Il faut inscrire le ou les symptômes qui portent à croire qu’il y a un problème. Par contre, il ne faut pas traiter ses symptômes sans en avoir fait l’analyse. Ceci résulterait de ce qu’un gestionnaire moyen ou même médiocre ferait. Voici les 3 erreurs à ne pas faire (note de cours p.131) :


1- Se concentrer sur les symptômes. (Par exemple, traiter notre insomnie en prenant des pilules pour dormir au lieu de trouver la cause.)

2- Définir un problème de façon trop générale ou trop étroite. (Par exemple, une entreprise énonçant un problème comme suit : Avoir de plus beaux mannequins en vitrine, devrait plutôt dire « améliorer l’aménagement de nos vitrines ».

3- Se tromper de problème à régler. Il faut établir des priorités.

Ma mère ne veut plus faire mon lavage depuis deux semaines.


Phase 2 : Recherche d’informations et analyse des causes
C’est à cette étape que nous récoltons de l’information. En fait nous nous pausons des questions sur des faits pertinents à notre symptôme. Nous devrons nous pauser des questions telles que « qui est le responsable?, de qui pourrait-on obtenir de l’information ou des données au sujet de ce problème?… » et plus encore tout comme la liste de la p.132 nous l’apprend. Par la suite, il faut faire le tri. C’est-à-dire que certaines des informations recueillies ne seront pas essentielles, il faut alors les éliminer.

1- Vérifier si ma mère n’est pas malade.
2- Vérifier jusqu’à quel âge elle a fait celui de ma sœur.
3- Vérifier si elle ne veut plus faire mon lavage, car je me change 3 fois par jour.
4- Vérifier si elle ne veut plus faire mon lavage, car les modes d’entretient son trop précis (cycle délicat et lavage à la main)
5- Vérifier ses activités/passe-temps.
6- Vérifier si elle aime faire le lavage


Phase 3 : La reconnaissance des options possibles
C’est à cette étape que nous devons reconnaître les différentes options s’offrant à nous. Comme nous l’avons pratiqué dans le devoir « résolution de problèmes et prise de décisions », il faut mettre un « SI » devant chacune des possibilités. Par exemple : (les possibilités seront en orange)

2- Vérifier jusqu’à quel âge ma mère a fait le lavage de ma sœur.

a. Si ma mère a fait le lavage de ma sœur jusqu’à l’âge de 20 ans, ceci n’est pas un problème.
b. Si ma mère a continué de faire le lavage de ma sœur après l’âge de 20 ans, ceci est un problème.


De cette façon, nous voyons les deux côtés de la médaille et sommes plus objectif à prendre des décisions par la suite.


Phase 4 : L’évaluation des options
C’est à cette étape qu’il faut réfléchir sur les différentes solutions qui s’offrent à nous après avoir pausé toutes les questions essentielles à savoir s’il y a un problème ou non. S’il y a un problème, il faut proposer toutes les solutions possibles et réalistes et les justifier afin qu’elles aient bien lieu d’être.
Après avoir conclu que le fait que ma mère ne veut plus faire mon lavage était un problème, j’ai parlé avec elle de différentes solutions.

- Je pourrai l’aider à faire le lavage 1x par semaine.
- Je pourrai l’aider dans d’autres taches ménagères afin qu’elle ait plus de temps libres.



Phase 5 : La prise de décision et la justification
L’étape 5 est l’étape finale. Elle permet d’élaborer une décision finale à partir de critère tels que la faisabilité, la pertinence, l’acceptabilité, le coût et la réversibilité. En se basant sur l’évaluation des options, on choisit un, deux ou trois solutions et faisons un plan. C’est cette combinaison qui sera notre décision finale. Si toutes les étapes ont bien été faites, il ne restera qu’à appliquer la solution et toutes les données seront déjà à la porter de la main.
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Penelopesauriollundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeDim 27 Nov - 18:30

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Réflexion 1
Notion : être motivé, être bien préparé et être à l’écoute.

Explication :
Cette session-ci, j’ai eu mon premier cours de fonctionnement d’une entreprise. Durant ce cours, nous avons pu voir plusieurs notions de base sur le fonctionnement d’entreprise tel que : comment apprendre à bien travailler. Trois éléments ont davantage retenu mon attention soit : être bien préparé, savoir prendre des notes et être à l’écoute.

Premièrement, apprendre est un terme assez large, mais dans mon cours de fonctionnement, il est défini d’une façon spécifique. Tout d’abord, apprendre ce fait en plusieurs étapes. La première étant la compréhension du sujet. Celle-ci s’effectue en étant à l’écoute et en exécutant les lectures pour pouvoir nous documenter sur le sujet à apprendre en question. La deuxième étape de l’apprentissage est le support. Cette étape est très importante, car elle nous permet de mémoriser ce que nous apprenons durant la prise de notes et elle nous permet de nous le remémorer après l’apprentissage. La troisième étape est la synthèse. Pour effectuer cette étape, il faut savoir relier, hiérarchiser et schématiser. Donc en résumé, il faut relire nos notes et les schématiser en s’assurant que nous avons bien compris la matière. Et finalement, la quatrième étape, qui comporte elle aussi quatre étapes est celle de la mémorisation. Maintenant que nous avons tout assimilé la matière grâce aux schémas que nous avons faits en synthétisant nos notes de cours, on peut maintenant passer à la mémorisation. Celle-ci se fait idéalement quatre fois pour une meilleure mémorisation. De plus, pour apprendre il y a des conditions de base. La première étant d’être motivé, vouloir apprendre et s’intéresser à la matière. La deuxième étant d’accepter de changer, car souvent on doit travailler en équipe dans une entreprise et il ne faut pas toujours imposer nos idées aux autres. Il faut rester ouvert aux propositions des autres ou aux améliorations des propositions par les autres pour vos propres propositions. Ensuite il faut savoir s’affirmer, il faut avoir comblé nos besoins de base, comme manger et dormir. Et finalement, il faut être bien préparé.

Utilisation des pages 50 et 54 pour appuyer mes explications.

Donc comme nous avons pu le voir avec le terme apprendre, est très large, j’ai donc choisi trois aspects de l’apprentissage pour vous les expliquer davantage. Le premier aspect que j’ai choisi est d’être bien préparé. Donc premièrement, pour être bien préparé il faut avoir de bonnes notes de cours qui nous serviront de support. En effet, les notes de cours sont un des meilleurs supports qu’on peut avoir autant en cours, qu’en entreprise (mais dans ce cas ce sera des notes prisent lors des meetings, et nos lors des cours). Dans la prise de notes, il faut savoir à quel moment les prendre et ne prendre que les éléments importants, car si des éléments inutiles sont prient en notes, vous perdrez du temps à les noter et durant ce temps vous pourriez manquer d’autres informations importantes. Après toute prise de note, il est important de les relire pour en faire l’annotation et les classer par la suite. Ainsi, vous vous assurez une méthode facile pour les retrouver en cas de besoin. Ensuite, pour être bien préparé, il est important de ne pas sauter d’étapes. Il faut donc suivre le cours en ordre et ne pas sauter d’un sujet à l’autre, tout en faisant des liens entrent les sujets abordés en classe ou en entreprise lors d’un meeting. De plus, on peut schématiser nos notes, ce qui facilite la compréhension et la notion est ainsi plus rapide à comprendre. Il est aussi important de ne pas sauter d’étapes dans le niveau d’approfondissement de la matière. Car ceci pourrait jouer sur la compréhension et les connaissances acquises durant cette leçon. Il ne faut pas oublier de bien appliquer l’analyse de la matière apprise en classe pour ensuite pouvoir l’appliquer dans la vie de tous les jours. Pour en faire la synthèse et finalement l’évaluation. La dernière étape et non la moindre pour être bien préparé est d’être à jour. Il faut être à jour dans tout ce qui concerne le cours. Autant dans les notes de cours que les travaux à remettre ou non. Pour s’y faire, il est important d’avoir compris la matière et de l’avoir assimilé pour finalement s’assurer d’avoir compris en exécutant une petite révision.
Un autre aspect important de l’apprentissage est de savoir écouter tout en demeurant actif. Pour s’y faire, il faut éloigner toutes sources de distractions possibles, il faut essayer de précéder ce que l’enseignant ou la personne qui parle pense et essayer de mettre dans nos mots ce qu’il vient de dire en faisant un bref résumé. Il est tr`s important de rester attentif à la manière dont le locuteur transmet ses idées. Il faut être attentifs aux répétitions, si le locuteur répète plusieurs fois un terme, c’est sûrement parce qu’il est important. Ensuite, il faut retenir les arguments qui ressortent. Il faut porter une attention particulière à l’intonation dont le locuteur donne aux explications, au rythme, au non verbal et au lien entre le non verbal et le verbal. Pour que le locuteur n’ait pas l’impression de parler à un mur, il est intéressant de donner des signes non verbaux d’écoute, pour démontrer qu’on comprend et qu’on retient ce qu’il dit. Et si ce qu’il dit vous touche intérieurement, il ne faut pas se laisser distraire et il ne faut pas non plus répondre intérieurement.
La dernière étape que je vous expliquerai consiste à savoir prendre des notes. Tout d’abord pour prendre de bonnes notes de cours, il faut avoir du bon matériel et être prête à écrire à tout moment. Il est important de se procurer un cahier de notes ou des feuilles mobiles pour prendre de belles notes structurées. Il est aussi très pratique de laisser une marge de deux pouces sur le côté des notes, car si on oublie de noter une information, on peut la noter dans la marge. Il est très important de s’assurer de comprendre ce que l’on écrit sinon, la prise de note est inutile. Pour de notes compréhensibles et réutilisables, il est important d’écrire de façon lisible et le plus possible sur le verso d’une page seulement. Il est préférable d’écrire de façon aérée en utilisant des abréviations tout en changeant de ligne à chaque nouvelle idée. L’annotation est très pratique quand vient le temps de relire les notes que nous avons prises. Pour ce faire, il est important de définir les mots que nous ne connaissons pas, mettre en évidence en surlignant les idées principales et les mots importants, etc. Chaque personne aura sa méthode efficace pour prendre des notes. Finalement, le classement facilite à se retrouver dans nos notes, on peut numéroter les pages et indiquer la date pour ainsi se retrouver plus facilement.

Utilisation des pages 52-56 -57 des notes de cours.

Réflexion 2
Notion : Rôle du gestionnaire Organiser
Explication :
Dans mon cours de fonctionnement d’une entreprise, nous avons appris ce qu’était un gestionnaire d’entreprise et quels étaient ses rôles. Je vous expliquerai donc brièvement ce qu’est un gestionnaire d’entreprise et ensuite je rentrerai dans les détails du rôle organiser.
Premièrement, organiser signifie : « −Doter (quelque chose) d'une certaine structure; combiner (les éléments d'un ensemble) d'une certaine manière. Anton. désorganiser (v. ce mot B). Organiser ses affaires, son emploi du temps, son travail. Lucien Leuwen (...) se montre à chaque instant supérieur à sa fortune, sans basse complaisance, très différent des héros balzaciens (...) Bien organiser sa vie, pour Stendhal, cela ne signifie pas réussir bassement (MAURIAC, Écrits intimes, Journal d'un homme de trente ans, 1948, p.154). Dieu mort, il faut changer et organiser le monde par les forces de l'homme (CAMUS, Homme rév., 1951, p.138)1 »
Tout d'abord, un gestionnaire d’entreprise doit être capable de planifier, prévoir et anticipe. C’est lui qui organise le travail d’équipe et qui fait en sorte que le fonctionnement de l’entreprise roule comme sur deux roulettes. C’est aussi lui qui motive ces employés, il les forme et les informe. Il a une grande capacité à contrôler, négocier et à prendre des décisions. Il doit avoir beaucoup de leadership pour avoir une équipe dynamique. Ces quatre plus grands rôles sont planifier « le processus qui permet d’établir des objectifs et de décider des mesures a adopter pour les atteindre», le deuxième étant organiser : « le processus de division du travail et coordonner les résultats afin d’atteindre chaque objectif fixé ». Le troisième étant diriger : « le travail d’autres personnes afin qu’elles s’acquittent de leurs tâches » finalement le dernier rôle est de contrôler : « le processus de suivi du rendement, comparer les résultats aux objectifs et prendre les mesures correctives qui s’imposent »
Pour un entrepreneur, il est très important d’avoir la capacité d’organiser. Car, il doit être capable de gérer son temps en conséquence des choses qu.il à a faire. Il doit donc voir qu’elles sont ces priorités et s’organiser en sorte qu’il les réalise toutes. Il doit aussi organiser les meetings, décider ce que sera l’ordre du jour et les sujets abordés durant ce meeting. Être très présent pour ses employés, leurs donnés de bonne directive pour que eux aussi, peuvent s’organiser selon leurs tâches qu’ils ont à accomplir dans un délai limité. Le gestionnaire doit être en mesure de prioriser les tâches que l’entreprise doit effectuer afin de les distribuer à ces employés dans l’ordre du plus urgent au moins urgent. Ceci prend une grande organisation, car l’employeur doit être au courant de toutes les tâches qu’aura l’entreprise dans un cours ou long délais pour pouvoir faire passer les priorités avant le reste. Le gestionnaire doit suivre les projets que font les employés afin de les superviser à fin de les aider à la finalisation. Il doit aussi planifier les horaires de ces employés et prévoir un remplaçant si un jour un employé ne rentre pas. L’employeur doit avoir une excellente gestion de son temps, donc une bonne organisation. Mais avant de commencer sa journée, le gestionnaire doit s’asseoir à son bureau et mettre en ordre les tâches qu’il aura à exécuter dans la journée, il doit organiser les positions de ces employés pour qu’il soit au bon endroit au bon moment, il doit organiser/structurer un ensemble d’éléments en vue d’accroître et de développer le fonctionnement de l’entreprise.
1 http://www.cnrtl.fr/definition/organiser

Réflexion 3
notion: compétences globales et spécifique
Explication:
Dans mon cours de fonctionnement d’une entreprise, nous avons aussi appris que pour être un bon gestionnaire, il faut être muni de compétences globales et spécifiques. Ces trois compétences telles que : compétence technique, compétence en relation humaine ou relations interpersonnelles et la compétence de conceptualisation.
Je vous parlerai de la compétence que j’ai très bien acquise durant mes cours, qui est celle de compétence en relations humaines. Premièrement, dans n’importe quel milieu de travail, les relations interpersonnelles sont à la base de tout. Souvent l’employé ou le gestionnaire a comme obligation de travailler en équipe. C’est pourquoi il est important à la base d’avoir de bonnes relations interpersonnelles.
En fait, la compétence interpersonnelle aussi appelée la compétence en relations humaines est basée sur la relation que nous entretenons avec les gens de notre entourage. Que ce soit nos employés, nos amis, notre famille, nos camarades de classe, etc. Il faut garder une bonne relation avec ceux-ci. Pour s’y faire, il est important de stimuler les gens avec qui nous travaillons, d’apporter une certaine motivation pour le groupe. La communication reste la clé pour cette compétence. Il faut garder de bonnes relations avec tous les gens dans le milieu, car qui sait, peut-être qu’un jour vous aurai besoin vous aussi à votre tour de leur aide.

Par exemple, lors des rencontres à mon travail, je dois interagir avec tous les employés. Même ceux dont j’ai moins d’affinité avec eux. Mais c’est en pratiquant ma compétence en relations humaines que j’ai appris à travailler avec tout le monde en restant calme, polie et faire confiance aux gens à qui je lègue des tâches. Car tout le monde sait que dans notre domaine, le réseau contact est très important. Et qui sait, j’aurai peut-être besoin d’une de ces personnes un jour.

note de cours p.111

Réflexion 4 :
Notion : résolution de problème
Explication :
La démarche de résolution de problème est une manière complète de régler un problème. Pour s’y faire, il faut passer au travers 5 étapes. Il est important de ne pas faire à notre tête et faire n’importe quoi avec le problème il est donc important d’exécuter les 5 étapes en ORDRE pour en venir à bout de ce problème.
La première étape de la résolution d’un problème consiste à définir le problème. . Comme par exemple : une jeune fille à échouer son examen de conduite pour obtenir son permis probatoire. Elle devrait trouver la source du problème pour être capable de le résoudre. Et non mettre la faute de son échec sur la l’évaluateur de l’examen.
Donc ici le problème est que la jeune fille ait échoué son examen de conduite.

Note de cours p. 131

La deuxième étape consiste à rechercher les faits pertinents reliés au problème et collecter les informations importantes. Cette étape consiste à trouver un maximum d’informations et de renseignement qui pourrait être utile lorsqu’il sera temps de trouver la base du problème.
Ces données aideront à savoir quelles sont les options possibles et à évaluer les avantages et les inconvénients.
Il y a plusieurs questions que nous pouvons nous poser pour trouver des informations pertinentes telles que :
- Qui est responsable du problème?
- Qui pourrait-on aller voir pour obtenir davantage d’information sur le problème?
- Quelles sont les hypothèses possibles?
- Etc.
Donc pour le problème de la jeune fille, on pourrait aller voir l’évaluateur pour savoir les erreurs qu’elle a pu commettre, mais avant tout, demander des explications détaillées sur le problème à la jeune fille.

La troisième étape consiste à reconnaître les options possibles.
Donc après avoir défini le problème, il faut être capable de reconnaître les options qui apporteront une solution au problème en question. Puisqu’il est possible que le nombre d’options trouvées soit très grand, il est important d’utiliser non seulement sa logique, mais aussi son jugement.
Donc dans le problème de la jeune fille, les options possibles sont : la jeune fille a menti et elle sait très bien qu’elle a commis une erreur, l’évaluateur aurait pu mal juger son examen, la jeune fille aurait aussi simplement pu avoir une malchance durant son examen, la jeune fille n’a peut-être pas assez pratiqué avant son examen, etc. Finalement, les options sont très nombreuses pour ce problème. Donc, continuons dans le processus de la résolution de problème pour trouver la source de celui-ci.

Note de cours p.132

La quatrième étape consiste à évaluer les options trouvées dans l’étape 3. Il faut donc trouver des solutions possibles, en éliminant une par une les options trouvées à l’étape précédente pour terminer avec l’option la plus plausible. Ainsi, il sera plus facile de trouver une solution adéquate pour les options trouvées.
Il faut donc y aller de façon éliminatoire. Pour finir avec les options les plus précises et rapprochées du problème. Il est pratique aussi que, pour chaque option nous sortons les avantages et les inconvénients pour en sortir les faits pertinents.

Les options :
- La jeune fille a menti et elle sait très bien qu’elle a commis une erreur (on peut l’éliminer, car la jeune fille n’était pas une menteuse.)
- L’évaluateur aurait pu mal juger son examen (ceci est possible, car personne n’est parfait.)
- La jeune fille aurait aussi simplement pu avoir une malchance durant son examen (très possibles, car on ne peut pas prévoir les imprévus de la route et nous ne sommes jamais assez prudents.)
- La jeune fille n’a peut-être pas assez pratiqué avant son examen (sa mère confirme l’avoir inscrite à des cours pratiques et l’avoir fait pratiquer une fois par jour durant deux mois)

note de cours p. 133

Finalement, la cinquième étape de la résolution de problème consiste à prendre une décision et la justifier.
Le décideur doit donc, avec l’évaluation qu’il a émise à la dernière étape, prendre une décision pour ensuite la justifier.

Ceci permettra de prendre la décision finale à partir des critères que le décideur doit se baser pour la prendre soit : la faisabilité, la pertinence, l’acceptabilité, le coût et finalement la réversibilité. Ainsi, il sera facile d’appliquer une solution, car toutes les étapes ont bien été appliquées.

Donc pour la jeune fille, l'option la plus plausible est celle de la malchance durant son examen. La seule solution possible pour cette erreur semble d'être une reprise. Mais la pratique reste importante pour la prévention des malchance comme celle qu'elle a vécu.

Il est important de ne pas oublier que parfois, les décisions à prendre sont très complexes c’est pourquoi la prise de décision en groupe peut venir en aide. Souvent, l’opinion des autres nous fait voir un autre côté de la médaille.


Note de cours p.134
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Laurence Fecteau-H Lundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeDim 27 Nov - 19:50

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Apprendre/travailler
Motivation - Être bien préparé - Avoir comblés ses besoins de bases

Tout d'abord, nous avons appris clairement ce qu'il fallait pour être un bon gestionnaire dans une entreprise mode. Apprendre et travailler sont de base la première notion que nous avons parcourue et ainsi qui est de plus grande importance.

Motivation

En fait, pour gagner sa vie, il faut faire un effort professionnel dont le résultat sera de travailler. C'est pourquoi, en premier lieu, pour vouloir acquérir de nouvelles connaissances ainsi que de produire un effort professionnel, il faut une motivation pour prendre à coeur ce que nous entreprenons. Comme mentionnée dans les notes du document de fonctionnement d'une entreprise à la page 67, la motivation doit être incitée souvent par notre volonté. Si nous ne sommes pas prêts psychologiquement nous ne pourrons nous concentrer et être attentifs aux notions à apprendre.

Par exemple, si je n'ai pas envie d'aller à l'école ce matin, il me manque beaucoup de motivation qui est reliée à plusieurs aspects psychologiques. Alors si je décide réellement de manquer mes cours, alors je n'apprendrai rien, je ne montre aucun effort professionnel et en résultat, je risque d'avoir perdu des notions importantes pour mes examens. Cela me nuit totalement. Imaginer donc un gestionnaire important de notre province : Guy Laliberté. Si un jour, il possède moins de motivation et qu'il ne rentre pas travailler, son équipe complète risque d'être affectée et il ne pourra bien gérer sa compagnie. Finalement le pire : le Cirque du Soleil fait faillite. Vous l'avez imaginé? Alors pour un gestionnaire autant qu'un étudiant, la motivation est une clé du succès.

J'ai surtout retenu que la motivation mène loin ceux qui ont de la volonté et de l'entregent, ceux qui foncent et qui donnent l'effort nécessaire pour réussir ses objectifs sont une condition de base pour apprendre et bien travailler. Je ne pensais pas réellement que cette condition était aussi importante.

Être bien préparé

Relié à la motivation, être bien préparé est également important pour apprendre davantage et bien travailler. En fait, être bien préparé n'est pas seulement de se pouponner pour aller à l'école ou au travaille, mais bien d'avoir tout le nécessaire pour accomplir nos tâches de la journée. Avoir tous sont matériel, avoir fait ses devoirs, savoir les objectifs de la journée, se préparer physiquement et mentalement, être ponctuel et être motiver nous poussera déjà à entretenir une bonne préparation qui résultera d'un bon apprentissage et d'un bon travail par la suite.

Par exemple, cet été je voulais absolument travailler au Aldo. Je voulais tellement avoir le poste qu'ils demandaient que je me suis préparée totalement aux questions qu'ils allaient me poser. De plus, j'avais tout le matériel nécessaire pour la rencontre : Curriculum Vitae, références, numéro d'assurance social, etc. En somme, j'ai eu le poste deux jours après avoir fait mes quatre entrevues. Professionnellement, j'avais donc démontré mon potentiel par les questions dont j'allais sûrement faire face. Non seulement j'étais bien préparée, mais j'étais tellement motivée à obtenir ce poste que j'ai réussi à obtenir ce que je voulais.

Je me suis donc rendu compte que d'être bien préparé nous mène souvent à réaliser nos objectifs. Qu'ils soient à long terme ou à court terme, lorsque nous avons ses deux notions, je pense que tout peut être réalisé dans la vie. La volonté fait la différence.

Avoir comblé ses besoins de bases

Une bonne nuit de sommeil, une bonne digestion, l'équilibre de la gestion du stress, les émotions et les soucis financiers et le bien-être personnel sont les besoins de bases à combler pour pouvoir faire un bon apprentissage et un bon travail. En fait, la relation bien entretenue entre ses besoins permettront un meilleur accomplissement personnel qui peut être moral, créatif ou même pour effectuer une meilleure résolution de problème.

Étant encore dans ma jeunesse, parfois nous ne réalisons pas réellement que combler ses besoins de bases est aussi important. Par exemple, il peut être aussi simple que de sortir et rentrer tard un jour de semaine. Cela ne me permet en aucun cas d'être aussi attentive et prête le lendemain matin dans un cours théorique. Dans la majorité des cas, nous dormons sur notre bureau. C'est donc la preuve même que s’il nous manque de sommeil ou nous avons trop de problèmes à régler, nos pensées sont totalement dirigées ailleurs et nous ne pouvons nous concentrer. Avoir bien mangé et bien dormi nous tient réveillés, avoir la tête reposée et avoir un bon équilibre mental pourront nous permettre de faire toutes autres actions.

Rôle du gestionnaire
La planification

Durant la session, nous avons également abordé sur les quatre rôles d'un gestionnaire dans une entreprise mode. Planifier, organiser, diriger et contrôler, sont les rôles primordiaux d'un gestionnaire. Celui dont j'ai le plus retenu est celui de planifier.

En fait, le cours débuté, j'étais pratiquement persuadée que la planification faisait partie de l'organisation. Je ne voyais en aucun cas une différence entre les deux. Par contre, selon la page 88 du document de notes de cours, la planification signifie : « C'est de faire un plan selon des objectifs. [...] gérer dans le temps une succession d'actions ou d'évènements afin de réaliser un objectif ou un projet. » En fait, la planification est également : « [...] le processus qui permet d'établir des objectifs et de décider des mesures à adapter pour les atteindre. » (Page 96 du document)

Je pourrais donc faire référence au travail que je rédige présentement, car il m'a fallu prendre conscience des objectifs du travail. Par la suite, j'ai établi seule sur papier mes idées selon une grille de correction. J'ai donc développé un plan qui sera déterminant avant de rédiger mon texte.

« Planifier, c'est de penser avant d'agir. » (page 122 du document de notes de cours)

Compétences globales
La conceptualisation

Concernant la planification, la compétence en conceptualisation est en lien direct avec ce rôle. En fait, la conceptualisation est de faire la visualisation d'un impact important qui pourrait avoir lieu dans la compagnie. Il s'agit pratiquement de faire une prévision de causes et effets qui pourrait survenir dans l'entreprise, et ce par des variables extérieures. Tel que mentionné dans les notes de cours à la page 111 : « [...] la capacité d'envisager une entreprise dans son ensemble et de réfléchir d'une manière abstraite. » En fait, il s'agit de se retirer et de voir extérieurement les problèmes qui peuvent survenir ou même les changements importants que nous pouvons apporter.

En réalité, je ne réalisais pas que cette visualisation était tout de même réaliser et même aussi importante. Il est vrai que lorsque nous planifions, nous réalisons une certaine conscience de conceptualisation, mais je n'avais jamais vraiment réalisé que cette étape faisait partie souvent de ma vie.

En fait, faire un plan pour mon travail est en réaliser une visualisation de ce que je pense, qui sera le meilleur pour établir un bon travail. Le concept est en fait une idée générale qu'on se fait de quelque chose et dans ce cas, de mon travail. Lorsque j'ai préparé mon plan, je conceptualisais sans le savoir vraiment que je le faisais.

Considérant qu'il s'agit d'une étape importante dans la planification et ainsi pour prévoir de grands problèmes dans une compagnie, le fait d'établir la conceptualisation nous permettera d'être prévoyants et d'établir une décision importante pour la gestion d'une entreprise.


Résolution de problème

Durant le cours de fonctionnement, nous avons parcouru en générale tout ce qui pouvait englober une bonne gestion d'une entreprise mode. Mais la partie la plus importante est bien évidemment de comment faire pour résoudre un problème. Dans le prochain paragraphe, nous allons découvrir les étapes importantes pour le faire.

Étape 1 - Définition du problème

Il s'agit en premier lieu de comparer la situation désirée de la situation obtenue. Cette étape sert à évaluer la situation qui est problématique avec soin en allant au-delà des symptômes. Il faut donc tenter de découvrir d'où vient le problème pour ensuite élaborer un traitement qui en changera les conséquences négatives. Il faut donc tout simplement définir le caractère propre du problème avec précision.

Étape 2 - Recherches d'informations et analyse des causes

Après avoir bien défini le problème constaté, il faut logiquement recueillir les informations pertinentes et en relations à l'affectation du problème. Il faut donc recueillir les hypothèses qui seraient en relation directe avec le problème.

Ensuite, il faut analyser les données dont nous avons retenus qui sembleraient perturber le problème directement. C'est une étape de raisonnement et de logique qui sert à observer et à prendre en considération la relation des causes qui aboutirait finalement à un ultime jugement.

Étape 3 - Proposition et choix de solutions possibles

Subséquemment, il faut avoir reconnu les différentes options qui nous pousseront à adopter des solutions possibles pour régler le problème dont il est question. Cette étape permet d'atténuer le problème par l'intuition, le jugement et/ou l'expérience du gestionnaire.

Étape 4 - Analyse de la faisabilité des solutions possibles et mise en application

Donc, il faut trouver une solution raisonnable qui pourra régler le problème de départ. Il faut donc faire un diagnostic de chacune d'entre elles pour définir clairement les options. Il faut alors faire une évaluation complète des solutions et ses conséquences (avantages/inconvénients) pour pouvoir par la suite établir une solution adéquate qui sera en mesure de fixer le problème de base et de ne pas en provoquer davantage. Il faut donc éliminer toutes les options qui ne régleront pas le problème.


Étape 5 - Contrôle des résultats et mise en oeuvre d'une solution B si nécessaire. Suivi des actions

« [...] si vous avez élaboré plusieurs solutions de rechange intéressantes, si les données recueillies en rapport avec ces possibilités sont complètes et objectives, le travail est déjà fait. » (page 133 du document de notes de cours) En fait, si vous avez bien établi le processus de résolution de problème, alors le processus devrait être mis en application et de pouvoir par la suite vérifier les résultats de l'essai.

Par contre, il reste tout de même qu'un plan B doit être mis en oeuvre pour pouvoir vite éviter une autre situation problématique qui nuirait à l'entreprise. De plus, il ne faut pas négliger aussi de justifier le choix de la solution retenue à l’aide des informations recueillies plus tôt afin de dire en quoi cette solution est la meilleure à adopter.

« Ne pas réglé un problème comme lorsqu'on règle un mal de tête avec une tylénol.» Yves Morin

En somme, la résolution de problème m'a permis de faire un lien direct avec les problèmes de la vie de tous les jours. Par exemple, si en relation amoureuse nous avons un problème, alors je peux définir le problème, je tente à la suite de trouver les éléments qui influence ce problème : la communication. Je propose alors à mon copain des solutions qui pourraient le régler. Ensuite, ayant construit ensemble un tableau de solutions, nous en adoptons une qui nous plaît. Nous l'essayons par la suite et en constatant les progrès nous pouvons soit en adopter une nouvelle ou soit continuer dans cette voie.



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sharmimshossainlundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeDim 27 Nov - 21:17

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Apprendre à apprendre et à bien travailler

Tout d’abord, il y a plusieurs conditions de bases pour apprendre et à bien travailler, mais selon moi, seulement trois conditions sont importantes ou essentielles parmi les dix pour être capable de bien accomplir des tâches, tous les jours, soit au cégep ou au travail. Les trois conditions sont d’être bien motivé, avoir comblé ses besoins de bases et d’être bien préparer. Premièrement, la motivation est très importante, parce qu’il faut avoir de l’intérêt dans ce quoi on pratique. Par exemple, quand j’étudiais en Design de mode, je n’aimais pas les cours de patron et de couture. C’est juste dans ces cours que j’avais des notes très bas. Ces cours étaient des connaissances de base dans le programme de Design de mode. J’ai finalement abandonné le programme, parce que ce n’était pas à mon niveau. Quand on est motivé on se pousse pour aller jusqu’à la fin, car ça nous intéresse et on donne la peine de mettre toute notre énergie pour bien faire un travail. Deuxièmement, d’avoir comblé ses besoins de bases qui sont une condition essentielle, parce que s’affecte sur notre santé. Quand j’ai un cours tôt le matin et je dors très tard le soir la veille, je suis très fatiguée et je n’ai plus d’énergie. Par conséquence, je manque des explications que le professeur donne sur une matière importante et c’est dommage, parce que je comprends moins bien après en classe et cela entraîne une note faible lors de l’examen. Troisièmement, la préparation est une étape importante dans la vie courante et à l’école, parce que la préparation nous aide mentalement pour des événements imprévus. Par exemple, avant chacun de mes cours, je regarde le plan de cours qui a été fourni au début de la session. Je vérifie le contenu du cours s’il y a des examens ou un travail d’équipe ou des devoirs à remettre. Cette étape m’aide beaucoup, parce que quand j’arrive à mon cours je suis toujours prête à travailler, car je sais un peu à quoi m’attendre. Je fais les travaux ou des lectures prévues pour le cours au cas où le professeur me demanderait des questions comme ça je serai prête à répondre à ses questions rapidement. Un autre exemple, avant une entrevue pour un emploi, je fais une recherche sur l’entreprise pour les connaitre davantage et pour savoir quels sont les compétences qu’ils recherchent pour le poste qui m’a été offert, afin de pouvoir bien répondre aux questions.

Les rôles de gestionnaire

Dans le cours de Fonctionnement d’une entreprise de mode, j’ai appris qu’un gestionnaire a quatre rôles principaux; PLANIFIER, ORGANISER, DIRIGER et CONTRÔLER. Parmi ces quatre rôles, le sens de l’organisation est le plus important, à mon avis. Ce rôle consiste de faire un plan sur papier. La définition donnée dans la page 88 dans les notes de cours « c’est arranger, structurer en vu d’un usage particulier. Mettre en place de manière fonctionnelle soumettre à une méthode. Structurer un ensemble d’éléments en accroître, développer, rentabiliser le fonctionnement. ». Cette définition explique bien comment gérer toutes les tâches à faire dans une journée ou une semaine. Depuis le début de la session d’automne, j’ai commencé à avoir beaucoup de devoirs et des projets de session. Pour que je fais bien tous mes travaux, je me suis construit un tableau dans mon agenda. Ce tableau indique tous les projets et les devoirs importants avec les dates de remise et le pourcentage indiqués. Ce tableau m’aide beaucoup à préparer ma journée. Ainsi, je suis capable de m’organiser pour pouvoir donner plus de temps sur les travaux dont j’ai davantage de la difficulté.


Les compétences techniques

Dans le cadre du cours d’Yves Morin en Fonctionnement d’une entreprise de mode, j’ai appris que plusieurs employeurs doivent posséder des compétences techniques, il y a quatre compétences, dont LES COMPÉTENCES TECHNIQUES, LES COMPETENCES RELATIONS INTERPERSONNELLES, LES COMPÉTENCES LIÉES À LA CONCEPTULATION et LES CONCEPTULATION LIÉES À LA COMMUNICATION. Quand j’étais tutrice en anglais, j’avais des élèves de troisième secondaire. Il fallait que je possède une bonne compétence en communication pour que je comprenne bien et pour reconnaitre les difficultés de mon élève. Comme plusieurs élèves qui ont la difficulté en anglais, Milaine avait la difficulté de comprendre cette langue. Pour réussir à comprendre l’anglais, j’écrivais des phrases en français et je la demandais de les traduire en anglais. Je faisais la même chose en communication on parlait toujours en anglais pour qu’elle s’habitue à entendre la langue Anglaise. La compétence en communication est important parce que ça nous aide à comprendre ce que l’autre personne veut et vice-versa.

La démarche de résolution de problèmes

Dans la démarche de résolution de problèmes, il existe cinq étapes pour résoudre des problèmes dans une entreprise. Cette méthode de résolution de problème peut être aussi utilisée dans la vie courante.

ÉTAPE 1 : Définition du problème
Premièrement, pour résoudre un problème, il faut d’abord définir c’est quoi le problème. Tel qui est écrit dans les notes de cours à la page 131, la première étape consiste le « processus de la prise décision passe par la collecte d’information portant sur l’environnement général de l’entreprise, les conditions du marché et sur les éléments internes de l’entreprise. » Au secondaire, je travaillais à la bibliothèque tous les vendredis, après l’école. Je m’occupais de ranger les livres dans les étagères. Avant de les ranger, je m’assurais que tous les livres remis. J’avais une liste de tous les livres qui devraient être remis comme prévue. En rangeant les livres dans les étagères, j’ai remarqué qu’il manquait deux livres.

ÉTAPE 2 : Recherches d’informations et analyse des causes
Une fois trouvée la définition du problème, la prochaine étape consiste de recueillir tous les informations nécessaires pour identifier tous les options possibles. J’ai averti à la bibliothécaire qu’il manquait deux livres. Pour retrouvées les livres manquant, j’allais à l’ordinateur qui a un système de réseau où est enregistré tous les livres de la bibliothèque. Je devais identifier les livres par le nom, le nom de l’auteur, le genre du livre et le code du livre. En rentrant le code des deux livres, j’ai trouvé le nom de l’élève qui a emprunté ces livres.

ÉTAPE 3 : Proposition et choix de solutions possibles
Ensuite, « après avoir défini le problème, il faut reconnaitre les différentes options qui apporteront une solution au problème. » Dans mon cas, il faut trouver différents options possibles pour être sure que l’élève remet ses livres dans les prochaine jours ou la prochaine fois qu’il les remet à temps. Par exemple, on peut donner une amande à la personne qui n’a pas remis ses livres ou on peut bloquer son accès au réseau de l’école.

ÉTAPE 4 : Analyse de la faisabilité des solutions possibles et mise en application
Après la troisième étape, il faut évaluer toutes les solutions par la faisabilité et par la pertinence. On place les solutions proposées de bonnes à moins bonnes. Il faut aussi évaluer toutes les conséquences de chaque solution. Suite de mon exemple, si on bloque l’accès au réseau de l’ordinateur à l’élève, est-ce qu’il va remettre les livres le plus tôt possible.

ÉTAPE 5 : La prise de décision et la justification
Enfin, la dernière étape, qui est l’étape de la décision finale. Si on a suivi les quatre premières étapes à la lettre, la solution finale devra venir à elle-même. Une fois trouvé une solution, il faut bien sûr justifier son choix en fournissant avec toutes les informations nécessaires. Il faut aussi toujours avoir un plan B au cas où si le premier plan ne marche pas. La décision que la bibliothécaire a pris c’est de donner une amande de 2$ à chaque livre non-remis. Si l’élève ne remet pas les livres dans la prochaine semaine, le plan B c’est de rajouter 2$ de plus à la prochaine semaine.

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kim lundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeDim 27 Nov - 21:48


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La résolution de problèmes

Des problèmes, nous avons en rencontrons à tous les jours que ce soit dans nos vies personnelles ou professionelles. Mais quelles sont les étapes pour résoudre un problème de type professionnel? C'est ce que je démontrerai dans la réflexion suivante en divisant le tout en cing étapes bien simples.


Étape 1: Diagnostic de la situation et définition du problème:

Cette étape est la base d'une résolution de problème. C'est ici que tout commence en évaluant la situation. En fait de diviser les symptômes du problème.
Un truc pour bien faire son diagnostic serait de se demander `Nous constatons que...' et ensuite de compléter la phrase suivante 'Le problème est...' (page 131)

Toute fois il est important de bien évaluer la situation pour éviter de commettre trois erreurs courantes (page 131):

1- Se concentrer sur les symptômes et non sur la cause. (Prendre une tylénol pour soigner mon mal de tête.)

2- Défénir le problème de manière trop générale ou étroite. Un patron dit : 'le magasin est trop chargé' mais devrait être 'On fait de l'espace en mettant moins de grandeurs et de modèles au même endroit ex: sur une même table.'

3-Elle survient quand les gestionnaires se trompent dans le choix du problème à régler.


Ex.:Mon ami ne me fait plus de transport pour venir à l'école


Étape 2 : La collecte et l'analyse des faits pertinents reliés au problème

Cette étape consiste à démêler le problème. Ce qui nous amène à se questionner pour en trouve la cause, la source. Suite à la liuste de questionner proposé en page 132, ceci nous permettras de bien séparer les hypothèses ou options bonnes des mauvaises. Pour ainsi nous permettre de trouve une meilleure solution au final.


- Se demander pourquoi mon ami ne veut plus me faire de transport.
- Voir si il en fait encore aux autres et seulement pas à moi.
- Se demander si j'ai fais quelque chose pour le blesser.
- Vérifier s'il n'a pas changer d'horaire.
- Se demander s'il a encore une voiture.
- Vérifier s'il vient toujours à l'école.


Étape 3 : La reconnaissance des options possibles:

Cette étape fait appel à l'intuition et au jugement (la gestion est un art) et aux connaissances fondées sur la théorie et l'expérience (la gestion est une science).(page 132) Ce qui veut dire que nous devons évaluer toutes les options possibles et nous faisant voir d'autres opinions face au problème et avoir une ouverture d'esprit plus grande pour trouver une solution.

Mon ami ne me fait plus de transport pour venir à l'école.

Options:

1) Si il ne veut plus en faire du tout à personne, ceci n'est pas un problème.

Par contre....

2) Si il ne veut plus en faire qu'à moi seul, ceci est un problème.


Étape 4 : L'évaluation des options:


L'évaluation des étapes se divisent en trois points forts. (page 133)

1- Trouver des solutions raisonnables et pratiques qui pourraient résoudre le problème principoal. Éliminer toutes les autres options.
2- Défénir clairement chaque option en apportant le plus de précision possible. Réfléchier à chacune d'entre elles et faire le meilleur pronostic des conséquences qu'entraînerait leur mise en pratique.
3- Faire une évaluation complète de chaque option en fonction des critères établis à l'étape de la collecte et l'analyse des faits pertinents et classer les coséquences prévues de chaque option sous forme d'avantages et d'inconvénients.

Ex.:

- Je pourrais l'aider à payer du gas pour la voiture.
- Prendre l'autobus.
- Prendre mon auto en se divisant la semaine en deux pour les transport.
- etc.

Étape 5: La prise de décision et la justification:


Dernière étape et étape déterminante. Alors suite aux questionnements et aux prises de consicences faits précédemment avec les autres étapes. Celle-ci permettra de bien choisir la meilleure solution à notre problème. CEci se fera en comparant et en essayer de trouver une explication pertinente à chaque solution trouvée pour résoudre le problème. Nous trouverons ainsi la meilleure par déduction.

Les notes de cours nous aident en nous montrant quelques critères nous permettant d'exercer un choix final. (page 133-134)

- Faisabilité
- Pertinence
- L'acceptabilité
- Coût
- Réversibilité


Apprendre/Travailler


Apprendre et travailler, des conditionde bases s'appliquent pour apprendre. Dans le cadre du cours de 'fonctionnement d'une entreprise de mode' nous avons vu les conditions de bases pour bien apprendre. Je vais aborder trois d'entres elles soit : être motivé, le changement et être bien préparé. La motivation reste la base de toutes. Sans elle, il est difficile de faire ou de croire en un projet. Le changement, lui nous amène à nous montrer plus flexible, nous apprendre à prendre des risques, d'essayer de nouveaux défis. Finalement, être bien préparé, ce qui nous permet de toujours mieux réussir et d'avoir une meilleure crédibilité auprès de nos collègues.

Dans ma vie de tous les jours, je suis pour ces trois critères principalement car pour moi ce sont des points fondamentaux que j'ai côtoyer récemment. Dans le cadre d'une ouverture de boutique, je me suis fait offert un poste de membre de gestion. Ceci étant une grande motivation pour moi car ce poste est très bon pour moi et pour mon c.v de mode dans mes plans futurs. Cela m'a aussi apporté du changement, une nouvelle boutique, une nouvelle équipe et un nouveau poste donc plus de responsabilités que de ce que j'ai connu auparavant et ma flexibilité car c'est loin de chez moi. être bien préparé, j'ai dû être bien préparé pour ma nouvelle équipe, montrer ma crédibilité et montrer ce que je suis capable de faire pour la compagnie.

Donc, ces termes, nous pouvons les retrouver en page 50 des notes de cours et ceci disposé sous forme de tableau pour mieux comprendre.



Rôles du gestionnaire


Les rôles du gestionnaire se divise en quatre. Tout dabord planifier, organiser, ensuite diriger et enfin contrôler. Planifier c'est faire un plan, administrer. Organiser c'est arranger, structurer en vue d'un usage particulier. Diriger c'est orienter, guider dans une direction, conduire, mener. Finalement contrôler c'est pratiquer un contrôle, surveiller, vérifier, examiner minutieusement. (p.88-89)

C'est qui retient mon attention serait celui de diriger. Dans le cadre de mon travail, étant memebre de gestion, je dois diriger mon équipe à chaque quart de travail. Je dois m'assurer que tout le monde respectent les règles, font leurs tâches, m'assurer de les motiver, voir à ce que tout le monde réussissent leurs objectifs de ventes. Comme les notes de cours disent en page 96, 'Diriger : Diriger le travail d'autres personnes afin qu'elles s'acquittent de leurs tâches.'

Ce poste m'a appris à bien diriger ainsi que les notions apprrisent dans ce cours. Avant cela, j'étais gêné ce qui affectait ma crédibilité et mon autorité pour diriger mon équipe. Maintenant j'ai beaucoup plus confiance et ayant de bonnes pistes comme outil cela a facilité le rôle de gestionnaire que je dois remplir chaque semaine au travail.



Compétences globales et spécifiques


Les compétences globales et spécifiques sont présentées sous quatres formes. Nous avons les compétences techniques, de relations humaines et de conceptualisation. Pour ma part je vais vous parler de la compétence touchant les relations humaines. Pour ainsi rester dans la même branche de mon rôle de gestionnaire, diriger. Alors, toujours selon nos notes de cours (p.110), 'Les compétences interpersonnelles confèrent la capacité de former des équipes, de stimuler les membres d'une entreprise et de fournir une motivation à un individu ou à un groupe.'

Pour rester dans le même exemple, diriger nous amène à la compétence de relations humaines. Mon rôle étant de diriger, il est très important de s'assurer et de créer un bel esprit d'équipe pour faire profiter du succès à tout le monde et ce, à part égale. Je dirais surtout dans des petites boutiques où l'équipe est restreinte, c'est primordial d'Avoir une bonne chimie entre nous tous pour ainsi exceller dans notre emploi mais cela s'applique égalemnent, à mon avis, dans n'importe quel autre type d'emploi.
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Laurence Ranger lundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeDim 27 Nov - 23:16

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Introduction

Dans le cadre du cours de fonctionnement en entreprise, j’ai pu découvrir toutes les facettes d’un gestionnaire exemplaire et travaillant. Lors de ce cours, 10 leçons nous ont été enseignées afin de découvrir chaque fonction d’un gestionnaire. Dans les prochains paragraphes, je vous expliquerai 5 de ces leçons dont : apprendre et travailler, les rôles du gestionnaire, les compétences globales, les fonctions du gestionnaire ainsi que la démarche de résolution de problème en donnant des exemples concrets.

Notion 1 : Apprendre à travailler


Ici, je vous parlerai de 3 des conditions de base que notre corps a besoin pour donner un rendement maximal, et ce avec des exemples.

Combler les besoins de base : Tout d’abord, il existe plusieurs conditions nécessaires pour apprendre à travailler, mais je crois que la plus importante d’entre elles est de combler ses besoins de base, tel que dormir et manger. Dormir consiste à reposer notre corps pour qu’il puisse récupérer son énergie totale afin d’obtenir une performance de haut niveau chaque jour. Le corps a besoin un minimum d’énergie pour performer toute la journée donc il est primordial de dormir durant plusieurs heures et de laisser le corps se reposer. Un gestionnaire se doit d’être en forme parce que plusieurs tâches doivent être accomplies chaque jour et il ne peut se permettre de donner qu’un 50% de lui-même. Celui-ci sait à quel point il est primordial d’être alerte et pour cela, il comble tous ses besoins de base dont manger qui est également d’une grande importance pour donner les protéines et l’énergie que demande le corps humain. Par exemple, après une bonne nuit de sommeil, je prends soin de déjeuner le matin pour être à pleine capacité et pouvoir me donner à fond lors de mon travail ou de mes cours à l’école. Cependant, il est certain que si mon corps ne récupère pas totalement son énergie, j’aurais beaucoup de misère à être attentive et répondante en classe : ce qui pourrait nuire à mon bon fonctionnement. D’ailleurs, au travail, si je ne performe pas grâce à cette énergie, il en résultera dans ma motivation de tous les jours. En premier lieu, il est donc important de ne pas se négliger soi-même et de prendre soin pour combler ses besoins de base.

Être motivé : De plus, la motivation fait partie des conditions de base pour apprendre et travailler comme un gestionnaire. Selon moi, elle résulte d’un intérêt fort pour quelques choses en particulier qui lui pousse à se surpasser afin d’atteindre ses buts. Je me suis inscrite en commercialisation de la mode parce que j’ai une forte passion pour celle-ci et c’est d’ailleurs cette passion qui me motive à concrétiser mes rêves Ainsi, j’arrive à apprécier les résultats de mes efforts. Le gestionnaire lui sera motivé pour un projet qui lui tient à cœur et croit fortement que se sera fructifiant pour lui. Avec cette motivation, il se pousse à concrétiser son projet et, peu à peu, réussie à atteindre ses objectifs pour enfin en obtenir les résultats.

Savoir prendre des notes : J’ai pu apprendre tout au long des notions du cours de fonctionnement à quel point il est important de prendre des notes pour mieux comprendre et pour se donner les moyens de réussir. Il est certain que je savais prendre des notes de cours, mais j’ai surtout appris à quel point il est important d’interagir et de se relire en classe. L’écoute active et la prise de notes sont nécessaires pour assimiler la matière le plus facilement possible. Effectivement, « écrire favorise la compréhension et la mémorisation des informations retenues et permet par la suite de mieux restituer ses connaissances », comme il est expliqué à la page 65 de nos notes de cours. À cela, j’ajouterai à quel point il est important de prendre part aux discussions en classe pour faire des liens avec la vie courante. Par exemple, lorsque je parle au téléphone avec les clients au travail, j’ai toujours sur moi du papier et un crayon afin de prendre en note les messages importants. Ainsi, je peux transmettre le message de façon claire à la personne concernée. En classe, après avoir interagi et après avoir pris des notes, je prends soin de me relire pour être sûre d’avoir compris.

Notion 2 : Les rôles du gestionnaire.

Lors de cette notion, j’ai appris beaucoup sur chaque rôle que le gestionnaire doit posséder, soit : planifier, organiser, diriger et contrôler l’environnement dans lequel le gestionnaire travaille. Dans cette catégorie, j’ai décidé de vous parler du contrôle qu’un gestionnaire doit appliquer par rapport avec mes expériences de travail personnel.

Quand je suis au travail, je dois effectuer un contrôle sur chaque dossier de mes clients afin de pouvoir leur offrir le meilleur service possible. En contrôlant chacun de leur dossier, je me permets de savoir exactement à quel niveau leur réparation est rendue, les coûts qui sont à charger ainsi que faire des corrections nécessaires au besoin pour atteindre l’objectif final : remettre l’équipement réparé au client le plus rapidement possible. Je dois « pratiquer un contrôle, surveiller, vérifier et examiner minutieusement »(p.89) chaque client afin de le connaître du bout de mes doigts. Faire un suivi est nécessaire, par la suite, pour informer mes clients des promotions et m’assurer que leur équipement fonctionne encore De cette manière, je peux réussir à entretenir un lien de confiance. Pour le gestionnaire, il va de soi que si celui-ci met en marche un projet, il le suit tout au long de sa démarche et même après, pour assurer un contrôle constant.

Notion 3 : Les compétences spécifiques


Avant le cours de fonctionnement, je n’avais pas idée qu’un excellent gestionnaire possède aussi des compétences spécifiques et globales. Maintenant que j’en ai une meilleure idée, je vais vous parler de la compétence de conceptualisation, celle qui a été pour moi, d’une grande utilité.

À la fin de ma 6ième année, j’ai été chargé, avec un groupe d’élèves, de concevoir l’album des finissants. J’ai été nommé directrice en chef et j’ai pu mettre en fonction la compétence de conceptualisation. J’ai pu ainsi être soumise à plusieurs idées et je devais visualiser laquelle était envisageable pour tous. J’ai dû mettre en pratique cette compétence sans être au courant de celle-ci. Aujourd’hui, en prenant du recul, je me rends compte que cette expérience fût un enrichissement de connaissance et j’ai bien aimé diriger l’équipe avec moi. Avec plusieurs idées, nous avons pu conclure et faire approuver par la directrice de l’école l’album des finissants que nous avons créé et mettre en œuvre le concept de visualiser dans un ensemble (la classe). Ainsi projeter le meilleur des mondes pour tous et non pas seulement qu’à nos goûts. Selon mes notes de la page 111, il est clairement écrit que « les compétences liées à la conceptualisation dénotent la capacité d’envisager une entreprise dans son ensemble et de réfléchir d’une manière abstraite ». Si j’avais à comparer cette compétence face au cours du cégep, je dirai que je visualise les travaux de fin de session en avance pour ainsi me faire plusieurs idées. En me créant des idées d’avance, je suis arrivée, par exemple, à concevoir un plan de mes meilleures idées pour cette réflexion qui comporte beaucoup d’éléments. En conceptualisant cette réflexion, ça m’a permise de développer mes idées au maximum et ainsi, donner le plus d’exemple possible. D’ailleurs, il est écrit sous la définition de compétences de conceptualisation que « les cadres supérieurs doivent posséder une vision globale et être à même de reconnaître les effets d’une décision stratégique tant sur l’entreprise que sur l’ensemble de la société».

Notion 4 : Fonctions du gestionnaire


Dans cette catégorie, j’ai décidé de vous parler de 3 fonctions du gestionnaire qui ont touché une de mes expériences de vie. Je ferai des liens en vous présentant ce qu’est un symbole, un observateur actif ainsi qu’un diffuseur.

Symbole : Être un symbole c’est être un bon représentant de la compagnie pour qui on travaille. Savoir bien divulguer l’information ainsi qu’avoir de l’entregent est nécessaire pour symboliser les compagnies. De plus, il est d’une importante de partager les mêmes valeurs et les mêmes objectifs que celle-ci parce que sinon il n’y aura aucune motivation a représenter cette compagnie qui ne partage pas les mêmes définitions que la vôtre. Au courant du dernier mois, j’ai du moi-même être le symbole de la compagnie de mon père pour lequel je partage les mêmes idées et les mêmes valeurs. Ainsi, mon père m’a fait totalement confiance pour représenter la compagnie à l’évènement Chic Wedding qui se tenait à l’hôtel Windsor à Montréal. Avec entregent, j’ai rencontré des clients potentiels qui voulaient fêter leur mariage. J’ai réussi à obtenir plus de 5 nouveaux contrats à mon père dans les prochains mois à venir. Comme le dit mon cahier de note à la page 100, « Il faut constamment avoir en tête l’intérêt de l’organisation ce qui implique une adhésion totale aux objectifs de l’entreprise et aux valeurs qu’elle promeut ». Étant donné que c’est la compagnie de mon père et que je connais bien sa vision des choses, il me fût facile « d’être sociable, d’avoir de l’entregent et surtout d’aimer la représentation.. »

Observateurs actifs :
Lors de la même expérience, j’ai pu entreprendre la fonction d’observateur actif de l’environnement autour de mon kiosque. En fait, j’ai fait exactement ce que mes notes (de la page 101) me disent : « obtenir des informations essentielles pour l’organisation ou l’unité de travail ». Lors de cet évènement, j’ai pu mettre en pratique mes grandes oreilles et faire de « l’écoute active », me promenant de kiosque en kiosque. J’ai pu remarquer les prix, l’équipement et les concepts que nos concurrents offrent et ainsi informer mon père de ce genre de situation. Tout comme il est écrit a la page 101 un peu plus loin dans la définition, « Tout ce que le gestionnaire voit et entend devrait être retenu pour servir la cause de la société dans laquelle il œuvre ».

Diffuseur :
En plus d’être symbole et observateur actif, j’ai pu développer ma fonction de diffuseur sur le même événement. Mon père fût un diffuseur lorsque qu’il devait m’expliquer exactement ce quoi dire au client. Bien entendu, j’ai entrepris moi-même comment je voulais divulguer l’information au client potentiel mais mon père su me fait un bref résumé de quelque concept que nous pouvions élaborer pour les futurs mariages. J’ai pu « être un transmetteur de l’information perçu »(p.101) et ne même, j’ai pu améliorer mes « bonnes qualités de communicateur »(p.101) et ainsi me faire aussi des contacts. D’ailleurs, cette expérience fût très enrichissante sur ma connaissance de l’anglais, mon amélioration du vocabulaire et aussi sur la manière de m’exprimer clairement.

Notion 5 : La démarche de résolution de problèmes


Durant cette notion, j’ai appris beaucoup plus concernant le gestionnaire. J’ai longtemps pensé qu’il était simple de résoudre un problème par la solution la plus évidente sans même réfléchir au delà. Or, ce cours m’a démontré une méthode de résolution de problème qui ne se fit pas qu’à une simple intuition. En démontrant les 5 étapes à suivre pour résoudre un problème d’entreprise, je ferai des liens précis avec ma vie courante de tous les jours.

Phase 1 : Définition du problème


Définir le problème ne consiste pas seulement à se concentrer sur les symptômes, mais aussi bien à établir une collecte d’informations sur la cause de ces symptômes. Comme il est écrit dans les notes de cours à la page 131, « la première étape du processus de la prise de décision passe par la collecte d’informations portant sur l’environnement général de l’entreprise, les conditions du marché et sur les éléments internes de l’entreprise ». Il faut prendre le temps de réfléchir et de « découvrir d’où vient le problème et ensuite administrer le traitement qui convient ». Comme par exemple, quand je travaillais au nettoyeur Betty Brite, ma caisse ne balançait pas à tous les jours et je devais absolument y trouver une explication. En premier lieu, j’aurais pu tout simplement mettre le change qui manquait, mais lorsque je me rendais compte à quel point le montant était élevé, il me fallait vérifier la caisse minutieusement. Lorsque mon montant ne balançait pas, je devais faire un compte rendu à mon patron. En discutant ensemble et en recherchant plusieurs informations, nous avons pu constater moi et mon patron que la caisse ne balançais jamais lorsqu’une des employés travaillais sur ce chiffre. Nous avons alors compris que le magasin se faisait voler de l’argent.

Phase 2 : La collecte et l’analyse des faits pertinents reliés au problème

Je n’ai pas accomplis cette tâche cependant mon patron l’a fait et m’en a fait part à plusieurs reprise afin que j’effectue une analyse de l’employé vu que je travaillais avec elle la plus part du temps. Mon patron a recueillie plusieurs informations dont le nombre d’heures qu’elle travaillait, les montants exacts qui manquaient à la caisse chaque fois que cette employée travaillait et toutes les réparations qu’elle effectuait. Selon les notes de cours de la page 132, et je cite : « Après avoir bien défini le problème, l’étape suivante consiste logiquement à recueillir le maximum de renseignements à son sujet ». Après avoir effectué cette tache, nous devons analyser les faits pertinents et ceux qui démontrent concrètement l’existence de ce problème.

Phase 3 : La reconnaissance des options possibles


Une fois le problème défini, « il faut reconnaître les différentes options qui apporteront une solution au problème » (p.132). Avec son jugement, mon patron a pu conclure quelques options possibles. Je n’ai pas eu conscience de toutes les options que mon patron à décider de prendre en considération mais j’ai quand même su son véridique finale. Il a du utiliser son sens du jugement, son intuition, ses connaissances et ses expériences pour faire une évaluation complète des options possibles.

Phase 4 : L’évaluation des options


Cette étape consiste a évaluer les meilleures options possibles qui s’offrent à nous pour pouvoir juger si elles seront raisonnables et pratiques. Elles se doivent d’être évaluées pour effectuer un tri des meilleures et des moins bonnes. Celles qui sont pertinentes restent et les autres sont éliminées, car elles n’apporteront aucun rendement maximal à l’entreprise. Cette tâche appartenait à mon patron et donc, je n’avais aucun pouvoir de décisions là-dessus.

Phase 5 : La prise de décision et la justification

Finalement, dans cette phase, mon patron avait décidé de prendre la décision de renvoyer l’employée. Lorsqu’il a pris sa décision, il est bien évident qu’il a dû justifier son choix à l’employée pour qu’elle comprenne la situation. En effet, « le décideur qui a effectué une bonne analyse ne devrait guère éprouver de la difficulté à faire un choix »(p.133) et c’est d’ailleurs le cas ici présent. Mon patron avait suivi à la lettre les 4 étapes de résolution de problème et ainsi, n’eut aucune misère à effectuer son choix. Cependant, chacune des entreprises ont leur propre problème donc, chacune d’entre elles ont de différentes manières de percevoir les choses.

Conclusion


Je termine en vous rapellant que plusieurs autres caractéristique englobe le monde d'un gestionnaire. Il y aurais tant d'exemple à donner que j'ai conclu qu'être un gestionnaire, c'est autand appliquer les notions au travail que dans notre vie quotidienne.

Laurence Ranger






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ElianeCSimonelundi




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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeLun 28 Nov - 0:53


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Réflexion Forum

Dans le cadre du cours de fonctionnement d’une entreprise en mode, j’ai appris plusieurs notions en liens avec le métier de gestionnaire et la résolution de problème dans une entreprise. Au courant de la session, nous avons pu mettre en pratique ces apprentissages dans des exercices de simulation. Nous pouvons appliquer ces notion dans autant notre vie personnelle que professionnelle.


Apprendre à apprendre et apprendre à travailler



En premier lieu, pour apprendre à apprendre et apprendre à travailler efficacement il faut tout d’abord avoir combler c’est besoin de base. Par exemple, avoir bien dormi, être reposé, avoir mangé, etc., dans le cas contraire où la personne n’aura pas comblé ses besoins de base, il sera beaucoup plus difficile de faire un travaille ou d’apprendre. Le manque de sommeil, m’empêche d’être concentré dans mes cours ce qui baisse mes résultats scolaires. Près de 75% des étudiants des collèges ont signalé des troubles occasionnels du sommeil tels que la difficulté d'endormissement, un syndrome de retard de phase et une fréquente somnolence durant la journée. Lors d’une première session de CEGEP il est difficile de s’adapter au rythme, se lever à 5h du matin et se coucher à 1h n’est pas nécessairement bon pour le système c’est pour ses raisons qu’il faut bien s’assurer que tous les besoins sont comblés pour obtenir de bon résultat dans ce que l’on entreprend ainsi qu’avoir une bonne concentration pour bien enregistrer ce que l’on apprend.

En deuxième lieu, la motivation est un élément essentiel à la réussite de l’apprentissage et du travaille car en étant motivé il est beaucoup plus facile de trouver un certains plaisir à faire des travaux ou à apprendre. Parfois certains sujets ne nous intéressent pas mais si on garde notre motivation, on trouvera un moyen de s’adapter et de le transformer pour que cela soit plus intéressant. Sans motivation, il est dur de faire quelque chose de plus complexe ou qui demande plus d’énergie à entreprendre. La motivation nous aide également à se fixer des buts précis et à les atteindre. Par exemple, il m’arrive régulièrement de perde ma motivation face à mes études car parfois je trouve difficile de suivre le rythme rapide des travaux et des études qu’il faut faire dans un délais court mais je trouves toujours le moyens de me remettre dans ma motivation du début car je veux atteindre mes objectifs que je me suis fixé. C’est pourquoi la motivation est essentiel dans l’apprentissage, il ne faut pas s’arrêter à certaines complexité pour abandonner il faut tous faire pour atteindre nos but en étant motivé de le faire.

En troisième lieu, la préparation est selon moi essentiel dans le cadre d’un apprentissage ou d’un travail car si nous ne sommes pas préparé les imprévus ne seront pas gérés correctement et même peut-être négligés. Avant un cours ou avant de faire un travail, il est important de réviser ce que l’on doit faire exactement car en cas contraire on pourrait oublier certaines notions indispensables à la réussite du travail en question. Il y a également une question d’autonomie dans sa préparation, il faut prendre en charge par soi-même le moment où l’on fera notre préparation et avec quels outils on le fera. Selon la page 31 de mes notes de cours, pour comprendre et lire, on n’a pas vraiment besoin d’un enseignant. Planifier, c’est prendre au sérieux nos apprentissages, faire un plan, administrer selon des objectifs, gérer dans le temps une succession d’actions ou d’évènements précis afin de réaliser un objectif particulier ou un projet. Par exemple, avant de me rendre à un cours, je révises ce qu’il y a à faire durant le cours, je vérifie avoir tous remis dans les échéanciers donnés, je relie le plan du cours pour être sure de n’avoir rien manqué et j’inscrit à mon agenda ce qu’il faudra faire pour le prochain cours ainsi que les dates importantes à venir. En prenant quelques minutes pour bien préparer ce que l’on doit faire, on sauve beaucoup de temps, on est sure de ne rien oublier et si il arrive un imprévu on sera apte à le prévoir et à le résoudre efficacement.

Le rôle de gestionnaire


Le rôle d’un gestionnaire consiste à; planifier, organiser, diriger et contrôler. L’élément que je juge le plus pertinent est l’organisation car sans une organisation efficace, le gestionnaire ne pourra bien gérer sa compagnie. Organisation consiste à préparer ce que l’on doit faire d’avance, faire une ébauche des tâches à entreprendre, structurer des objectifs précis et réalistes, mettre en place de manière professionnelle et fonctionnelle des plans d’actions, soumettre une méthode; un ensemble structuré d’éléments en vu d’accroître, de développer et de rentabilisé le bon fonctionnement des plans de gestions établie. Organiser est une façon de prendre en charge préalablement quelque chose à venir ainsi qu’à prévoir certains imprévus que l’on peut éviter en étant un gestionnaire organiser. La première session au CEGEP a été pour moi difficile car mon sens de l’organisation est à développer. Par contre, j’essaie d’inscrire dans mon agenda tous ce que je dois faire et à quelle heure dois-je le faire. En pratiquant cette méthode d’organisation je peux prévoir d’avance ce que je dois faire et dans quel échéancier je pourrai entreprendre mes travaux.

La démarche de résolution de problèmes


La première étape :
Il faut commencer par définir le problème en question avant d’entreprendre une quelconque démarche de résolution. Selon la page 131 du cahier de note de cours, le décideur vise à évaluer la situation avec soin, en allant au-delà des symptômes pour en déceler la cause, ce qu’il faut absolument éviter, c’est de simplement traiter les symptômes sans affronter les véritables problèmes. Je travaille au magasin Moores vêtements pour hommes depuis maintenant 4 mois. Mon superviseur ma fait remarqué que je n’atteignait pas mes objectifs de ventes.

La deuxième étape :
Il faut faire une collecte et une analyse des faits pertinents reliés au problème. C'est-à-dire, après avoir recueilli des faits pertinents, on fait une brève analyse des données et des renseignements obtenus. Elle revêt de l’importance parce qu’elle permet de distinguer les renseignements ayant de l’intérêt de ceux qui n’en ont pas et de séparer les faits des opinions ou des hypothèses. Après avoir parler avec mon superviseur, nous avons constater que pourtant je vendais à autant de clients que les autres employés, selon les factures.

Troisième étape :
La reconnaissance des options possibles consiste à reconnaître les différentes options qui pourraient résoudre le problème après l’avoir défini préalablement. Cette étape correspond aux moyens déjà mis de l’avant par les gestionnaire ou encore par l’élève afin d’atténuer la situation problématique perçu au départ. Cette étape fait appel à l’intuition et au jugement. Mon superviseur et moi avons découvert que je ne vendais pas de produit supplémentaire aux ventes, ce qui ne me faisait pas atteindre mes objectifs. Nous avons donc décidé de regarder les options qui s’offraient à nous. Mon superviseur à d’abord proposé que l’on baisse mes objectifs de ventes, mais cela ne m’intéressait pas car je voulais réussir à les atteindre, donc je lui est proposé qu’il me donne une formation sur les produits supplémentaires.

Quatrième étape :
L’évaluation des options consiste à trouver des solutions raisonnables et pratiques qui pourraient résoudre le problème principal. Éliminer toutes les autres options. Il faut définir chaque option en apportant le plus précision s que l’on peut et y réfléchir pour savoir quelle option est la meilleur pour résoudre le problème et quel seront ses conséquences. En analysant et en réfléchissant nous avons fait un bilan de quels conséquences amènerait chacune des deux options et nous avons essayait de les définir en apportant le plus de précision possible.

Cinquième étape :
La dernière étape consiste à prendre une décision et à émettre des justifications de la prise de décision. Selon la page 133 du cahier de note de cours, il faut choisir une option et la présenter sous la forme d’une recommandation à la personne responsable dans l’entreprise. Pour la justification, il faut procéder à une comparaison de toutes les options afin de montrer pourquoi la recommandation préconisée est la meilleure, c'est-à-dire expliquer pourquoi l’option recommandé est supérieure à toutes les autres. En conclusion, nous avons comparé toutes les options et en sommes venu à conclure qu’il valait mieux qu’il me donne la formation sur le produits complémentaire ce qui apportait comme conséquences que je devait me rendre au travaille 1h plutôt pour la formation mais que je pourrai par la suite proposer convenablement aux clients nos produits complémentaires ce qui me permettrait d’atteindre mes objectifs de la semaine.


Référence:
1. apprendre à apprendre et apprendre à travailler/besoins de base: : http://www.conseil-psy.fr/admin/index.php?2010/02/13/623-le-sommeil-des-ados-la-plupart-des-etudiants-ne-dorment-pas-assez

2.la motivation : page 31 des notes de cours
3. préparation: page 88 des notes de cours

Résolution de problème: page 131 à 133 des notes de cours
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jademercredi




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Date d'inscription : 03/11/2011

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MessageSujet: DONEDONEDONE   Réflexions I_icon_minitimeLun 28 Nov - 1:00

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Plusieurs notions dans votre cour de Fonctionnement en entreprise de mode m’on permit d’en apprendre plus mais d’également confirmer certaines choses que je savais déjà sur le métier du gestionnaire et ses fonctions.

Apprendre/Travailler


Dans les notions apprendre/travailler, 3 de celles-ci on retenues mon attention mais sont également liées dans un tableau à la page 50 des notes de cours. Elles étaient, selon moi, plus importantes que les autres.

Être motivé, cette première notion se distingue du dynamisme, de l'énergie ou du fait d'être actif. Il n'y a pas de recette miracle pour stimuler la motivation. Elle est en chacun de nous. La motivation est pour moi un rôle de premier plan dans l’apprentissage et dans le développement de notre personne. Lorsque la motivation positive est bien au dessus de la motivation négative, c’est simple, vous allez comblez votre désir. Cependant, si c’est la motivation négative qui est la plus grande vous allez renoncer à votre désir. Être motiver, c’est avoir envi d’apprendre, de créer de nouvelles choses, faire des projets, se perfectionner, que ça soit au travail ou à l’école. La motivation est aussi importante pour réaliser nos objectifs et nos désirs pour le futur. Étant une grande passionnée du Volleyball, ma motivation m’a permis de pousser mes limites encore plus loin de me dépasser à chaque tournois et de me rendre au championnat Canadien dans l’Ouest du Canada.

Être bien préparer est la deuxième notion la plus importante pour moi et elle se rattache à la motivation. Être bien préparer consiste à être prêt à tout; à un meeting comme par exemple. Une bonne préparation est nécessaire pour la compréhension et plusieurs gestes sont importants. Avant un meeting au travail, arriver 10 à 15 minutes à l’avance, préparer sa documentation, faire des recherches supplémentaires, préparer quelques questions pour que tout soit plus clair, s’informer du sujet auprès de ces collègues de travail ou même aller jusqu'à demander à son patron et à la fin du meeting, prendre 10 à 15 minutes pour réviser les notes prises. Tous ces petits gestes sont signe de professionnalisme et démontre une grande volonté. Avant mes tournois de Volleyball, la veille, je prends un peu de temps pour me faire un bon lunch, préparer mon équipement et me coucher tôt pour être en forme le lendemain.

Accepter de changer veux dire en gros bien prendre les critiques des autres et les mettre à son avantage pour s’améliorer. J'ai déjà reçu une critique d'une cooéquipières de Volleyball qui me disais de mettre mes mains plus en triangle pour passer le ballon, j'ai très bien pris sa critique .Je me suis améliorer et j'ai pu compter plus de point durant les tournois.



Fonction interpersonelle du gestionnaire

Plusieurs fonctions on été étudier dans le cadre du cour de fonctionnement en entreprise. Dans cette partie du travail, je vous expliquerai 3 de ces fonctions qu'un gestionnaire doit avoir soit être leader, entrepreneur et négociateur. Ces fonctions sont selon moi les plus prioritaires pour être gestionnaire.

Leader Tout d'abord, un bon gestionnaire doit avoir du leadership. Avoir un bon sens du leadership est en lien avec le charisme comme l'indique la page 100 des notes de cours sur les fonctions de celui-ci, et représente un pouvoir immense. Quelqu'un avec du leadership doit être conscient qu'il a une importante influence et surtout de la force afin de bien utiliser, par tous les moyens, son pouvoir. Leur gestion n'est pas seulement basé sur ce pouvoir mais également sur leurs habiletés soit de communication, techniques et professionnelles, sur leur planification pertinente et leurs décisions futurs. J'ai un très bon sens du leadership et je l'utilise très bien selon moi car j'ai été nommer capitaine de mon équipe de Volleyball. Je répondais à tous les critères pour occuper ce poste, j'écoute mes cooéquipières, je prend des décisions afin de mieu fonctionner dans l'équipe et j'ai une bonne influence sur elles.

Entrepreneur Un gestionnaire entrepreneur doit avoir comme qualités principal de l'optimisme et il doit être réaliste. Il doit tout d'abord garder son sang froid devant des situations qui peut s'averer imprévues et compliquer. Face à ces situations il doit résister au stress mais pouvoir également rassurer les gens de son entourage tout en se rassurant lui même devant le niveau de complexité de la situation qui se présente à lui.









Étapes de la résolution de problèmes

Dans cette partie du travail, les 5 étapes de la résolution de problème seront présenter et expliquer à l’aide d’exemple de la vie courante, au travail ou bien à l’école. J’ai fais cette partie du travail à l’aide de la matière vue en classe ainsi qu’avec mes notes de cours aux pages 131 à 139.

Dans la première étape de la résolution de problème, c’est bien simple, on diagnostique la situation et on défini le problème et sa source. Il serait tout d’abord bien important de collecter quelques informations sur l’entreprise soit sur son environnement, ses conditions de marché et ses éléments interne et externes. La première étape peut alors être mise en pratique lorsqu’on connaît la source du problème et ses symptômes. Afin de déceler correctement la cause du problème, le patron de l’entreprise ou quelqu’un des autres cadres soit supérieur, intermédiaires ou bien inférieurs se doit de prendre la situation avec beaucoup de précautions.

La deuxième étape consiste à analyser les faits pertinents reliés au problème après l’avoir bien défini. C’est en recueillant le maximum d’information sur le sujet que nous pourrons reconnaître les différentes options possibles pour ensuite évaluer les avantages et les inconvénients. Ensuite, après avoir recueillis l’information nécessaire, une analyse se doit d’être faits. Pour chaque situation qui représente un problème pour l’entreprise, chaque personne peut avoir une vision différente des choses selon leur personnalité. Pour pouvoir dépasser cette vision des évènements et pouvoir trouver exactement les causes du problème, une analyse devra être fait .Il faudra faire appel également à des notions, des concepts et à des modèles, comme l’indique la page 132 des notes de cours. Afin d’aboutir au jugement final, donc trouver la meilleure solution envisagées, l’analyse des faits sera mit en relation en chaîne.

Malgré quelle soit plutôt courte, la troisième étape consiste à reconnaître les options possible. Elle doit être exécuté par une ou plusieurs personnes des cades supérieurs, intermédiaires ou bien inférieurs qui à un très bon jugement, qui a de l’intuition et qui, avec ces connaissances, peut fondées différentes options possibles pour résoudre le problème.

L’avant dernière étape est, selon moi, la plus importante des étapes de la résolution de problèmes. C’est elle qui influencera le jugement final, la prise de décision et sa justification (étape 5). Dans cette étape, l’évaluation des options est de mise. Elle consiste à trouver plusieurs solutions équitables qui pourraient résoudre le problème. Ensuite, évalués et trouver les meilleures solutions pour éliminées les moins bonnes. Afin de choisir les meilleures solutions, il faut se posé quelques questions et évaluer lesquelles d’entre elle engendre les plus grosses conséquences soit sur le plan de la situation financière, sur le plan de l’exploitation, sur la survie de l’entreprise, sur les ressources technologique etc.

La toute dernière étape est la prise de décision et la justification de ce choix. Le décideur, soit dans les cadres supérieurs, les cadres administratifs ou dans les cadres inférieurs ne peut avoir de difficulté à faire un choix sur sa décision car il a suivit à la lettre les étapes pour enfin arriver à une décision concluante. Il doit ensuite justifier son choix final auprès des personnes concernées et en lien avec le problème mais également leurs présentés les autres options possibles afin de comparer et leur demander leur avis. Certains critères sont nécessaires pour le choix final : La Faisabilité permet de valider si le choix est applicable malgré certaines contraintes au niveau du budget, la technologie et les politiques de l’entreprise. La pertinence, elle, mesurera le degré d’efficacité face à la solution choisie sans affecter la satisfaction de la clientèle tout en rapportant la plus grande marge de profit possible.
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